Synopsis
Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.
Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.
Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire
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Cher journal,
Quand je me réveille, je suis sur le canapé. il fait bien jour et je me demande bien l’heure qu’il est. Je vais mieux qu’hier mais ce n’est pas encore terrible. Je vois un petit message de Maître sur la table :
« Aujourd’hui, je t’interdis formellement de travailler. J’ai envoyé un texto via ton tel à ton chef. J’ai désactivé ton réveil. J’en ai mis un à 11h car tu dois aller chez le médecin à 11h30. Tu as le droit à tout ma chienne. A 13h, ton repas arrive (au cas où il y ait du retard chez le médecin). Autre ordre : repos ! Pour les médicaments, tu ne t’en occupes pas, j’ai déjà vu avec lui pour qu’il m’envoie l’ordonnance.
Passe une bonne journée ma chienne. »
Ah ! Je suis à la fois touchée par autant d’attention mais aussi déboussolée que je n’ai plus de contrôle sur rien y compris mon travail. Bon, énervée aussi du fait que ma maladie m’empêche d’être à ma véritable place.
Même si cela montre également comment se passe une relation D/S au quotidien, je dois dire que j’avais eu d’autres scénarios en tête.
A peine le temps de me remettre les idées en place que le réveil sonne. Ah oui, moi qui ne fais jamais de grasse matinée…
Je me lève mais je me prépare prudemment pour éviter tout accident.
Heureusement que le médecin est à 5mn et qu’il n’a pas de retard. Il me dit juste un vilain rhume et que vu que cela fait 2 jours, cela devrait aller mieux déjà demain.
Il m’arrête quand même le restant de la semaine et j’ai pour ordre de me reposer.
Quand je rentre, j’enfile un nouveau pyjama et pilou pilou et attends sur le canapé mon repas. Maître me connaît si bien, ce sont les soupes asiatiques que j’affectionne.
Mais étant énorme, je n’en bois que la moitié et mets le reste au frigo. J’envoie un texto à Maître en le remerciant pour tout ce qu’il fait pour moi et que je me sens déjà mieux.
Ce qui est vrai. Ce qui est bien, c’est que je ne dors pas de l’après midi même si je me fais couler un bain. Je joue même à Zelda, preuve que cela va déjà plutôt bien.
Quand Maître rentre, il m’y voit et me parle de sa journée. Il me réchauffe ma soupe du midi et m’ordonne de la boire au lit même si je vais mieux.
Mais voilà, j’ai envie d’un peu plus que de sommeil. Maître résiste et refuse. Et bien tant pis, je m’empare d’un petit jouet vibrant et le glisse sous le traversin.
Il me rejoint pour regarder un film dans notre lit le soir. Je sors discrètement le petit jouet et exagère mes gémissements. Il ne faut pas longtemps pour que Maître s’en aperçoive et même si au départ, il me gronde, il finit par enlever son caleçon et accepte même de se vider en moi en levrette.
Il m’accordera même quelques fessées mais plus légères par rapport à d’habitude.
Une fois remis de nos émotions : « Même si j’adore abuser de ma chienne, tu n’aurais pas dû dans ton état. Tu auras droit à une punition et elle se fera samedi. »
Oh la la, punie parce que je voulais du plaisir et quelle sera la punition. Peu importe, un dernier baiser, un dernier câlin tendre et me voilà parti au pays des songes.
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