Synopsis
Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.
Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.
Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire
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Cher journal,
Quand je me réveille, je sens bien que la nuit a été courte. Je constate que Maître Jules n’est pas présent. Je n’ai aucune idée de l’heure qu’il est.
J’ignore les ordres mais j’avoue qu’une envie me taraude. Je vais donc aux toilettes. Quand je tire la chasse d’eau, Maître Jules m’ordonne d’aller dans la salle de bains.
J’obéis et j’attends assise comme une chienne. Il m’aide à aller dans la baignoire et me mets à quatre pattes tandis qu’il me fait prendre ma douche. Bien évidemment, me doigter la chatte et le cul fait partie du jeu.
Une fois lavée, il prend une grande serviette et m’essuie. Il m’aide à en sortir et m’amène à table. Comme à la maison, j’ai droit d’être à cette place. A ce moment, je suis Lili et nous parlons de la veille, de ce qui s’est passé, de mon ressenti et il me rappelle que je lui appartiens encore.
Mais de ce que je comprends, nous n’allons par tarder à partir. Mais avant, il me fait débarrasser la table avant de poser mes seins dessus, jambes écartées. Maître m’annonce qu’il va essayer le fouet sur mes fesses mais que je peux arrêter à tout moment.
Il est vrai que j’ai toujours été curieuse mais avec appréhension de la douleur. Il me garantit qu’il va y aller doucement justement parce que je ne suis pas maso et en découverte.
Un premier coup tombe et je dois avouer que aïe oui cela fait mal. Maître Jules me demande si cela va, je ne sais que dire et lui réponds :
« Un deuxième sur l’autre fesse et le test sera suffisant Maître. »
Il me donne alors un deuxième coup. J’ai une petite douleur et ne doute aucunement d’une marque. Je ne bouge pas. Je sens alors un glaçon sur mes fesses qui, malgré le froid apaise cette douleur. Les marques resteront quelques jours mais sans plus.
Une fois les glaçons fondus, c’est son sexe que je sens entré profondément en moi. Une petite dernière. Comme il le dit, je ne donne qu’envie d’être abusé et fessé. Il faut bien me dire au revoir comme je le mérite.
Mais ce n’est pas pour me déplaire. Une fois Maître Jules rassasié, il me relève accroche ma laisse et me refais asseoir comme une chienne. Il échange quelques mots avec Maître avant de nous raccompagner à la porte. Il donne mon manteau et mes chaussures à ce dernier avant de nous laisser sortir et fermer la porte.
Je me relève et m’empresse de mettre mes affaires.
Nous retournons à la voiture mais Maître ne me ramène pas chez nous. Il nous amène dans ce fameux restaurant spécial où je peux manger dans une gamelle tandis que lui est à table. J’ignore si c’était voulu mais quand nous entrons s’y trouve l’un des invités de la veille.
Maître décide que nous déjeunerons avec lui. Cet invité est content de nous y voir et me caresse la tête et me donne à manger en posant des morceaux sur sa main. Aucun doute sur ma place. Il reparle de la veille et dit combien il a apprécié et aimerait lui aussi m’avoir un week-end.
Maître approuve mais pas de suite. Certainement après les fêtes mais s’il le souhaite, il peut de nouveau abuser de moi de la manière dont il souhaite. Il accepte volontiers mais il faudra attendre que nous rentrions chez nous.
J’avoue que s’il n’y avait pas les règles de sécurité en voiture, je me serais bien mise assise comme une chienne pour rentrer. Mais bon, il faut ce qu’il faut.
Ils se mettent tous deux d’accord sur ce que souhaite notre invité. Il veut le même spectacle qu’hier avant de me sodomiser de manière attachée et offerte.
C’est ains qu’à peine rentré et déchaussé, nous allons tous trois dans la chambre. Je suis tenue fermement en laisse tandis que je suis assise sur le Wand à prendre du plaisir. Et ce, selon le bon vouloir de notre invité, qui en profite pour me cravacher ou me pincer les tétons pour m’humilier.
Une fois qu’il me sent prête. il me retire le Wand. notre invité se déshabille tandis que Maître me fait mettre à quatre pattes, tête posée sur le lit, mon cul relevé tout en m’attachant pour ne pas bouger.
Notre invité voit bien les marques et une explication lui est faite. Il pose son gland au bord de mon anus qui ne tarde guère à s’ouvrir pour l’accueillir comme il se doit. Pour accentuer mon humiliation, d’une main, il maintient la pression sur la laisse. De l’autre, il la pose sur ma tête.
Comment ne pas me sentir comme un objet que l’on utilise. Je prends un plaisir un énorme. Mais notre invité prend son temps, il savoure et vu qu’il aime bien la cravache, il joue avec. Quand j’essaie de remuer pour obtenir jouissance, j’ai droit à trois coups de cravache. Je recommencerais deux fois.
Et ce, jusqu’à ce qu’enfin il décide d’en finir avec moi me provoquant les sensations dont j’ai horreur tellement c’est puissant. Mais je ne peux que subir, impossible de bouger. Il finit en moi et me caresse la tête pour me remercier.
Je pense alors être libérée mais non. Notre invité se rhabille et Maître le raccompagne en me laissant ainsi. Il vaque à ses occupations et me demande s’il ne m’a pas oublié.
Il finit par revenir et me dit :
« Je veux profiter de toi comme il l’a fait. Etant donné le week-end passé, ensuite, tu pourras être Lili ou Cookie mais libre d’agir comme bon te semblera. »
Il me doigte, me cravache et ce, jusqu’à ce que pour lui, je sois suffisamment humide. Il me pénètre mais c’est pour que son gland soit imprégné de cyprine afin que la sodomie soit la plus douce possible pour moi.
C’est ainsi que pour la deuxième fois de l’après midi, je me fais enculer de la manière la plus humiliante qui soit. Il agit comme notre invité et ressens la même puissance dans les sensations qui sont, me semble-t-il insoutenables.
Une fois qu’il a terminé, je me sens libérée. Mais j’avoue qu’une bonne sieste s’impose.
Je rentre dans le lit et finit par dormir trois heures. En réalité, c’est Maître qui me réveille car il craint que je ne puisse dormir la nuit suivante. Il demande à ce que je cuisine avec lui chose que j’apprécie.
C’est donc en Lili que je cuisine et mange. Nous regardons un film tous les deux avant que j’aie le droit d’aller dormir dans le lit dans les bras de mon Maître.