Synopsis
Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.
Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.
Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire
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Cher journal,
Pour ce jour, quand je me réveille, je suis simplement Lili. Je peux me comporter telle que je veux. Je m’étire, libère ma cheville.
Je fais ma toilette avant de prendre mon petit déjeuner. Bien que j’ai le droit d’agir comme bon me semble, je décide d’aller dans mon coussin et de lire un livre.
Maître ne tarde pas à se lever et cela le ravit de me voir ainsi. Il prend son petit déjeuner au salon pour mieux apprécier le spectacle avant de prendre une douche et s’habiller.
Je n’ai rien à dire sur la matinée ni sur le déjeuner si ce n’est que j’ai l’honneur de le servir et de manger à table.
Quand 13H30 arrive, il mets en place mon rosebud queue et me donne une bouteille d’eau pour que je la boive autant que possible durant la prochaine demi-heure.
De toute manière, il est temps de partir. Comme à mon habitude, j’appréhende mais Maître m’assure que tout a été convenu qu’entre eux et que de toute façon, il est présent durant les prochaines 24h.
Sur le pas de la maison, Maître me retire mon manteau et mes chaussures. Je suis nue, collier, laisse et roesbud, assise comme une chienne. J’ai envie de pisser et le froid ne fait qu’accentuer cette envie.
Il sonne et mon Maître du jour ne tarde pas à ouvrir. Maître lui donne ma laisse. Maître Jules me regarde, me caresse et me dit :
« Tu vas être un bon toutou avec moi. Je t’emmène faire tes besoins pour commencer. »
Je me déplace à quatre pattes et nous traversons son salon. Je vois qu’il y a une cage et à n’en pas douter, elle m’est destinée. Il ouvre la porte qui donne sur son jardin, qui, je dois l’avouer est immense.
Le frois me transperce et il m’emmène au premier arbre :
« Je ne souhaite pas que tu attrapes froid alors fais au plus vite. »
J’écarte les jambes et urine devant lui. Une fois assuré que j’ai fini, il me ramène à l’intérieur. Il m’essuie les fesses et prend un grand plaid pour me réchauffer. Une fois que je ne tremble plus, il le retire et m’emmène jusqu’à sa petite table.
Il me fait me mettre à quatre pattes bien posée pour que je sois à mon aise. Mes deux maîtres pose leurs pieds sur moi. Je suis devenue un repose pied.
Ils parlent de choses et d’autres mais aussi de moi de manière humiliante et comme si je n’étais même pas dans la pièce. J’avoue que je me sens gênée et ne sais pas trop comment je dois prendre les choses.
Ma délivrance, enfin, je le crois, est quand la sonnette retentit. Ils retirent tous deux leurs pieds. Maître Jules me remets la laisse et m’emmène jusqu’au pas de la porte. Il me fait asseoir et l’ouvre. 3 hommes sont présents. Ils me caressent la tête et me trouvent jolis. Ils ne sont guère étonnés de voir une femme ainsi animalisée.
Bon, il faut dire que ce ne sont pas de parfaits inconnus puisque je les avais déjà croisé en tant que soumise avec Maître mais jamais les trois en même temps. J’ai bien compris que tous allaient jouer avec moi et j’avoue que même si je me demande comment, cela m’excite.
Maître Jules m’emmène cette fois jusqu’à ma cage et m’explique les règles. J’ai le droit de m’allonger ou du moins me reposer sur mes jambes et mes bras vu qu’elle est petite mais dès que l’un d’entre eux s’approchent, je dois me relever, la bouche ouverte.
Ils sont cinq et je dois dire que le fait de lancer un jeu vidéo où le nombre maximum de joueurs est quatre est certainement voulu. Au début, je suis tranquille, dans ma cage. Mais j’avoue que la pression des barreaux me fait un peu peur. Je ne suis pas claustrophobe mais il y a de quoi dans cette promiscuité.
Il faudra attendre deux parties avant qu’un premier n’ose qui ne sera le début que d’un enchaînement. Par moment, ils me donnent de quoi manger ou moi quand ils ne me caressent ou me cravachent. Bon, les coups sont doux et sont plutôt là pour m’exciter que me faire mal.
Ils le font à tour de rôle jusqu’à ce que l’un d’entre eux disent :
« Quand est-ce qu’on peut faire mumuse avec la chienne ?
– On peut maintenant si vous en avez envie. mais vérifions si elle est prête. »
Ils s’approchent tous les quatre ma cage. Maître reste en retrait et j’ai compris qu’il ne ferait qu’observer. Je me relève. Maître Jules me doigte et me juge suffisamment humide pour qu’ils puissent jouer avec moi.
Il nous emmène tous dans une pièce qui ressemble à une chambre d’ami et me fait monter sur le lit et m’ordonne de rester en levrette. Ils sont tous habillés et autour du lit en train de me regarder avec des sourires.
Ils ont aussi des regards réconfortants. Je ne sens aucune menace, bien au contraire de la bienveillance et je pressens que si quelque chose ne me convient pas, il suffit que je le dise.
J’ai confirmation quand Maître Jules me dit :
« Nous ne te forçons à rien. Nous voulons que tu sois consentante. Si quelque chose ne te convient pas, tu as le droit de dire non et nous arrêterons ce que nous sommes en train de faire. Si cela est trop pour toi, nous connaissons tous ton mot de sécurité. As-tu compris ?
– Oui Maître.
– Consens-tu à ce que tous les quatre nous abusions de toi comme nous le désirons ou du moins si cela te convient ?
– Oui Maître.
– Alors allons-y. »
Il me laisse ainsi mais guère longtemps. Ils s’approchent tous pour me caresser, me pincer les tétons, me doigter, me cravacher. J’avoue qu’avec toutes ces mains qui parcourent tout mon corps, je ne peux que lâcher prise et laisser mon cerveau reptilien prendre le pas.
J’entends alors Maître dire :
« Elle est prête pour le Wand. »
Ils se reculent tous et Maître Jules me tend le Wand allumer. Je prends un coussin, pose le wand et m’assieds dessus comme une bonne petite chienne. Je sens la pression de la laisse tenue par Maître Jules.
J’ai toutefois du mal à me laisser aller mais j’arrive à rentrer dans ma bulle et laisser le plaisir et les jouissances envahir mon corps. Je les vois, tous habillés, me regardant, commentant et admiratifs de mon humiliation devant eux.
J’entends un stop. Deux des invités se déshabillent et l’un décide de me pénétrer en relevant ma queue, tandis que le deuxième me libère de ma laisse pour que je puisse le prendre en bouche. Je suis tellement dans le plaisir que j’en ai perdu mes répères. Tout ce qui compte ce sont les sensations ressenties, cette liberté. Cette volonté de vouloir arrêter parce que je ne suis pas habituée à tant de plaisirs mais que cela dure éternellement tellement ces sensations sont magnifiques.
Celui qui m’a pénétré éjacule avant celui qui m’a pris en bouche. Ils me laissent faire une pause. Mais à peine Maître Jules me doigte que je repars. Il en est satisfait et ne s’attendait pas moins de ma part.
Il me fait m’allonger sur le côté. Le dernier invité se place derrière moi. Il retire mon rosebud mais pour mieux m’enculer avec sa bite qui n’a aucune difficulté à rentrer. Je pensais qu’il n’y aurait que cela mais Maître Jules vient devant moi et me pénètres ma chatte.
C’est ainsi que je vis ma première double pénétration. Au début, c’est un peu le cafouillis entre les mouvements de l’un et de l’autre mais naturellement, ils se concordent tandis que je gémis de tout mon être ne sachant si c’est de mon cul, de ma chatte, des deux. Les sensations et ressentis sont puissants et j’avoue que j’adore.
Je finis par sentir leur jus s’écouler en moi des deux côtés. Maître dans la voiture m’avait informé qu’il n’y aurait pas de préservatif mais s’était assuré qu’ils étaient tous sains.
Ils se retirent délicatement. Je sens leur volonté que je me sente bien. Malgré moi, je m’allonge sur le ventre pour reprendre respiration et réaliser ce qui vient de se passer. J’ignore qui mais j’ai droit de nouveau au Wand.
Mais j’avoue que les sensations sont puissantes et je supplie que l’on arrête. Mais ils laissent une dernière jouissance s’exprimée avant d’arrêter.
C’est à ce moment-là que je ferme les yeux et savourent les sensations et celles passées. j’entends des froissements et n’ait nulle besoin de vérifier qu’ils se rhabillent tous.
Maître Jules me fait me lever et remets ma laisse :
« Assis. »
J’obéis et c’est ainsi que Maître, Maître Jules et moi raccompagnons les invités à la porte. ils commentent et se félicitent de la bonne chienne que je suis. Une fois partis, je suis remise dans ma cage pour un repos mérité.
Toutefois, une autre envie se manifeste avant le repas. c’est Maître qui m’emmène dehors pour mes besoins.
Il me ramène alors à ma gamelle où comme à la maison, je dois manger à terre tandis que ces messieurs sont à table.
Maître Jules n’hésites pas à me donner des morceaux de pain posés sur sa main pour que je les mange et j’ai droit à une belle caresse en guise de récompense.
A peine fini, apparemment, je suis trop désirable, il me prend en levrette tout en me cravachant le dos. Et ce, avant que ces messieurs ne se posent devant la console, moi dans ma cage.
Avant d’aller dormir, j’ai droit de nouveau à une pause toilette mais dans les toilettes cette fois. Maître Jules lui aussi a envie de soulager mais d’une autre manière.
Il installe une grande serviette dans le salon et me mets au milieu en levrette.
Il dégrafe son pantalon et se met à me pisser sur le dos et sur la raie de mes fesses :
« Je veux que cette nuit tu te rappelles à qui tu appartiens et que tu n’es rien d’autre qu’une chienne. Ma chienne. »
Il m’emmène alors dans sa chambre où un matelas est posé à terre. Je n’ai pas la cheville attachée mais les règles sont simples. J’ai le droit d’aller aux toilettes comme bon me semble. Mais dès que Maître Jules dit mon nom, je dois lui lécher les couilles.
Maître s’installe dans une autre chambre pour la nuit mais j’avoue que même s’il n’est pas physiquement là, j’ai confiance.
Toutefois, ma nuit sera courte car Maître Jules n’est pas un gros dormeur et il en profite pour m’appeler à n’importe quel moment. Parfois, il suffit que je lui lèche quelques secondes avant qu’il m’ordonne de revenir à ma place. Je saurais plus tard qu’il voulait vérifier ma soumission, ma docilité et mon obéissance.
Toutefois, au milieu de la nuit ou le matin (je n’ai plus de repères), il laisse son jus coulé dans ma bouche et je le savoure.
C’est là que finalement, il me laisse m’endormir mais j’avoue que l’odeur de l’urine ne m’aide pas même si je suis d’accord avec lui que cela montre à quel point je lui appartiens.
Je ne dormirais que quelques heures cette nuit-là.