Synopsis

Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.

Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.

Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire

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Cher journal,

J’entends Maître qui se réveille mais il me dit :

« Je t’ai privé de sommeil, dors et reste au lit autant qu’il te plaira. Aujourd’hui, c’est moi qui te servirait. »

Il ne me faut pas le dire deux fois, je m’endors et me réveille plusieurs fois. Mais je finis par me réveiller sur les coups de 10H. J’entends alors Maître qui m’apporte mon petit déjeuner au lit :

« Honnêtement, cela fait une semaine que cela dure et tu m’épates. Alors, tu as le droit d’être récompensée. La semaine a été dure et l’on ne sait pas vraiment reposé tous les deux. Alors aujourd’hui, quartier libre ma Lili. »

Je savoure le petit déjeuner en parlant avec Mon Maître. Je file à la douche et pour la première fois depuis longtemps, m’installe sur le canapé dans les bras de mon Maître. Cela ne dure guère longtemps vu qu’il joue à la console et moi, je lis un livre.

L’heure du déjeuner arrive bien trop vite et il me fait comprendre que j’ai le choix. je réfléchis car c’est un dilemme. C’est sûr que manger à table est agréable mais quelque part fait oublier ma condition. C’est de mon propre chef que je décide de manger et de laper dans mes gamelles.

Toutefois, Maître m’interdit de faire le service et de nettoyer mes gamelles. C’est ainsi que nous mangeons et discutons. Bien que Maître m’ait laissé choisir, je vois à son attitude et son regard qu’il apprécie mon choix. Il apprécie le fait que je me rabaisse de moi-même.

Je le vois d’ailleurs à son pantalon. A la fin du repas, j’ose même demandé :

« Cookie aimerait une sucette pour le dessert.

– Elle l’a amplement mérité. »

Il défait son pantalon et c’est ainsi que sous la table, sous les caresses et les encouragements de Maître que je le déguste savoureusement. Malheureusement, il éjacule vite, bien trop vite à mon goût dans ma bouche même si son jus est délicieux.

Ainsi, tous deux rassasiés, je rejoins le canapé et ma lecture tandis que Maître débarrasse et lave mes gamelles.

Il me rejoins et me propose un jeu de société. J’accepte volontiers. En réalité, nous en ferons plusieurs. Je gagnerais plusieurs fois mais lui aussi. Nous nous amusons et j’adore notre complicité.

Je dois dire que ce dimanche est bien reposant et amusant. Toutefois, mon corps est habitué à un plaisir quotidien et malgré que nos jeux sont tout à fait vanille, mon corps lui réclame autre chose et mes pensées sont aillaurs.

Maître le remarque et me dit :

« ‘Au prochain jeu, tu auras le droit de jouir autant que se peut. Si je gagne, ce sera sous mes conditions et j’ai une bonne idée pour toi. Si tu gagnes, c’est toi qui choisit. »

J’accepte le défi et j’avoue qu’avec la mise en jeu, la partie est bien plus sérieuse que les autres. Cela ne s’est joué à rien et finalement, il gagne. Mais je me demande s’il n’a pas triché. Mais impossible de le dire, je serais punie.

« Suis moi. »

Il m’emmène à la chambre. Il installe les menottes des poignets et des chevilles et suis installée comme si c’était une croix de Sainte André. Mes seins collant à la porte.

Il sort le paddle et me donne des petites tapes partout sur mon corps. Il griffe de temps à autre mon dos ou me mord le cou. Je suis en pleine extase. D’autant que ne sachant pas du tout, ce qu’il prépare, je sursaute à chaque fois.

Je sens alors quelque chose qui me pénètre. A la grosseur et à la matière, je reconnais le gode noir. Il l’insère et le bouge doucement. Il le fait accélérer mais depuis un certain temps, j’ai du mal à me laisser aller si je n’ai pas son autorisation.

Je le lui dit :

« Supplie-moi alors.

Arg, je déteste quand il fait cela.

– Maître, ayez pitié d’une Cookie en chaleur qui a besoin de jouir. Je vous en supplie à genoux de me laisser aller à la jouissance.

– Nous allons vérifier cela.

Je ne comprends pas. Il me détache et c’est à que je tilte. Je me mets à genoux, le regarde d’un air suppliant :

– Maître, permettez-moi de jouir, je vous en supplie.

– Viens sur mon genou. »

Il s’assied sur le lit et je m’installe sur son genou auquel je me frotte. Mais j’arrive à me lâcher quand il me dit :

« Jouis ma chienne. »

C’est ainsi que je lui obéis et ce, plusieurs fois. Quand je n’en peux plus, je descends, je m’allonge sur le lit sur le ventre et là, reviens le gode noir :

« Non, je n’en peux plus. S’il… »

Arrive de nouveau une jouissance, une forte, une puissante, celle que je déteste car c’est presque une torture :

« Je sais quand tu es rassasiée ou ne l’est pas ma chienne. Mais tu as bien joui. »

Il retire le gode noir et va le rincer. Je vais au salon et range les jeux de société. J’aide Maître à préparer le repas et cette fois, je mange à table.

Une soirée tranquille sans rien à dire afin d’entamer la semaine aussi en forme que possible.

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