Synopsis

Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.

Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.

Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire

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Cher journal,

Je me réveille tranquillement mais trop tôt. Je suis un peu dans les vappes, je vois qu’il fait nuit. Je prends le partie de me lever et d’aller dans le salon. Je mets une série que j’aime bien, m’allonge dans mon coussin et finit par m’endormir.

C’est le bruit dans la cuisine qui finit par me réveiller. Je m’étire et c’est à quatre pattes que je m’y dirige :

« Il est midi. Je viens de me lever et je prépare mon petit déjeuner. As-tu pris le tien ?

– Non Maître.

– Alors, rejoins-moi. »

Je me lève et prends ce qui manque avant de m’installer à table en face de Maître. Nous discutons de la veille et j’avoue que j’ai du mal à réaliser ce que j’ai vécu. Quand c’est comme cela, il me demande d’en garder une trace :

« Quand tu as fini, je t’ordonne d’écrire la soirée d’hier et tu me fais lire. Attention, un coup de Paddle pour chaque faute de frappe. Applique-toi.

– Bien Maître.

– Ajoute les boules de Geisha.

– Bien Maître. »

Je débarrasse la table aussi bien la mienne que la sienne. Bien que nous ayons un lave-vaisselle, je fais celle de notre petit-déjeuner comme convenu dans nos règles et enfile les boules de Geisha avant de me mettre devant l’ordinateur et raconter notre virée.

Rien que d’y repenser, j’en mouille. Maître vient de temps en temps consulter mon avancée mais j’avoue que l’excitation prend le pas et me fait ralentir sur mon écriture.

Une fois terminé, je relis, corrige les fautes. Le passe au correcteur pour corriger celles que je n’aurais pas vu.

J’appelle Maître. Je me lève et le laisse prendre ma place. On entend aussitôt un bruit. Les boules de Geisha se sont retirées toutes seules :

« Passe-les à l’eau, range les et reviens ici. »

J’obéis et lorsque je reviens, je me mets debout à côté de lui attendant ses remarques. De temps à autre, une main caresse mes fesses ou mon intimité mais ne dure guère longtemps.

« Je compte 5 fautes. Tu auras ta punition plus tard. corrige-les et allons-nous reposer dans le salon. »

Je les corrige, j’enregistre et le rejoins au salon. Il est sur sa console, j’en fais de même avec la switch et passons un après-midi tranquille. Vers 17h, la lumière commence à tomber :

« C’est l’heure de la promenade ma chienne. Allons-y.

– Dois-je m’habiller ?

– Uniquement de ton manteau chaud. Il n’a pas l’air de faire froid. »

J’enfile les tennis chaude convenant à notre sortie, je mets mon manteau et le laisse m’accrocher ma laisse à mon cou. Il prend une grande bouteille d’eau. Inutile de m’expliquer, je comprends. Il prend également un sac et je me doute que le paddle y est.

Nous voilà partis. Sur le chemin, j’essaie de boire le maximum d’eau que je peux mais n’ayant pas vraiment soif, c’est compliqué. Une fois arrivés, la moitié de la bouteille d’eau est vide. Maître décide de me retirer la laisse.

j’attends que Maître m’ouvre la portière et nous voilà main dans la main à nous promener comme si de rien n’était. Nous ne croisons personne mais à un moment, Maître bifurque. Il connaît un coin qui se veut discret. C’est ici qu’il décide non seulement de mettre ma laisse mais également d’ouvrir mon manteau permettant à ma nudité de sentir la fraîcheur de l’hiver.

Mais j’avoue qu’il est doux et c’est même plutôt agréable. comme convenu, lui est devant et moi derrière. De temps à autre, il tire sur la laisse pour me faire accélérer et aussi me rappeler que je ne suis aucunement libre de mes mouvements. Ils lui appartiennent.

Il finit par s’arrêter et me dit :

« Donne ton manteau et appuie-toi sur cet arbre. »

J’obéis et là, je m’aperçois qu’il ne fait pas si doux que cela.

– Je ne veux pas que tu attrapes froid alors je vais réchauffer rapidement tes fesses. A toi de respecter les règles de la punition.

– Oui Maître.

J’obéis et je reçois les cinq coups de Paddle sur mes fesses. Autant la première, j’ai supporté mais Maître n’y allant pas de main morte, j’avais les larmes aux yeux au cinquième. Il s’approche et me tend sa main :

– Merci Maître de me rappeler ma place et les règles.

J’embrasse sa main. Il me couvre de mon manteau et touche ma chatte qui est bien trempée.

– Ecarte les jambes et le manteau Cookie.

– Waouf. »

C’est ainsi qu’il me branle en pleine forêt et me fait couler par deux fois. Il me tend un mouchoir, me permettant d’essuyer mes jambes. Il m’autorise à refermer le manteau mais pose la laisse sur mon manteau.

J’ai apprécié ce petit moment même si je sens que mes fesses sont rouges. Je me rends compte que nous étions observés par au moins deux voyeurs. Je rougis et en discute avec Maître qui m’informe qu’ils étaient cinq et les a observé à chaque moment. Ils ont profité aussi bien des coups de paddle que de la branlette.

La nuit tombant, Maître nous fait revenir sur le chemin principal mais une envie pressante se fait sentir. Je l’en informe.

Il nous met à l’écart et m’aide à mettre à quatre pattes. Il relève mon manteau fin que mes fesses soient libres et qu’il ne puisse pas être touché. Il tient fermement la laisse et dès qu’il m’autorise, j’urine ainsi devant lui comme une chienne.

Il en est très fier mais je trouve étrange qu’une fois terminé, il ne m’aide pas à me relever ni ne me l’ordonne. J’entends alors une fermeture éclair et sens un liquide chaud sur mes fesses et sur mon anus.

Maître marque son territoire :

« Moi aussi, j’avais envie mais je veux que tu saches à quel point j’ai des droits sur toi comme celui de t’humilier comme il convient. »

Je reste ainsi et je trouve la situation à la fois étrange, humiliante et excitante. Sentir son urine sur moi me montre à quel point je suis prête à m’avilir pour le satisfaire mais aussi combien cela m’excite. Je reste ainsi jusqu’à ce qu’il ait terminé.

Il sort de nouveau un mouchoir et m’essuie quelque peu. Mais cela n’enlève en rien l’odeur d’urine sur mon corps. C’est là qu’il décide de me relever. Nous rentrons ainsi à la maison.

C’est à ce moment-là que j’ai le droit de prendre une douche. Car j’avoue que l’odeur dans la voiture n’était pas franchement agréable mais montre à quel point je suis Cookie et jusqu’où je suis prête à aller pour lui.

Une fois sortie de la douche, il est temps de manger. Maître avait déjà tout préparé le matin et m’invite à manger à ses pieds quand lui est à table.

« Ce soir, ce sera spécial, télévision dans la chambre avec toi dans mon lit.

Dire que c’est son lit montre une nouvelle fois que je n’y accès que parce qu’il m’en donne l’autorisation.

– En quoi ce sera spécial Maître ?

– A chaque fois que je dirais Cookie ou que je te siffle, tu lèches mes couilles et ce, jusqu’à demain matin.

– Bien Maître. »

Une fois notre dîner avalé, je débarrasse et mets tout dans le lave vaisselle. Nous nous lavons les dents et une fois le film lancé, je me colle à lui avec mon corps offert. C’est ainsi qu’il joue avec mes seins et mon intimité.

Mais aussi avec la règle du soir. il a sifflé au moins dix fois. Mais plusieurs fois, il m’arrête avant que j’atteigne ses couilles :

« Je voulais juste vérifier que tu as bien compris les ordres ma Cookie.

– Waouf. »

Ce qui n’empêche que je les lui lècherais en voyant son sexe bien dur mais je n’ai pas le droit d’y gouter.

Il attendra la fin du film avant de me prendre en levrette et en faisant en sorte que ses couilles cognent bien fort mes fesses.

Mais ce que je devais comprendre cette nuit-là, c’est que mon sommeil lui appartient également. Au moment de m’endormir :

« Cookie. »

Alors bien malgré moi, je remue et vais jusqu’à ses couilles et les lécher de nouveau. Je n’y crois pas, Maître s’endort ainsi. J’arrête dès que je le sens bien endormi.

Je finis par m’endormir mais mon sommeil est entrecoupé puisque trois fois dans la nuit, il dira Cookie et une fois, il me remuera pour me réveiller. J’avoue que j’ai adoré mais j’aimerais quand même dormir. chose qui finira par arriver mais à l’aube de cette nuit infernale.

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