Synopsis
Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.
Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.
Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire
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Cher journal,
Le réveil sonne et j’avoue que j’ai bien du mal à me réveiller. Maître est déjà parti.
Peu importe, je libère ma cheville, prend mon petit déjeuner, une petite douche et me voilà devant l’ordinateur. J’ai un T-shirt à proximité au cas où il y aurait une réunion en visio.
Mais j’avoue que ma journée est tellement chargée que je ne vois pas le temps passé et ne m’aperçoit pas des ordres reçus par Maître.
Quand il rentre le soir, il me voit en train de travailler, me fait un bisou et s’occupe du repas. J’avoue que je n’arrêterais que lorsqu’il m’appellera pour le dîner :
« Dure journée ?
– Ne m’en parle pas.
– Tu n’as pas vu mes ordres ?
– Ah non, j’en suis désolée Maître. Je n’ai pas arrêté et grignoter en guise de déjeuner.
– Ce n’est pas grave ma chienne mais dis-moi ce qui te ferait plaisir ce soir ?
Je prends le temps de la réflexion. Pour une fois, j’ai le choix sur comment vivre ma soumission. J’ai besoin de tendresse mais aussi de plaisir.
– Serait-ce possible que je sois dans tes bras après m’avoir soulagé avec la sex machine ?
– Bien sûr ma chienne. Mais j’espère que demain, ton travail sera plus light pour que je puisse en profiter. »
Sitôt le repas fini, Maître installe la sex machine et je me mets à quatre pattes pour qu’elle puisse me donner le plaisir et la détente tant voulus. Il débarrasse la table en entendant mes gémissements et mes jouissances.
Quand il a terminé, il me voit en pleine extase et se permet une petite caresse sur ma tête :
« Bon toutou. »
Crois-le ou non mais c’est ce qui me donne l’extase la plus forte avant de supplier mon Maître de l’arrêter.
Il l’arrête, m’aide à me relever et c’est ainsi que sur le canapé, nous regardons un petit film tranquille. Mais mes pensées vadrouillent et j’ai envie de lui donner le plaisir que j’ai eu.
Alors, je prends l’initiative de dégrafer son pantalon, de libérer son sexe de son caleçon.
Je me mets à quatre pattes pour mieux prendre son sexe en bouche. Maître ne bouge pas, reste concentré sur le film et me laisse faire. Il sait que m’ignorer en ajoute à ma condition et à mon humiliation.
Mais il ne le peut guère longtemps puisqu’il finit par éjaculer dans ma bouche. Quand j’essaie de me relever, Maître me fait allonger sur les genoux. Il me donne des fessées avant de mettre son pouce sur mon point G afin que je remue pour obtenir mon plaisir.
Il va le faire jusqu’à ce que l’orgasme pointe le bout de son nez mais s’arrête. Il s’empare du Gode noir, le mets au bord de mon anus qui est ouvert. Il faudra de la cyprine et un peu de patience avant qu’il me sodomise avec ce jouet afin de m’accorder l’orgasme.
« J’adore comment tu t’humilies pour le plaisir, ma chienne. Mais il est temps d’aller dormir. »
Je me relève, il prend le gode pour le laver avant de le remettre sur la petite table. Quant à moi, je vais dans la chambre, attache ma cheville et m’endors facilement dans mon coussin de chienne.