Synopsis

Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.

Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.

Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire

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Cher journal,

C’est Maître qui se réveille en premier et pour une fois, c’est lui qui m’éveille. Et ce, en me faisant un gentil cunnilingus avec des caresses douces et tendres me faisant gémir doucement.

Mais cela ne dure guère longtemps car quand il sait que je le suis, il frôle ses dents entre mes cuisses, mord mon clitoris et provoque chez moi des sensations insoutenables. Je retiens mes gémissements. Les murs ne sont pas épais et je ne tiens pas à réveiller tout l’hôtel.

Ce qui ne fait qu’accentuer l’amusement de Maître et de continuer encore et encore jusqu’à ce que je n’en puisse plus.

Direction la douche à deux permettant de nouvelles caresses et bien évidemment une petite pénétration.

Nous rassemblons nos affaires et allons prendre le petit déjeuner. Avec tant d’endorphine, j’ai le sourire aux lèvres. Maître me laisse terminer tandis qu’il met nos affaires dans la voiture. Nous faisons une ballade au bord de la plage avant de déjeuner de nouveau dans un restaurant.

Nous reprenons alors la route. Comme à l’allée, mes seins sont à l’air sur l’autoroute.

Nous rentrons et cela me vaut d’être devenue nue, avec mon collier, dans mon coussin avec le rosebud queue animal. Maître s’occupe de tout ranger avant de revenir avec un gode noir m’ordonnant de jouer avec sans jouir.

Je le fais mais Maître ne me regarde pas, il vaque à ses occupations comme si de rien n’était. Et ce, jusqu’à ce qu’il décide que j’ai suffisamment joué. il me donne un sucre dans sa main et me demande de me reposer.

Seulement, mon entrejambe a envie d’autres choses. Quand je suis dans cet état, sans que je m’en rende compte, mes mains se posent sur mes seins avant de vouloir descendre.
Maître me connaissant très bien, m’en interdit formellement.

C’est difficile pour moi de tenir. Il ne le sait que trop bien. Il finit par arrêter ma torture. Il a enfilé une chaussure, poser son pied sur la petite table et j’ai gagné le droit de me frotter contre sa chaussure.

Au début, je suis hésitante à m’humilier de la sorte. Mais j’avoue que mon entrejambe ayant enfin ce qu’il souhaitait commande mon corps. C’est ce que Maître appelle laisser le contrôle au cerveau reptilien.

Je ne me contrôle plus, je me laisse aller, laisse le plaisir et les sensations m’envahir. Je ferme les yeux mais Maître m’oblige à le regarder pour voir jusqu’à quel point je suis prête à m’humilier pour mon plaisir.

Une fois obtenu, maître m’ordonne de rejoindre mon coussin tandis qu’il s’occupe du dîner. Lui, à table, moi, à terre, dans ma gamelle.

Pour la soirée, vu que demain sera une grande journée, nous regardons plusieurs épisodes d’une série que nous apprécions avant d’aller nous coucher.

Moi, cheville attachée dans mon coussin. Maître dans le lit.

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