Synopsis
Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.
Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.
Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire
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Cher journal,
Le réveil sonne. Je me tourne vers Maître mais il n’est pas dans le lit. Je le trouve sur le canapé et il m’informe qu’il a eu une petite insomnie.
Peu importe, nous nous préparons et partons au travail. Rien de spécial à te dire si ce n’est que l’on dirait un couple ordinaire dans son quotidien.
Au travail, rien à dire non plus. Cela ne ferait que t’ennuyer.
Je rentre avant Maître. Je me déshabille et prend rapidement une douche. Juste le temps de pouvoir me mettre à genoux quand il rentre afin de lui enlever ses chaussures et lui embrasser les pieds.
En réalité, ce soir, nous sommes tous deux fatigués. Maître décide que nous serons livrés mais comme il aime m’humilier, il me demande de mettre une nuisette transparente sans lingerie avec mon collier. C’est donc à moi d’aller ouvrir au livreur ainsi.
Quand j’ouvre la porte, le livreur mets quelques secondes avant de s’apercevoir de ma tenue. Il semble d’ailleurs l’apprécier mais aucune réflexion. Il me donne mon sac et repars.
Maître est un peu déçu, il aurait aimé qu’il abuse de moi. Mais bon, nous mangeons sur la petite table et commençons à regarder un film quand la sonnette retentit.
Je pars ouvrir, tels sont les ordres de ce soir et revoilà le livreur :
« Tout à l’heure, je n’avais pas le temps. Mais si vous avez envie, je peux vous donner du plaisir.
Maître entendant ces paroles arrivent et lui dit :
– Elle est ma chienne. Mais dites-moi comment souhaitez-vous abuser d’elle ?
– Je dois dire que je voulais simplement lui faire l’amour.
– Et si vous aviez un fantasme. Le fait qu’une femme soit à vos ordres. Quel serait-il ?
Il hésite. Après tout, il ne nous connaît pas. Quant à moi, j’attends de savoir quel va être mon sort.
– J’ai le fantasme d’une femme attachée sur le lit, je rentre, j’abuse d’elle et je pars en la laissant ainsi.
– Rentrez. »
Maître le laisse rentrer et le fait attendre dans le salon tandis qu’il m’emmène dans notre chambre. J’enlève la nuisette et m’allonge Sur le lit. Il me fait écarter bras et jambes pour mieux les attacher. Il retourne au salon avant de revenir avec le livreur.
Il admire le spectacle et a du mal à se rendre compte qu’une femme lui soit autant offerte. Il commence doucement avec des baisers et des caresses. Il est tendre mais cela ne l’empêche pas de me doigter. Ses vêtements se frottent contre ma peau.
Il ne lui faut guère de temps avant de s’en débarrasser. Après avoir eu l’autorisation de Maître qui profite du spectacle, il m’embrasse. De par ces baisers, il descends jusqu’à mon entrejambe qu’il mange avec douceur tout en faisant monter le plaisir.
Maître lui conseille d’y frotter ses dents, ce qui me fait grimper d’un seul coup. Quand il se sent prêt, il met un préservatif et me pénètre toujours avec douceur. Je sens qu’il prend son temps pour en profiter un maximum. Après tout, cela ne lui arrive pas tous les jours.
Quand il a fini, il recule et prend tout son temps pour s’habiller tout en me contemplant ainsi :
« Si je pouvais, je la prendrais toute la nuit ainsi.
– Cela fait plaisir à entendre et vous n’imaginez combien cela me plaît qu’un inconnu la prenne ainsi. »
Il le raccompagne jusqu’à la porte tandis que je ne peux toujours pas bouger. Quand Maître revient, je pense que je vais être enfin libérer mais ce sont des coups de cravache qui tombent sur mes seins, mon ventre et ma chatte.
Cela ne fait qu’engendrer plus de plaisirs et des jouissances. Et ce, avant que Maître à son tour, abuse de moi plus sauvagement que le livreur. J’avoue que l’on ne l’avait jamais fait ainsi et que cela n’a fait que m’exciter.
Je suis enfin détachée, libérée et délivrée. Mais c’est mieux pour m’endormir dans les bras de Maître. Bon pas tout à fait, car nous discutons de ce qui vient de se passer avant de décider qu’il est temps de se reposer.