Synopsis
Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.
Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.
Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire
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Cher journal,
Inutile de te raconter ma journée vu que seule la soirée compte. Si ce n’est que dans la journée, il m’avoue que les personnes qui viendront manger sont le couple D/s de la semaine passée.
Peu importe, quand Maître rentre, j’ai mis mon collier et ma tenue de servante. Je l’attends debout, les yeux baissés.
Il me jauge et ne bouge pas. Je me doute que c’est un test pour voir si je vais déroger à la règle ou non :
» Prends mon manteau et range-le. »
Il l’enlève, je le prends et le range dans le placard. Il se déchausse et je fais de même avec ses chaussures. Quand je suis servante, je dois simplement attendre dans un coin désigné par ses soins au début du mois.
Il est admiratif car j’ai dressé la table qui leur servira pour manger et j’ai préparé la petite table avec des verres également pour l’apéritif.
« Vas manger et reviens à ta place. »
Je file à la cuisine mais j’avoue qu’au vu de l’heure, je n’ai guère faim mais je sais que si je ne le fais pas, je n’aurais pas le temps ce soir et mon ventre gargouillera.
Je mange quelque peu avant de ranger mon assiette et mes couverts dans le lave-vaisselle et revient à ma place, dans le coin, les yeux baissés. Maître s’est changé après avoir pris une douche et m’ignore complètement comme si j’étais un objet dans la pièce.
J’avoue que rester debout, immobile n’est gère évident quand, enfin, sonne la porte d’entrée.
Je vais leur ouvrir et garde les yeux baissés en les laissant passer. Maître est là pour les accueillir :
« Bienvenue chez moi. Mais déshabillez vous et déchaussez vous. Ma boniche va s’occuper de vos affaires.
C’est humiliant mais j’avoue aide à humidifier mon entrejambe qui est loin d’être sec.
Ils me tendent manteaux et chaussures et les range au même endroit que les affaires de Maître.
Ils s’assoient autour de la petite table et parlent tout en m’ignorant. Le soumis de Madame a un collier et je remarque que lui s’est assis à terre montrant sa place à qui le vois.
Je me mets dans le coin et les observe sans bouger. Je n’avais pas vu mais Maître a une petite clochette. Je m’approche :
« Que puis-je pour vous Maître ?
– Va chercher les amuse-gueule.
– Et ensuite viens lécher les pieds de mon chien. Il adore qu’une chienne le lui fasse. m’ordonne Madame.
– Bien Maîtresse. »
Je m’éloigne et elle félicite mon Maître pour mon dressage mais il lui fait remarquer que je n’ai pas été sage cette semaine et qu’elle pourra m’octroyer la punition qu’elle souhaite ou son chien s’il le mérite.
Je n’entends pas la suite et amène l’apéritif avant de mettre le plat au chaud comme conseiller par le traiteur.
Maître a servi les verres et je dépose leurs amuse-gueule sur la petite table. Le chien de Madame s’est assis sur le canapé et c’est à quatre pattes que je lèche quelques minutes ses pieds.
Maître vient à moi et glisse un doigt dans mon intimité :
« Voyez comme elle aime sa place, dit-il en montrant son doigt. A ta place, on te sonnera quand on aura besoin de toi. »
Je me lève et rejoins mon coin.
« Je la trouve un peu trop habillée à mon goût. A-t-elle des pince-tétons qui lui sied bien ?
– C’est même écrit esclave.
– Esclave, je te veux nue avec tes pince tétons. Mais avant, sers-nous l’entrée. M’ordonne Madame.
– Etant donné ton rabaissement, ce sera le coin à genoux, yeux baissés. rajoute Maître.
– Bien, Maître et Maîtresse. »
Je retourne dans la cuisine et leur sers l’entrée. Je me dépêche d’aller dans la chambre pour enlever ma tenue et mettre en place les fameux pince-tétons. Je les règle pour qu’ils ne soient pas trop douloureux et reviens m’installer à la place indiquée par Maître.
« Elle est mieux en esclave. Tu vois Médor, hiérarchiquement, tu es au-dessus d’elle.
– Oui, Maîtresse mais vous m’aviez promis une chose.
– C’est vrai mais attendons le plat si tu veux bien. Répond-elle. »
Ils mangent et discutent de tout et de rien. Maître fait retentir la sonnette qui me fait me lever et débarrasser la table. J’ai droit à des caresses ou des fessées de la part des trois. Maîtresse tire même un peu sur le cordon de mes pince-tétons pour me tester.
J’avoue que cela est quelque peu douloureux mais je dois les garder. Je ramène le tout dans la cuisine et leur sers le plat avant d’y revenir pour tout ranger.
Je retourne à ma place quand Maîre me dit :
« Médor a mérité que tu le suces pendant qu’il mange. Alors sous la table esclave. »
Je file sous la table et vu qu’il est cul nu (il s’est sûrement déshabillé quand j’étais sous la table), je prends son sexe en bouche. Il durcit rapidement et je dois avouer qu’il éjacule très vite dans ma bouche.
« Tu peux arrêter. Me dit-il. Merci Maîtresse;
– Tu l’as mérité et je dois dire que cela n’est que sa place qu’être plus basse que toi. »
Je commence à comprendre. Maître les en a informé que l’humiliation est ce qui me plaît et ils font leur possible pour me le rappeler. Mais j’avoue que la soirée ne me déplaît pas.
Maître me sonne et vient à lui. Il m’enlève les pince-tétons avant de me laisser me débarrasser. Quand je suis dans la cuisine, j’entends :
« Ne sers pas le dessert et viens poser tes mamelons sur la table. »
Il ne m’a jamais parlé ainsi mais je vois bien qu’il emploie des termes les plus péjoratifs pour me rabaisser.
Ils ont enlevé les verres et la nappe. Je pose donc mes sens sur la table. J’ignore qui mais on me fait écarter les jambes.
« Tu te souviens que je t’ai promis une punition. La voici. »
Je sens des coups de cravache tombés partout sur mon corps. jambes, cuisses, mon entrejambe, mon dos. Les coups n’ont pas la même force et je me doute qu’en réalité, ils se relaient. Je les compte mais j’avoue qu’au bout de vingt, je ne tiens plus.
Certainement qu’ils s’en doutent car ce n’est plus un coup de cravache que je sens mais un gland qui me pénètre sauvagement. Je ne bouge pas et subis les assauts de mon assaillant qui, je le devine est Médor.
Je gémis et constate que Maître et Maîtresse ont fait exprès de se mettre debout dans mon champ de vision pour mieux constater mon rabaissement.
C’est Maîtresse qui arrête Médor :
« Très bon chien. Tu peux t’arrêter. Tous deux à genoux à côte de la petite table. »
Médor se retire et me relève. Je constate que même si j’ai pu jouir, je ne suis pas satisfaite. Pas entièrement. Maître est parti chercher le dessert. Pour lui et Maîtresse dans une assiette. Pour Médor et moi dans une gamelle et nous mangeons tels des chiens.
Il est revenu à sa place et je constate qu’il ne peut qu’aboyer tout comme moi d’ailleurs. D’autant que si jamais nous oublions qui nous étions, Maître et Maîtresse parlent de nous comme si nous étions réellement des animaux.
Je te dirais bien que la soirée se finit ainsi mais Maître avait toujours envie d’une chose. C’est ainsi qu’une fois le dessert avalé, nous allons tous les quatre dans la chambre. Maître me fait m’allonger sur le dos en relevant mes fesses.
Je me doute de ce qui m’y attend mais j’avoue que je n’aurais jamais pu deviné qu’il en serait ainsi. Maître et Médor sont debout sur le côte et Maîtresse a enfilé une ceinture avec un gode.
Elle le pose au bord de mon anus et me pénètre doucement. Je dis cela mais en réalité c’est moi qui bouge pour qu’elle me l’insère aussi profondément que possible.
De temps à autre, j’ai les encouragements de Maître qui me caresse la tête : « Bon toutou. »
Et c’est ainsi que je me fais sodomiser par Maîtresse et qui est l’apothéose et ma pleine satisfaction de cette soirée humiliante.
D’ailleurs, elle aura pris tout son temps et si je me fie à ses propres gémissements, je pense qu’elle en a même joui.
Elle me laisse me remettre de mes émotions avant de nous informer :
« Elle a eu son compte. Médor rentrons. »
Je me relève aidée par Maître et sors chaussures et manteaux de nos invités, toujours les yeux baissés. Quand ils partent, Maître me relève la tête, m’embrasse et me dit :
« Je suis très content de toi. Tu as été une bonne esclave, boniche et chienne. Allons nous coucher mais toi dans ton panier bien sûr. »
Il me ramène dans notre chambre, prends soin de m’attacher une cheville et me borde même dans mon coussin.
Même s’il a été content de moi, pas assez visiblement pour que je puisse être autorisée à dormir dans le lit.