Synopsis

Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.

Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.

Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire

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Cher journal,

Nous sommes samedi et j’applique les règles du week-end. Une fois réveillée et étirée, avec ma cheville attachée, je grimpe sur le lit et lèche les couilles de mon Maître :

« Oh non, chienne. Il est trop tôt. Va prendre une douche, prépare mon petit déjeuner dans la cuisine et va dans ton coussin dans le salon. »

J’obéis même si un peu déçue de cette réaction. D’autant que rien que de repenser à la soirée d’hier, j’aurais aimé un peu plus d’attention.

Maître finit par se lever mais tardivement :

« Nous ne mangeons pas ici ce midi. Je me prépare et nous partons. »

Décidément, je tombe de surprise en surprise. Allons-nous retourner dans ce restaurant ? Allons-vous dans un vrai restaurant ? Si nous rendons visite à une personne, à qui ?

Maître me mets la laisse et m’enfile un manteau et nous voilà partis. Il n’est pas bavard contrairement à ses habitudes, je me demande ce qui le tracasse. Je n’ose lui demander de peur d’aggraver la situation.

Effectivement, il me ramène dans le fameux restaurant spécial mais au lieu d’être à une table isolée, je vois qu’il y a quatre couverts à table et quatre gamelles à terre. Donc trois autres couples vont nous rejoindre et il me dit :

« Je ne voulais pas venir mais j’ai fait une promesse. Alors passons ce moment et ensuite, nous ne serons que tous les deux. »

Effectivement, même si j’avoue que manger dans une gamelle avec trois autres chiennes à terre ne me laisse pas indifférent, aux discussions et à la manière de parler de Maître, il n’est pas à l’aise.

C’est ainsi que se déroule le repas. Maître salue les autres, me remets ma laisse et nous repartons ainsi. Je lui demande :

« Qu’est ce qui ne va pas ?

– J’avais d’autres projets pour toi mais eux ont insisté pour ce déjeuner mais ils espéraient pouvoir abuser de toi. Je n’étais pas contre jusqu’à ce qu’ils me disent que je devais te laisser seule à eux. Sans que je sois présent. Et connaissant leurs pratiques, il en était hors de question. Nous sommes tombés d’accord sur un déjeuner mais je ne veux pas que tu aies affaire à eux.

– Bien Maître. »

Il prend le chemin de la maison mais le ciel commence à s’assombrir et il prend une autre route. Il entame la discussion sur d’autres sujets et je comprends qu’il se sent beaucoup mieux. Il m’emmène au bord d’une forêt et me dit :

« Une chienne, cela se promène. »

J’ai le droit de garder le manteau mais il doit être ouvert. Nous nous avançons dans la forêt et les premières gouttes de pluie tombent. Il m’arrache presque mon manteau, me fait appuyer sur un arbre. Il enlève son pantalon et me possède comme jamais il ne l’avait fait en extérieur. La pluie tombe littéralement sur nous quand nous jouissons.

Une fois terminé, il se rhabille vite et m’aide à enfiler et fermer le manteau. Il me frotte et me dit : « Je ne te veux pas malade une seconde fois. »

Nous courons pour rejoindre la voiture. Une fois à la maison, il m’enlève la maison et court chercher une serviette pour m’essuyer. Je me sens sèche mais un peu froid. Je n’avais pas vu mais il m’a amené un pyjama que j’ai droit de mettre :

« Juste le temps de te réchauffer. Ensuite, je te veux chienne. »

Je vais dans mon coussin pendant qu’il s’occupe de lui. L’après-midi se passe tranquillement jusqu’à ce qu’il décide que je sois devenue nue, à quatre pattes sur le canapé pendant qu’il me gode. Mais il ne me laisse jamais aller à la jouissance. C’est ç ce moment qu’il m’informe :

« Tu es prête, allons-y. »

Aller où ? J’enfile manteau mais il me fait changer de collier pour mettre celui publique. j’avoue que je suis chaude et que j’ai bien envie d’être satisfaite.

Nous allons à un club dont il m’a déjà parlé. Il me mets nue et j’avoue que je ne suis pas à l’aise dans ce nouveau lieu car je sais ce qui m’attend. Maître me fait allonger sur une planche, me fait un bon cunnilingus et bascule la planche. Au milieu, une cloison de manière à ce que l’on ne voit pas de l’autre côté. Je vois juste Maître qui me regarde ou joue avec mes seinns.

Et ce, jusqu’à ce que des doigts glissent dans ma chatte avant que cet homme dont je ne sais rien me possède. Bien malgré moi, il finit très vite. Maître, me connaissant, ne dit rien et me laisse ainsi. Il ne faut guère de temps avant qu’un deuxième puis un troisième et enfin un quatrième s’enchaînent. C’est le coup de grâce.

Maître retire la planche et m’aide à me relever et allons boire un verre.

Nous discutons de ce qui vient de se passer et j’avoue qu’être soumise ainsi à des inconnus sans les voir, j’ai adoré. Même si, il faut le reconnaître, ils sont venus juste pour se vider sans prendre en considération mon plaisir.

Mais après tout, ce soir, je suis une vide-vouille. C’est ainsi que j’ai droit à une deuxième tournée si je puis dire pour que des sexes abusent de moi en toute simplicité.

C’est après que nous rentrons simplement nous coucher. Cette fois, j’ai droit au lit.

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