Synopsis
Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.
Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.
Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire
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Cher journal,
Aujourd’hui, nous ne travaillons pas. Maître m’avait demandé de poser ce jour et demain mais tout en ignorant la cause. toutefois, je me réveille comme si je travaillais.
Toutefois, je prends le temps de m’étirer et comme convenu dans nos règles, je le réveille comme un week end.
.Je monte sur le lit et je commence donc à prendre en bouche ses couilles. Je sens son gland grossir tout doucement Je décide alors de le prendre à son tour. Et ce, jusqu’à ce que son délicieux jus en découle.
Maître me caresse la tête et je le regarde :
« Bonjour ma chienne. Viens dans mes bras. »
J’obéis et apprécie ce geste tendre avant qu’il ne m’envoie à la douche. Quand j’en sors, je trouve une robe sexy, des jarretelles mais pas de sous vêtement. Mais ce n’est pas n’importe quelle robe, celle qui a des boutons qui s’ouvrent par-devant.
Je m’habille tandis que Maître prend sa douche. Un petit déjeuner m’attend et le savoure tranquillement.
Il me rejoint une fois habillé et me dit :
« Prête ?
– Prête pour ?
– Nous partons dans le Nord. Regarde. »
Il montre des sacs préparés et j’avoue que j’ignore quand il l’a fait. Il prend les sacs et partons en voiture. C’est sur l’autoroute qu’il me demande de déboutonner ma robe hormis lors des péages.
Maître m’emmène dans une petite ville au bord de la plage. Il se gare dans un parking d’un hôtel. il est presque 11h.
Nous y montons uniquement pour déposer les affaires avant de nous promener le long de la plage. Il fait froid mais j’avoue que l’air marin me fait du bien.
D’ailleurs, cela réveille mon appétit. Cela tombe bien, nous allons dans un restaurant et je me rends compte que non seulement Maître a réservé mais nous serons quatre.
Qui peut être les deux personnes ?
Je n’attends guère longtemps, un couple s’installe. La femme a un collier autour de son cou et je comprends. Les présentations sont faites et je me rends compte que c’est le couple avec lequel on discute avec Maître depuis quelques temps.
Un vrai plaisir de les rencontrer. Je remarque que, contrairement à moi, elle le vouvoie et demande l’autorisation pour parler. Chose qu’elle obtient à chaque fois.
J’avoue que le repas est passionnant, échange de vision du BDSM, des pratiques, des ressentis, de la conjugaison avec la vie quotidienne…
J’en apprends beaucoup et je les trouve intéressant. Et je dois avouer que des envies se réveillent. Bon il faut dire que Maître qui me doigte en plein restaurant y est pour beaucoup.
L’heure de l’addition arrive. Ces messieurs la règle. Quand nous sortons, je m’attends à des au revoir mais non.
« On se retrouve à l’endroit décidé ?
– Oui, elle n’est pas au courant mais je sais que cela lui plaira. »
Maître m’emmène à la voiture et m’explique que l’on va faire une ballade en laisse tous les quatre. Il y aura laisse et si le temps le permet, possible que nous soyons toutes deux nues.
L’endroit n’est pas si loin et je me rends compte qu’il s’agit d’un espace privé. Maître me sort et ayant mis mon collier de chienne y appose la laisse. ma robe est entièrement ouverte et j’ai le droit de la garder ainsi que le manteau.
Le couple est dans la même situation que nous. C’est ainsi que nous faisons une promenade. Je sais ce que Maître attend de moi et il est vrai qu’embrasser la soumise voire plus me titille mais je n’ose pas. Et ce, jusqu’à ce que nous arrêtions à une clairière et que nos Maîtres nous ordonne de nous amuser.
Nous nous embrassons, nous nous caressons et malgré nos vêtements, elle s’agenouille pour mieux me déguster. Maître m’ordonne de faire de même une fois qu’il a jugé que j’ai assez joui. Elle a pour ordre de me guider chose qu’elle fait délicatement.
J’avais oublié mais les femmes peuvent être douces. Je me relève et nos Maîtres décident qu’il est temps de rentrer. Ils rentrent chez eux et Maître nous ramène à l’hôtel où nous faisons une sieste plutôt coquine.
Et ce, avant que Maître me dise que nous avons un dîner avec un autre Maître.
Nous nous rhabillons et rejoignons un autre restaurant. Je suis ravie car c’est un Maître que je voulais rencontrer depuis longtemps. Et quelque part cela me rassure parce que je sais qu’il ne se passera rien si ce n’est un échange sympa.
D’ailleurs, nous passons tellement un bon moment que nous allons dans un bar après le restaurant. Maître me laisse parler avec lui et même boire des verres. Bon l’alcool réveille des envies et j’avoue que des idées me viennent.
Il le sent mais n’en profite pas même si pour nous dire au revoir, il m’embrasse avec passion sur la bouche avant de partir.
Maître me ramène à l’hôtel et nous faisons un simple câlin avant de nous endormir dans les bras l’un de l’autre.