Synopsis

Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.

Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.

Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire

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Cher journal,

Le réveil sonne. Il me faut quelques secondes avant de réaliser que je suis dans le lit. Je m’approche de Maître pour l’embrasser et lui dire bonjour.

« Tu peux aller à la douche directement. En fait, on va changer les règles. Au réveil, en semaine, tu files à la douche sauf si je te donne un ordre.

– Bien Maître. J’ai pas mel de boulot et j’aimerais arrivée tôt. »

Et le rituel du matin s’enchaîne. Comme la veille, j’ai droit à un t-shirt sans aucune particularité, un gilet, pantalon et chaussettes. Je vois quand même mon collier public. Quelque part cela me rassure. C’est qu’il va mieux.

Quand j’arrive à la cuisine, il me confirme que la soirée de la veille lui a fait du bien et que, normalement, la journée devrait être plus simple.

J’avale rapidement mon petit déjeuner, embrasse Maître pour lui souhaiter une bonne journée et me voilà partie.

Je n’ai aucune nouvelle de Maître. J’ignore si c’est bon ou mauvais signe. Peu importe, cela implique pour moi la réalisation du rituel.

Seulement, ayant eu beaucoup de boulot, je rentre après Maître. D’ailleurs, en entendant les clefs dans la porte, il vient me voir et m’embrasse. Il m’informe qu’il a remis les choses en place à son travail et sa journée s’est mieux passée :

« Ce soir, c’est tarot. Je t’ordonne de mettre ton lush et ton rosebud télécommandable. Je veux qu’on s’amuse ce soir. En attendant, viens manger. »

Il a déjà réchauffé le reste du boeuf bourguignon et c’est lui qui nous sert les assiettes après avoir inséré en moi les deux jouets en question. J’ai également retiré mon collier public.

Nous mangeons et discutons de tout et e rien. Une fois terminé, nous vidons le lave-vaisselle et le remplissons. Je nettoie la table et la prépare tandis que Maître passe un petit coup de balai.

J’installe le tapis, les cartes, les verres ainsi que de quoi grignoter. Les potes ne tardent pas à arriver. En réalité, ce sont les miens et je les ai averti que Maître serait présent bien qu’ils ne soient pas au courant de notre relation.

Ce qui, je sais, amuse d’autant plus Maître. D’ailleurs, lorsque je m’adresse à lui, j’ai failli dire Maître au lieu de Yannick. Au moment de la partie, lorsque je dois parler, Maître s’amuse à allumer l’un ou l’autre voire les deux jouets. C’est difficile pour moi de rester indifférente vu que le bas de mon corps est chaud et demande à s’exprimer.

Pas sûre que mes potes s’en aperçoivent mais Maître m’observe et à son sourire, il comprend ce qui se passe dans ma tête et cela l’amuse.

Bref, c’est ainsi qu’il joue avec moi au tarot mais aussi avec les télécommandes.

Quand la fin de partie sonne, mes potes partent et moi, je n’ai qu’une envie de jouir :

« Tu peux enlever les jouets et au lit. Il est tard. »

Je vais dans la salle de bain où je me déshabille et les enlève avant de les nettoyer. Je range les jouets et prends mon collier Cookie pour le mettre.

Le hic, c’est que je n’ai pas envie de dormir et si je ne suis pas soulagée, je ne suis pas prête de dormir. Je rentre dans la chambre et je vois le gode noir posé sur mon coussin.

Maître déjà allongé dans le lit :

« Le Gode c’est pour te soulager mais il y a une condition. Je ne veux rien entendre sinon demain, tu auras une punition. »

Je m’assieds sur le coussin, attache ma cheville et m’allonge. Maître éteins la lumière. Au début, je suis hésitante. Me soulager avec le gode noir alors que j’aurais aimé un moment intime avec Maître n’est pas aisé. Dans le même temps, si je ne fais rien, je ne dormirais pas.

Après de longues hésitations, je prends le Gode et j’avoue qu’il pénètre facilement et c’est même un plaisir. Quelques gémissements m’échappent bien que je fasse attention à être silencieuse. J’espère que Maître n’a rien entendu.

Une fois soulagée, je pose le gode par terre à côté et enfin, je peux dormir.

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