Synopsis

Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.

Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.

Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire

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Cher journal,

Inutile de te raconter mon réveil ni ma journée de travail. Cela n’a aucun intérêt.

Le soir, quand Maître rentre, j’ai mon collier, nue, à genoux. Quand je m’apprête à les lui enlever, il me relève. Il m’accroche ma laisse, me fait mettre les chaussures et le manteau.

Il m’emmène en voiture. J’avoue que j’ai du mal à comprendre. Il prend une route mais j’ai l’impression qu’il tourne en rond. Dès qu’il y a un camion, il me caresse me doigte et ce, jusqu’à ce qu’il remarque que l’un des camions fait en sorte d’être à notre hauteur.

Maître lui passe devant et prend la première sortie et s’arrête au parking. Beaucoup de camions sont présents. Le camion se gare non loin de nous et le chauffeur en sort.

Maître m’ouvre la portière, prend la laisse et la donne à ce dernier. Sans un mot, il ouvre l’arrière et me fait m’allonger. Il s’assied sur moi au niveau de ma bouche pour que j’avale son sexe dur et gros.

Cela dure quelques temps avant qu’il ne déguste mes seins en me doigtant. Je gémis de plaisir mais j’avoue que c’est à la fois ce qu’il me fait, l’incompréhension et cet inconnu.

Il finit par me pénétrer violemment. Sauf que n’ayant pas retenu mes gémissements. Ces derniers en ont attiré trois autres. Maître est sur le côté et observe le tout.

Quand le camionneur en a fini, il se retire mais ne sait pas ce qu’il doit faire de moi. Les autres, voyant que c’est terminé se retirent mais l’un d’entre eux demandent :

« Est-ce que la dame en veut encore ?

Maître me regarde :

– C’est toi qui décide.

– J’en veux bien une deuxième »

Car j’avoue que le premier a été fort rapide. Le deuxième caresse mes seins tendrement. Il les admire et les prends en bouche délicatement. Il baise mon ventre et descends jusqu’à mon entrejambe qu’il déguste. Je regarde Maître qui tient fermement ma laisse et voit le plaisir que je prends à enfin vivre ce fantasme.

Ce camionneur si doux demande si je peux être debout, jambes écartées. J’accepte. Nous ajustons la hauteur avec des caisses et lui, qui, jusqu’à présent été si doux, me pénètre sauvagement. J’avoue que le changement me surprend mais j’adore aussi la bestialité. Mais comme le premier, il finit trop vite. C’est ainsi que trois autres s’enchaîneront jusqu’à ce que j’ai mon compte.

Les camionneurs sont ravis d’avoir eu ce moment de plaisirs et me remercient ainsi que Maître. Ils nous offrent des petits cadeaux. Maître me ramène à la voiture et lui demande :

« Je n’ai pas compris. Sans un mot, le camionneur a compris que tu m’offrais à lui ?

– En fait, j’ai un ami et il a passé une annonce. le camionneur qui me fait 3 appels de phars t’aura.

– Je comprends mieux. »

Nous débriefons et constatons que même si j’y ai pris du plaisir et que cela m’a plu les camionneurs ont beaucoup plus écouté leurs envies que les miennes. Je suis donc un peu déçue de ce que j’ai vécu même si ravit d’avoir osé vivre mon fantasme.

Nous rentrons et c’est Maître qui finira par me donner le plaisir que je souhaite après avoir dîner.

Nous nous couchons simplement et me dit :

« Je t’offre ton cadeau de Noël demain. Tu es libre demain d’agir comme bon te semble. »

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