Synopsis
Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.
Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.
Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire
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Cher journal,
Lorsque je me réveille, Maître dort encore. Je monte sur le lit et je commence par lui lécher les couilles tranquillement. Quand je le sens éveillé, je prends son sexe en bouche afin de le savourer. Quoi de mieux que le sentir grossir sous mes coups de langue.
Il appuie sur ma tête ou me la caresse pour mieux me guider. Je sais qu’il fait des efforts pour que cela dure longtemps mais il éjacule très vite.
Il m’invite à le rejoindre et me prend dans ses bras :
« Aujourd’hui, tu vas être mon animal de compagnie littéralement. A la sortie de ta douche et après le petit déjeuner, je te veux dans ton coussin. »
Il m’emmène alors dans la salle de bain. Je n’avais pas compris toute l’étendue du mot « animal de compagnie. »
Il me fait mettre à quatre pattes dans la douche et c’est lui qui me lave comme une véritable chienne. Il prend le temps de m’essuyer et me fait asseoir comme un animal pendant que lui prend sa douche.
Une fois que lui est habillé, chose qui m’est interdite, lui debout, moi à quatre pattes allons dans la cuisine. C’est le seul repas que je suis autorisée à prendre à table.
Et ce, avant de rejoindre mon coussin et de mettre le bâillon boule qui m’attendait sagement sur la petite table. Quand Maître arrive, je le vois qui tient mon rosebud en queue animal. Il me fait mettre en levrette et me l’insère.
Mais effectivement, je ne resterais guère longtemps ainsi tranquille puisque les ordres sont clairs quand je suis son animal de compagnie. Quand il siffle, je dois venir à lui et frotter ma tête contre sa jambe pour quémander attention et caresse.
Toutefois, il a sorti également des jeux de chiens et lance la balle pour que j’aille la chercher ou me tend un cerceau que je serre avec mes dents et que je ne dois pas lâcher. Quand je réagis bien et qu’il me considère bien dressée, il me donne un sucre qu’il pose sur sa main et que j’accepte comme une récompense.
Ainsi, se passe notre matinée.
Pour le déjeuner, dois-je préciser que lui a droit à la table tandis que moi, à ma gamelle à terre sans que tien ne se passe. Pour une fois, je ne dois rien débarrasser. Un animal ne peut se tenir debout.
Mais je suis tenue d’avoir le bâillon boule pour l’après-midi. Je dois dire qu’une petite sieste s’impose à nous. Lui dans le canapé, moi dans mon coussin. Il faut dire que la veille et l’heure de coucher n’ont pas été reposants.
Quand la sonnette de la porte retentit, nous nous réveillons en sursaut et nous nous regardons. Nous n’attendons personne. Maître se lève et va à la porte qu’il n’ouvre pas entièrement afin de ne pas dévoiler ma condition.
Il discute mais je n’entends pas les propos. Il referme la porte et vient vers moi :
« C’est Jules. Il sait pour ta condition et va venir jouer à la console avec moi. Pour cette après-midi, tu n’as pas à lui obéir mais juste à être une gentille chienne à son Maître. »
Il retourne à la porte qu’il ouvre. Il débarrasse Jules de son manteau et de ses chaussures.
Comme il l’a dit, ils jouent tous deux à la console. tous deux me sifflent de temps à autre pour frotter ma tête contre leur jambe. Jules aime les jeux de petplay et a eu plusieurs soumises. De ce fait, me voir ainsi dans cette condition lui paraît normal.
Je les regarde jouer et tend l’oreille quand Jules demande à mon Maître :
« Est-ce que cela ne te dit pas de corser le jeu ?
– Comment cela ?
– Une chienne me manque et je me dis que tu pourrais la mettre en jeu. Si je gagne, tous deux venez passer le samedi prochain chez moi. Toi, pour veiller sur elle. Moi, pour m’occuper d’elle. Elle m’appartiendra.
– Et si je gagne ?
– Alors, c’est moi qui deviendrais ton chien et tu pourras me donner tout ordre que tu veux et m’occuper d’elle comme tu en auras envie. »
Maître m’avait parlé lui et expliqué qu’il était switch et combien il avait envie de le faire obéir à ses ordres. Tout comme son envie de me prêter à lui mais en sa présence. Alors cela ne m’étonne guère quand Maître accepte.
Dans les deux cas, Jules me possèderait. La question était donc de savoir en tant que Maître ou en tant que chien.
Je les regarde jouer et je dois dire que la tension est palpable. L’enjeu mis sur la table, ils sont devenus sérieux. Impossible de dire qui va gagner, tantôt c’est Jules, tantôt c’est Maître. Ils en oublient même ma présence.
Comme ils n’arrivent pas à se départager, Maître lui demande :
« On le fait au hasard. Pierre, feuille, ciseau. Le premier qui gagne remporte le jeu.
– Cela me va. »
Maître fait pierre, Jules ciseau. Oui, premier point pour Maître.
Maître refait pierre mais Jules feuille. Zut, égalité.
Maître décide de faire ciseau, Jules pierre. Arg, 2- 1 pour Jules.
Maître décide de refaire ciseau, Jules feuille. 2-2
Ils se regardent et je sens la tension. Le dernier point va déterminer le gagnant.
Pierre, feuille, ciseau et Maître perd puisque Jules recouvre la pierre de Maître avec sa feuille.
« Je l’emporte. Je l’attends pour 14h et fait en sorte qu’elle ait envie de faire ses besoins. Je la veux avec son rosebud mais pas son bâillon. Je veux l’entendre gémir et glapir comme une chienne. »
Il me fait un clin d’œil mais j’appréhende déjà. Maître le raccompagne et me fait monter sur le canapé avant de s’installer.
Je suis toutefois assise comme une chienne et me dit :
« Je connais Jules et ses pratiques. Je serais là et je l’aurais briefé avant. Tu vas bien jouir comme une chienne, crois-moi et que du bien ne t’arrivera. Tu as mérité que je t’enlève cela. »
Il m’enlève le bâillon boule et m’embrasse. il glisse des doigts en moi pour constater à quel point je suis trempée. Il me fait mettre en levrette et se saisit d’un gode pour me faire jouir comme jamais.
Mais la dernière extase, celle qui met l’apothéose à cette séance, c’est quand lui retire le gode pour y insérer son sexe en moi. Bien évidemment, avant de m’avoir mis des fessées comme il se doit dans ma condition.
Et j’adore ces moments de jouissance qui me font presque oublié ce qui s’est passé l’après-midi.
Après le plaisir pris, je retourne docilement dans mon coussin tandis que Maître prépare notre dîner qui se déroule comme le déjeuner. Même pour le film du soir, je n’ai droit qu’à mon coussine et à des sifflements quand il veut que je frotte ma tête contre sa jambe.
Mais voilà, j’ai encore envie et Mettre le sent bien. Il me tend le Wand et m’impose de jouer avec avant de remettre mon bâillon boule. Je fais du mieux que je peux pour me donner du plaisir tel un animal. Je suis semi assise sur le Wand et me frotte contre lui.
Ma bave coule malgré moi de ma bouche tandis que j’enchaîne les jouissances jusqu’à en être satisfaite. Je tends alors le jouet à Maître qui l’éteint et part le laver. Il m’autorise à me libérer de mon bâillon et de ma queue que je lui apporte en tant qu’humaine (il m’y a autorisé) afin de les laver également.
Je retourne dans mon coussin dans la chambre après avoir accroché ma cheville et aussi étrange que cela puisse paraître m’endort presque aussitôt pour passer une bonne nuit.