Synopsis
Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.
Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.
Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire
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Cher journal,
En ce vendredi, contrairement à Maître, je suis en télétravail. Même si j’entends son réveil et l’entends se lever et se préparer, je prends le temps dans mon coussin.
Quand je finis par me lever, il est en train de s’habiller. Je l’embrasse :
« Je te veux chaude comme la braise ce soir car nous allons dans un endroit spécial. De ce fait, après déjeuner, tu mets boules de Geisha. Une fois ton travail terminé, tu les enlèveras et mettras le rosebud qui se termine par ta queue de renard. Bien évidemment, toute la journée nue et entraves comme fixé dans nos règles. Et une petite photo sur twitter.
– Bien maître. »
Je le laisse partir avant de prendre ma douche et mon petit déjeuner. je m’installe devant l’ordinateur et partie pour ma journée.
J’obéis à chacun de ses ordres donnés même si je me demande bien ce qui m’attend ce soir. Il a vraiment gardé le secret car je n’en ai aucune idée. Vers 18h30, je reçois un texto de Maître :
« Reste nue telle que tu es. Enfile le long impair, prend la laisse que tu accroches bien évidemment et rejoins moi dehors dans cinq minutes. »
Je lui obéis sans hésiter. La voiture est devant. Je monte à la place avant. Maître redémarre :
» Puis-je demander où nous allons Maître ?
– Commence par ouvrir ton impair. Je veux que tout le monde voit ta condition. Nous allons dans un endroit où tu seras à ta place : chienne. Tout le monde te traiteras en tant que tel et je souhaite que tu te comportes ainsi. Cookie.
– Waouf. Quand tu dis me comporter ainsi, c’est aboyer et être à quatre pattes ?
– Entre autres. Tu n’as plus le droit de me poser des questions. Sache juste que cela devra te plaire et tu seras en sécurité. Si jamais quelque chose te déplaît, tu connais le mot de sécurité et nous partirons.
– Bien Maître. »
J’engage la conversation de manière plus anodine sur sa journée et essaie néanmoins de savoir s’il a prévu des choses pour le ween-end. Mais impossible de le savoir.
Je suis quand même intriguée par la soirée. Maître rentre dans une allée privée menant à un Manoir. Plusieurs voitures sont déjà garées. Au moins, je sais mais je m’en doutais fortement que ce ne serait pas un lieu privé.
J’attends que Maître m’ouvre la portière et m’ordonne de le fermer pour ne pas avoir froid. Toutefois, la laisse est par-dessus mon impair et je dois dire que mes entraves aux pieds et aux mains sont facilement repérables. Il me les enlève :
« Nous n’avons pas besoin de cela pour ce soir. «
Par contre, il prend les loups qu’il avait préparé et m’en enfile un :
« C’est la règle pour ce soir. Cela te permettra également de t’aider à te mettre à l’aise. »
Une fois prêts, direction dans le manoir. Il toque trois fois. Je n’en avais jamais vu de ma vie et je crois que c’est bien un majordome qui nous ouvre :
« Mot de passe.
– Tartempion est dans la place.
– Votre nom que je vérifie et celle de votre animal ?
Ainsi, je suis considérée comme un animal. Maître ne m’avait pas menti.
– Maître Yannick et Cookie.
– Parfait. Après le vestiaire, elle n’a plus le droit de marcher debout. Vous le savez ?
– J’ai bien lu le règlement. Merci. »
Je prends note de la règle. Je vais passer la soirée à quatre pattes. Mais j’ignore si je pourrais tenir tout du long.
Le majordome s’écarte pour nous laisser entrer. Nous passons un rideau et une première porte et nous voilà dans le vestiaire :
« Il me faut ton manteau et tes chaussures. »
Je les enlève et les lui donne. Je suis entièrement nue et je vais l’être durant toute la soirée face à des gens. Mais c’est vrai que le loup va grandement m’aider.
Devant la porte nous permettant d’aller dans la pièce suivante, Maître attend et me regarde. Je comprends. Je me mets à quatre pattes et allons dans la pièce suivante ainsi.
La pièce me semble grande. Mais je vois qu’au sol, c’est molletonné et j’avoue que lorsque l’on marche à quatre pattes, c’est plutôt agréable. Je me rends compte que quelques couples comme nous sont présents : des Maîtres et des Maîtresses élégamment habillés accompagnés de leurs chiens ou chiennes. Ces derniers sont eux aussi nus ou en lingerie. Certains portent même une cage de chasteté. Quand ils ne se déplacent pas, ils sont assis au pied de leur Maître ou Maîtresse.
Je comprends qu’il s’agit d’un apéritif mais seuls ont accès à une boisson et aux gâteaux servis. Nous, avilis, n’y avons pas le droit. Maître se dirige vers le buffet que je suis afin d’y prendre un verre. Il nous en éloigne et rapidement, une Maîtresse avec son chien vient nous rejoindre.
Je m’asseois en chienne, mon équivalent en fait de même. Nous nous regardons. D’ailleurs, nous ne pouvons faire que cela. Elle semble connaître mon Maîtr. Elle me caresse la tête en disant combien j’ai l’air appétissante. Il confirme simplement et me demande d’aboyer joyeusement. Je fais du mieux que je peux.
C’est ainsi que plusieurs viennent nous voir. De ce que je vois, nous sommes une dizaine de couples et l’équité semble respecter. Toutefois, je mesure d’autant plus ma place lorsqu’une Maîtresse voit que son chien me désire au plus haut point. Il me renifle et tourne autour de moi.
Il approche sa bouche de mes seins et aboie de manière à se faire comprendre qu’il a un besoin. Sa Maîtresse s’adresse à mon Maître :
« Peut-il avoir un avant-goût et prendre en bouche ses mamelles ?
– Bien sûr, je la veux chaude.
Je fais en sorte que mes seins lui soient accessibles facilement et le laisse prendre chacun de mes seins en bouche et les têter.
Au départ, je retiens mes gémissements car je dois dire que l’humiliation subie ne me laisse pas indifférente.
– Elle est docile.
– Pas tant que cela. La nuit dernière, elle n’a pas respecté mon sommeil et mérite une punition. Elle doit comprendre qu’elle m’appartient et doit absolument obéir à tout ordre.
– Je vois. Dois-je comprendre qu’elle sera mise en enchère ?
– Oh oui.
– Médor, stop. Est-ce que tu la veux ?
– Waouf.
– Alors, je ferais mon possible mon chien. A tout à l’heure. »
Ils s’éloignent. Ai-je bien compris ? Je serais mise en enchère ? Mais quel sera l’enjeu ? Probablement me posséder vu ce qu’avait l’air de dire cette Maîtresse.
Maître s’abaisse et me regarde :
« Oui, tu seras mise en enchère. Un Maître ou une Maîtresse te punira pour ne pas avoir joui en silence la nuit dernière. Car, oui, je t’ai entendu. Et ensuite, je souhaite qu’un homme ou un chien te sodomise. Je te laisse y penser car je sais que cela va te travailler. Toutefois, tu n’auras le droit de dire non qu’après les enchères si tu ne le sens pas. »
Une clochette retentit et tout le monde se dirige vers la porte ouverte. Une tablée ronde est prête destinée à nos Maîtres et Maîtresses.
« Vos animaux doivent rester derrière eux et tout comme vous, ils ont l’autorisation de discuter entre eux. Toutefois, s’ils font trop de bruit, notre personnel est autorisé à les cravacher. »
Maître choisit une place mais me libère de ma laisse une fois à ma place. Chaque chien ou chienne a un coussin et je vois que l’on peut s’asseoir normalement. Certains prennent leur gamelle d’eau à la main. D’autres lapent. Je prends le partie de m’asseoir normalement et me saisit du bol.
Maître se retourne et je comprends à son regard que non. Je repose le bol, change de position pour laper. Je n’ose pas trop parler et finalement ce sont mes voisins qui entament la discussion. De ce que je comprends, certains sont des habitués, d’autres, c’est une première comme moi.
Ils me disent que cela est effrayant car tout ce qui se passe a un aspect cérémonial mais en fait, c’est convivial et sympathique. Ils m’assurent qu’il faut attendre la suite.
Je constate que nous avons le même repas que les Maîtres et Maîtresses mais adapté semble-t-il à nos goûts. Je saurais plus tard que Maître avait reçu un menu avec plusieurs possibilités et qu’il a choisi en conséquence. Nous avons la liberté d’aller aux toilettes quand nous voulons si ce n’est que nous, chiens et chiennes : à quatre pattes.
J’avoue que je me régale et mes voisins sont forts sympathiques. Je trouve même cela étonnant que des hommes et des femmes aussi ordinaires que moi sont dans la même situation. Nous ne serions pas assis dans un coussin, nus ou semi-nus avec une gamelle d’eau, ce serait un repas normal.
Je me sens à mon aise et Maître le voit. Une fois le repas avalé, les Maîtres et Maîtresses nous remettent nos laisses et nous amène dans une petite pièce. Nous sommes presque collés les uns aux autres. Au milieu se trouve un coussin surélevé avec un escalier permettant d’y aller.
« Maîtres et Maîtresses, il est temps de lancer les enchères. Comme vous le savez, toutes les chiennes seront proposées. Pour certaines, une seule enchère. Pour d’autres, plusieurs. Comme vous le savez, vous n’avez pas le droit de miser du vrai argent. De ce fait, vous aves la possibilité de proposer un repas pour une prochaine fois, des verres ou même des accessoires. C’est le Maître de la chienne qui arrête les enchères quand il le souhaite. J’appelle la première : Lassie. »
Lassie et son Maître se dirige vers l’estrade. Je dois dire que cette femme est magnifique. Elle s’assied avec fierté dans le coussin si tant est possible dans cette situation :
« Première enchère : 50 coups de fouets. Elle adore. »
Les enchères se font. les premières sont timides et ensuite, tout le monde se prend en jeu. Inutile d’énoncer toutes les enchères ni les gagnants.
Mais quand vient mon tour, je tremble. Maître m’y emmène. je fais attention dans les escaliers et essaie de copier Lassie. Maître me glisse tout bas :
« Ne t’inquiète pas. C’est juste un jeu. Et rien ne sera fait si tu n’y consens pas.
– Première enchère. Son Maître tient à dire qu’il faut lui rappeler qu’elle ne doit pas lui désobéir : 25 coups de cravaches : 5 sur chaque sein, 5 sur chaque fesse et 5 sur sa chatte. A vos enchères.
Les Maîtres et Maîtresses ont été prises au jeu. J’avoue que j’ai du mal à suivre. Je suis en pleine lumière face à des ombres qui se battent pour me punir :
– Je stoppe les enchères.
– Les coups de cravache seront données par Maîtresse Lisa en échange d’un paddle électrique et de deux verres. Deuxième enchère pour Cookie. Son Maître souhaite que son anus soit pris par un chien.
– Peut-on le voir son anus ?
Maître prend la laisse et m’aide à me retourner. J’appuie ma tête sur mes bras afin de mieux présenter mon cul à la salle. J’ai du mal à tenir cette position. Mais apparemment, cela déchaîne la folie des enchères.
– Je stoppe les enchères.
– Maîtresse Lisa a de la chance. C’est donc Médor qui aura le droit d’avilir Cookie en échange d’une grande cage. Merci à elle. »
Maître m’aide à descendre. Même si mon tour est terminé, rien ne se fait tant que toutes les chiennes ne sont pas passées. Je ne le savais pas mais chacun(e) avait mis ce qu’ils souhaitaient gagner en enchère. Je dois dire qu’il est content car depuis le temps qu’il voulait un paddle électrique et une cage, c’est chose faite.
J’ai du mal à réaliser. Je vais être punie par une Maîtresse et sodomiser par son chien. j’appréhende énormément. Je vois que Maître désire une chienne mais il n’en fait rien. Il me dira en rentrant que c’est parce que c’était ma première fois et qu’on y allait doucement.
Une fois toutes les enchères terminées, Maîtresse Lisa vient voir mon Maître et lui demande :
» En public ou en privé ?
– C’est sa première fois, en privé.
– Allons-y en ce cas. »
Maître me fait suivre Maîtresse Lisa. Je n’avais pas vu mais il y a deux escaliers avec des panneaux : l’un qui emmène dans une pièce dite publique, l’autre un escalier menant à des chambres privées.
Nous montons l’escalier et Maîtresse Lisa ouvre la première chambre et change le panneau de la porte en mettant occupée. Elle nous explique qu’ainsi, nous ne serons pas dérangés.
J’avoue que la chambre est coquette même si se trouve en plus d’un lit douillet, une croix de Saint-André et des accessoires BDSM.
Maîtresse Lisa s’adresse à Maître :
« Puis-je la punir sur la croix pendant que mon chien la lèche ?
– Vous avez le droit de la punir comme bon vous semblera. Toutefois, elle n’est pas maso. Merci à vous de ne pas y aller trop fort.
Elle se saisit de ma laisse et m’emmène à la croix. Elle m’aide à me relever et je dois dire qu’après tout ce temps, cela me fait tout drôle d’être sur mes deux jambes. Je la laisse m’y attacher avec un regard de crainte.
Elle me regarde et me dit :
« Ne t’en fais pas, j’irais doucement. Si cela ne va pas, dis simplement stop Maîtresse. Tu as compris ?
– Oui Maîtresse.
Et comme pour m’aider, elle m’embrasse et caresse mes seins. Elle descend une main à mon entrejambe :
– Dommage que ton Maître ne t’es pas mis en enchère pour un cunnilingus, je t’en aurais bien fait un. »
J’avoue que cela m’excite et me rassure. Elle approche son chien Médor qui commence à me lécher. Maître s’assied sur une chaise bien en face de moi et explique nos règles à Maîtresse.
Elle s’empare d’une cravache et tape chacun de mes seins. J’avoue qu’entre les coups de langue de son chien et les coups, je ne sais plus où je suis. Je me laisse aller simultanément à la douleur et au plaisir. Son chien confirme que je mouille beaucoup plus à chaque coup.
Une fois mes seins ayant reçus leurs coups, elle me détache.
Elle me fait mettre en levrette sur le lit et en fait de même à chacune de mes fesses et ma chatte. Par moment, elle y glisse elle-même sa langue et constate mon humidité.
Au dernier coup, elle me tend sa main pour que je l’embrasse avant de la remercier de m’avoir traité comme il se doit.
Elle fait alors monter Médor sur le lit et m’ordonne :
« Allonge-toi sur le ventre. il adore cette position pour sodomiser. »
Je la vois qui s’assied à côté de Maître et commentent tout deux ce qui se passe comme si de rien n’était.
Médor retire mon rosebud et le tend à mon Maître. Et ce, avant de me pénétrer afin de s’imprégner de ma cyprine avant de mettre son gland au bord de mon anus bien ouvert. Je l’aide à rentrer. J’adore qu’il y va doucement.
Je sens une pression sur ma laisse, ce qui me fait ouvrir les yeux et voir Maître et Maîtresse me regardant. Ils apprécient le spectacle et Maître veut bien mesurer ma position.
Médor rentre profondément dans mon cul. Il commence avec des va-et-vient tout doux. Je gémis de plaisir en regardant nos personnes dominantes. Mais j’ai du mal. Après tout, je suis une chienne en train de me faire sodomiser devant deux personnes habillées.
Il commence à aller plus vite mais en réalité, il suit le rythme donné par mon Maître. Ce dernier veut que cela dure. Jusqu’à ce qu’il sente mon orgasme arrivé. C’est la que sa Maîtresse l’autorise à éjaculer afin que nos jouissances coïncident.
C’est l’explosion totale. Médor se retire et s’allonge. Je reprends mon souffle et réalise ce qui vient de se passer. Maître se déshabille et vient s’allonger à côté de moi :
« Je suis fier de toi et tu mérites d’être soulagée comme il se doit, je sais que tu n’as pas fini. Alors grimpe et finis. »
Bien que Maîtresse soit encore habillée sur sa chaise. Médor, allongé sur le lit. Je le chevauche et fais en sorte d’avoir les différentes jouissances qui me permettent de dire que je n’en peux plus.
Toutefois, Médor ne reste pas indifférent, il caresse mes seins ou les prend en bouche me permettant d’accentuer mon plaisir. Je finis par lâcher Maître et chevaucher Médor. Cette fois, c’est Maîtresse Lisa qui vient caresser mes seins et les prendre en bouche.
C’est ainsi que finalement, j’aurais ma jouissance ultime. Tout le monde le ressens et me laisse finir. Je descends de Médor et me mets entre Maître et Médor qui me prennent chacun dans leur bras.
Maîtresse Lisa étant derrière Médor :
« Cookie, tu en as assez ? Demande-t-elle ?
– Oui Maîtresse.
– Tu es une bonne chienne et Médor et moi nous sommes bien amusés, n’est-ce pas ?
– Waouf. »
Nous restons ainsi et finalement Médor a le droit de parler afin de débriefer de ce qui vient de se passer. Finalement, Maître se lèvre pour se rhabiller. Médor et moi descendons simplement du lit. Maîtresse Lisa essaie de remettre sa robe convenablement. Ils nous remettent nos laisses.
Maître et Maîtresse échangent leurs coordonnées dans le vestiaire où je récupère mon impair. Je me remets debout et je dois avouer que marcher n’est pas aisée puisqu’il me faut quelques secondes avant de le faire en toute sécurité.
Nous rentrons chez nous. Je n’avais pas vu l’heure mais il est 3h du matin :
« Tu as le droit au lit. Demain, pas besoin de me réveiller ni de préparer mon petit déjeuner. Tu te lèves mais quoique tu fasses, c’est dans ton coussin.
– Bien Maître. »
C’est ainsi que fatiguée et repue, je m’endors dans les bras de Maître
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