Synopsis
Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.
Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.
Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire
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Cher journal,
Quand je me réveille, je suis dans mon lit. Maître est parti travailler mais je me rends compte qu’il est tôt. Je décide de prendre une douche et même si je ne sors pas, de m’habiller. Chaudement car il ne faut pas exagérer.
Comme je me sens mieux, je décide de cuisiner pour ce soir. Je fais un bon petit plat à mon Maître. Cela m’a pris une bonne heure mais la fatigue me rattrape.
Je m’installe sur le canapé avec un bon plaid et finis par m’endormir. Je dors une bonne petite heure. Le plat pour ce soir est prêt, il macère. Il n’est pas encore l’heure de déjeuner et je me demande ce que je vais faire.
Je prends la switch et joue à Zelda tout simplement jusqu’à ce qu’un Uber arrive. Je m’en doutais et j’avoue que la soupe contenue me fait énormément de bien. Ayant sous estimé ce matin mes forces. Je glande toute l’après midi.
Quand Maître rentre, il me retrouve devant la télévision sous mon plaid endormie. Il me réveille par un baiser sur le front. J’essaie de le convaincre que je vais beaucoup mieux mais il ne me croit pas.
D’autant que le fait d’avoir le dîner me vaut une nouvelle punition. Parce qu’une soumise malade doit rester à se reposer. Mais bizarrement quand je le vois, j’ai envie d’être à ses pieds littéralement. Toutefois, je n’ai pas le droit de bouger du canapé au risque d’aggraver mon cas.
Il nous sert notre dîner sur notre petite table tout en discutant. J’ai envie d’une petite sucette mais si je lui dis, je vais me faire gronder. Mais à mon regard, il comprend.
J’essaie de faire les yeux de Cocker pour l’amadouer mais j’ai juste gagné le droit d’aller me laver les dents et de retourner au lit. Je vais quand même mieux et j’ai envie d’une tenue plus sexy que ce chaud pyjama.
Mais si je le fais, je risque d’être encore plus punie ou d’avoir une punition plus lourde. Maître me surprend debout en pleine hésitation :
« Tu as envie et tu as envie de me convaincre ?
– Juste votre merveilleux sexe et son délicieux jus.
– Tu me promets après que tu seras sage et fera le nécessaire pour prendre soin de toi ?
– Oui Maître. »
Il se déshabille, s’allonge sur le lit et m’ordonne de monter mais m’interdit d’en faire autant. Toutefois, il tient à me rappeler qui est le Maître et il joue tranquillement à son portable tandis que je me délecte de son sexe et de ses couilles.
Toutefois, cela dure un bon moment et je crois qu’il s’occupe à autre chose pendant que je suis ainsi n’aide pas.
« Il est temps d’en finir. »
Il lâche son téléphone et il ne faut guère quelques secondes avant que son jus ne coule dans ma gorge. Même si je suis satisfaite que mon envie ait pu être rassasiée, mon bas rein n’est pas indifférent.
Quand je remonte pour me coller à mon Maître, il glisse sa main dans mon pantalon et me fait jouir comme jamais :
« Tu exagères. Tu es malade et tu devrais que te reposer.
– Quand je vous vois, j’ai juste envie. C’est ainsi.
– Tu sais que tu me vouvoies ce soir ?
– L’envie d’être vôtre. »
Et c’est ainsi qu’il me fera jouir plusieurs fois avant de retirer sa main trempée et que je m’endorme pleine d’endorphine.
Je sens que demain, je serais guérie et la reprise de nos jeux devrait pouvoir se faire.
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