Dans cet article, je considère que c’est la femme qui est soumise comme le dominant est un homme. Bien entendu, il est tout aussi valable si une femme est dominante tout comme un homme peut être soumis
Si ce texte te paraît trop long, contente de toi du paragraphe « Ce qu’il faut retenir » en bas de page.
Définitions littéraires
Selon le Larousse, la soumission c’est l’acte par lequel une personne est placée sous la dépendance, le pouvoir, la domination de quelqu’un.
Dans cette définition, il n’est aucunement fait notion de BDSM.
Une femme soumise peut donc l’être dans n’importe quel domaine y compris sexuel sans pour autant qu’une quelconque pratique BDSM ne soit exercée.
Intéressons-nous maintenant à la définition de BDSM selon l’internaute :
« Ensemble de pratiques sexuelles faisant intervenir le bondage, les punitions, le sadisme et le masochisme, ou encore la domination et la soumission »
Ainsi, la soumission fait partie des pratiques du BDSM. Toutefois, tous les pratiquants du BDSM ne l’exercent pas obligatoirement.
Si je résume, selon les définitions littéraires, une soumise BDSM est une femme qui se met sous la domination d’une personne. Cela ne veut pas dire que la femme soumise pratique une autre pratique du BDSM.
Par exemple : le fait d’accepter les positions sexuelles imposées par son dominant est déjà une forme de soumission BDSM.
Il est vrai que dit comme cela, cela sous entendrait que finalement, les personnes pratiquant le BDSM seraient beaucoup plus nombreuses que ce que nous pensons.
Toutefois, il est quand même fréquent dans une relation BDSM de domination et soumission qu’une partie voire la totalité des pratiques citées dans la définition du BDSM soient exercées.
Définition de la soumise BDSM dans la réalité
Ce qu’elle n’est pas :
Bien souvent, les hommes s’imaginent qu’une femme soumise sera à leurs pieds répondant à leurs moindres désirs et envies. Ce n’est que très réducteur :
- Il existe tellement de pratique que ce genre de jeux ne convient pas à toutes les soumises
- Une femme soumise est tellement bien plus. Ce serait dommage que de rater tout ce qu’elle peut vous apporter
- La réalité est bien différente des scénarios dans des films spécialisés. Il m’est déjà arrivé de ne pas avoir été prise sur une table car elle n’était pas à la bonne hauteur. Il peut arriver qu’une soumise refuse une pratique parce qu’elle ne lui convient pas à l’instant précis
Ce qu’elle est :
Une femme soumise est avant tout une femme : avec son histoire, son vécu, son quotidien, sa personnalité, ses sentiments. Et malheureusement, bon nombre d’hommes se disant « Dominant » quand ils abordent des soumises notamment dans les réseaux sociaux oublient ce point crucial.
Déjà si un Dominant ne s’intéresse pas à qui est sa soumise, il n’a aucune chance d’établir la moindre relation quelle qu’elle soit.
Une femme possède également des envies et des désirs. Parfois, elle ne les connaît pas encore au début de la relation. Pour les connaître et les satisfaire, il suffit d’échanger avec elle. Ainsi, la personne dominante pourra la diriger vers des pratiques plaisantes et parfois méconnues de la soumise.
Afin d’accomplir son rôle de soumise, des qualités sont présentes :
- De la force : se soumettre à quelqu’un et lui obéir aveuglément demande une force incroyable. La soumise doit apprendre à revoir voire à détruire des fondements qu’elle a pu acquérir durant son éducation, ses vécus voire même dans ses croyances. Clamer haut et fort que l’on est une soumise sexuelle n’est pas chose évidente au premier abord. Il faut du temps et de l’acceptation.
- Du caractère : je considère la soumission comme un jeu. Un dominant y trouvera beaucoup de fierté à avoir asservi une femme possédant du caractère plutôt qu’une femme qui ne bouge et ne dit mot que sur ordre. Où se trouve alors le plaisir ?
- De l’imagination : même si elle obéit et se laisse guider par son Dominant. La jouissance de sa condition vient de beaucoup de sa psychologie. Rien que le fait de revivre les moments où elle est humiliée et/ou bandée et/ou attachée ou toute autre pratique lui procure un plaisir. Et ainsi, l’imagination lui permet de prévoir d’autres scénarios, d’avoir d’autres attitudes, de devancer les désirs de son dominant… L’imagination ne peut que servir au plaisir de la soumise et du dominant.
- De la prise de conscience : un échange est fait entre le Dominant et la soumise. La soumise pour y prendre du plaisir doit pouvoir réaliser et comprendre ce qui lui arrive. C’est encore une fois sa part psychologique qui le lui permettra. Une femme qui ne réfléchit pas à sa condition ou aux pratiques exercées aura du plaisir uniquement sur le moment (et encore). Alors qu’une soumise réfléchira à son parcours, au comment du pourquoi et pourra en prendre encore plus du plaisir.Des désirs : même si une soumise est à la disposition de son dominant, il ne faut en aucun cas oublier les désirs de la soumise. Si le dominant ne pense qu’à ses désirs, un sentiment de frustration naîtra de la part de la soumise. Bien évidemment, le plaisir ne sera alors plus présent et mettra un terme à la relation.
- De la communication : si la soumise n’exprime pas ce qu’elle cherche ou la/les pratiques désirées, il va être difficile à son dominant de la guider. Tout comme si elle ne dit pas à son dominant la/les pratiques qui lui ont plu ou déplu, elle risque de subir par la suite des choses qui ne lui procureront pas du plaisir voire considérées comme une agression. Ainsi, il vaut mieux une soumise bavarde (Moi je sais que je le suis beaucoup) qu’une soumise silencieuse.
- Du respect. Bien entendu, la soumise doit pouvoir montrer un respect beaucoup plus accentué pour son dominant. De ce fait, si la soumise n’en possède pas ou dans une petite mesure, il va lui être difficile de pouvoir en donner à son maitre
Ce ne sont que certaines qualités. Cette liste n’est certainement pas exhaustive. D’autant que chaque femme est différente et bien entendu, il existe autant de soumise qu’il existe de femmes. Tout comme une soumise ne doit pas forcément réunir ces qualités. Encore une fois, c’est ma vision du BDSM et ne prétendrait jamais imposer ma vision à tous.
Définition d’un Dominant BDSM
Ce que n’est pas un Dominant :
- Un homme qui se contente uniquement de donner des ordres
- Un homme qui pense pouvoir donner et partager sa soumise à qui il veut
- Un homme qui pense pouvoir assouvir tous ses besoins sans tenir compte de ceux de sa soumise
- Un homme qui pense pouvoir promener une soumise en laisse au bout de 5mn de dialogue voire dès la première séance
- Un homme qui pense devoir mériter le respect ainsi que la soumission de toutes les femmes se déclarant comme soumise
Ce qu’il est :
Un homme dominant est avant tout un homme : avec son histoire, son vécu, son quotidien, sa personnalité, ses sentiments.
Un dominant peut avoir plusieurs dénominations “Maître”, “Monsieur”, “Daddy”, “Papa”… et j’en passe.
Je vais m’attacher au mot Maître. D’après l’extrait que j’en fais du Larousse :
“Personne qui enseigne, éduque à l’école, et, en particulier, instituteur”
“Personne qui commande ; chose qui dirige la conduite de l’homme.”
Avec tous les dominants avec lesquels j’ai pu discuter (même s’ils sont peu nombreux), ils se considèrent comme les 2. Un Homme Dominant dans un BDSM est :
- La personne qui va diriger le jeu et la soumission de la soumise. Même si, au final, c’est la soumise qui va décider de la direction du jeu, c’est à son dominant de décider la manière et la/les pratiques qui vont la permettre d’être guidée dans cette direction.
- La personne qui va faire en sorte de faire découvrir une ou plusieurs pratiques à la soumise. Voire même de lui faire accepter des pratiques auxquelles elle ne pensait pas tout en respectant bien entendu les limites infranchissables.
- La personne qui va rassurer la soumise. Cette dernière risque lors des jeux d’être privée d’un voire de plusieurs de ses sens. De même q’elle peut appréhender certaines pratiques. C’est donc au dominant de rassurer la soumise en lui expliquant qu’elle est prête, qu’elle ne coure aucun danger et qu’il est même persuadé que cela lui plaira. Quand bien même, cela ne serait pas le cas, la soumise aura suffisamment confiance pour que le Dominant s’arrête instantanément.
- La personne qui fera évoluer les pratiques en fonction de l’évolution de la soumise. Un Dominant ne peut réclamer une totale soumission dès le début de leur relation. C’est donc à lui d’adapter la ou les pratiques en fonction de sa soumise. Il doit être à son écoute à tout instant afin de continuer, de modifier, d’adapter, de changer la ou les pratiques. Même si une soumise est attachée et bâillonnée, le corps, les cris ou les gémissements permettent de déterminer si cela convient ou non à la soumise. Quand bien même, elle n’utilise pas le safeword, le mot “NON” est toujours présent même dans une relation BDSM. Un dominant qui ne l’accepte pas devient alors dans ces cas-là un agresseur.
- La personne qui protègera la soumise. Un dominant doit faire en sorte que sa soumise soit toujours en sécurité qu’ils soient 2 ou plusieurs, qu’ils soient en intérieur ou en extérieur. A aucun moment, la soumise ne doit se sentir en danger. Si c’est le cas, c’est au dominant d’agir instantanément afin d’arrêter ce sentiment d’insécurité.
- Une personne empathique, intelligente avec de l’imagination. Guider une personne quelque soit le domaine n’est pas chose aisée. Une personne qui n’éprouve pas de l’empathie aura bien du mal à comprendre ce que cherche une soumise, ce qui plaît ou ne plaît une soumise et à s’adapter à toute situation. De l’imagination afin de penser et réfléchir à des situations lui permettant de disposer de sa soumise comme il l’entend. De l’intelligence afin de pouvoir comprendre son rôle et le jouer comme il se doit en fonction de sa soumise. Sans réflexion sur lui-même et sur sa soumise, guider lui sera une chose compliquée.
- Une personne respectueuse. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, le BDSM (le vrai) est rempli d’un respect incommensurable. Il est difficile de le croire lorsque l’on voit une femme qui se fait fouetter. Il ne faut pas oublier que les pratiques sont acceptées par la soumise et qu’elle y trouve du plaisir. Le Dominant doit donc respecter la ou les volontés de sa soumise auquel cas il risque de devenir encore une fois un agresseur.
- Une personne ouverte à la discussion. La discussion est primordiale entre la soumise et le Dominant. Bien sûr, le dominant était présent lors de la séance mais il n’a que son point de vue. Afin de guider correctement sa soumise, il doit écouter le ressenti de cette dernière comme exprimer le sien. Dans une histoire, il y a toujours une version car les personnes ont de par leur situation, une vision différente. Il est tout à fait possible que l’un des deux ait pris du plaisir alors que l’autre n’en a eu que du déplaisir mais pour ne pas froisser a fait semblant d’en avoir. Seule la discussion faite dans l’honnêteté et la sincérité est l’un des éléments permettant de réussir une relation BDSM
Comme pour la définition de la soumise, cette liste est loin d’être exhaustive et tout dépend de tout un chacun.
La relation Dominant / Soumise
J’ai à plusieurs moments parler de relation. Car c’est de cela dont il s’agit. Le plaisir d’un dominant et de la soumise est l’évolution des deux personnes.
Certes, en BDSM, il est courant de parler d’évolution de la soumise. Mais le dominant peut lui aussi évoluer, découvrir des pratiques méconnues et en apprendre sur lui.
D’autant que l’imagination humaine ne possède aucune limite. Il existe donc autant de pratiques qu’il existe de scénarios imaginés. Si je vous disais comment des personnes détournent des objets du quotidien dans le cadre d’une relation BDSM, vous les regarderiez d’un drôle d’air, pour certains de la curiosité et d’autres, vous essaieriez.
Il est donc important dès le départ que le dominant et la soumise expriment leur vision du BDSM. En effet, c’est comme dans toute relation, si leur vision est différente voire incompatible, certes, ils pourront s’amuser quelques temps mais finiront l’un ou l’autre par être frustré.
Il est courant de parler de contrat. Dans 50 nuances de Grey, il est formalisé. Dans la plupart des cas, il est verbal. Tout simplement parce que vont être définies au départ des limites franchissables et infranchissables. Le Dominant doit respecter et ne pas forcer la soumise à dépasser celles qui sont infranchissables. Par contre, une fois que les limites sont franchies, il peut en exister de nouvelles. Et alors, un avenant au contrat est nécessaire.
Bien souvent, il n’existe pas de réel contrat. Si la discussion est instaurée entre eux, ce contrat est réalisé de manière implicite. En effet, la discussion doit permettre d’indiquer les conditions de la relation, les pratiques, les limites…
Selon ma vision du BDSM, le contrat existe dans toutes les relations qu’il soit oral ou écrit.
Mais cela ne change pas sur le fait que l’affinité et la confiance sont importantes. J’ignore pour vous, mais je m’imagine mal coucher ou faire une quelconque pratique avec une personne qui me répulse dès le départ. D’autant que la soumise sera privée bien souvent de certaines libertés, sans confiance, la peur s’instaurera empêchant tout plaisir de venir.
Même s’il est vrai que je parle d’appréhension, il y a une différence entre peur et appréhension. La peur présente bloque la personne et empêche toute autre émotion de parvenir à la personne.
Une appréhension sont des questions qu’une personne se pose. Si la confiance est instaurée, autrement dit si la soumise sait que son maître s’arrêtera si cela ne lui convient pas, l’appréhension disparaîtra d’elle-même lorsque la soumise s’apercevra du plaisir qui l’envahira.
Comme cités et je ne reviendrais pas dessus, le respect, la discussion et l’empathie sont à mon sens des éléments primordiaux dans toute relation.
Enfin, il existe le Safeword. Il s’agit d’un mot que définissent la soumise et le Dominant. Lorsque ce mot est cité, le Dominant doit arrêter toute pratique et libérer sa soumise de toutes ses contraintes. Peu importe les raisons, c’est ce qu’il doit faire. Si un Dominant insiste ou continue dans la pratique, il ne s’agit plus d’un jeu mais d’une agression.
Toutefois, même si le Safeword est une protection, les protestations de la soumise émises verbalement ou corporellement comme le “NON” restent aussi valables dans une relation BDSM. Si le dominant n’écoute pas et continue dans la ou les pratiques, la soumise pourra alors vivre la séance comme un cauchemar voire comme une agression.
Une relation doit être bénéfique au dominant et à la soumise. C’est la raison pour laquelle tous ces éléments sont importants et j’insiste dessus.
Effectivement, toutes ces règles compliquent la recherche d’une personne qui nous corresponde. Mais comme dans toute relation, ce n’est pas facile de trouver l’amour ou de l’aimtié. Alors trouver un(e) partenaire de jeu l’est tout autant.
Comment s’adresse-t-on à une soumise ?
Pour les initiés au BDSM, cette question peut sembler ridicule. Bien souvent, un dominant peut disposer de plusieurs soumises. Une soumise a, dans la majorité des cas, un seul maître. Un lien de fidélité existe de la part de la soumise.
Lorsqu’un dominant (ou même un homme simplement) s’adresse à une soumise qu’il ne connaît pas, il doit respecter les règles suivantes :
- Lui parler comme s’il s’agissait de la femme d’un ami, d’un pote, d’un collègue…
- Autrement dit, vouvoiement et respect pour elle. Cela peut sembler logique et pourtant, je peux vous assurer que sur twitter, c’est loin d’être une évidence. J’ai eu droit à : ma belle, belle pute, bonne chienne docile et obéissante et j’en passe.
- Vous imaginez-vous dire à la femme de votre ami : “Salut, chérie, ca va ?” Vous oseriez une telle intimité sans la connaître ? Votre ami l’accepterait-il ? Quand bien même il vous aurait avoué qu’elle est soumise, vous attendez-vous à ce qu’elle vous fasse la révérence ?
- Que ce soit en réel ou derrière un écran, c’est pareil. Une soumise ne l’est que vis-à-vis de celui qu’elle reconnaît comme son maître. Pour les autres, elle est leur égale.
- S’intéresser à elle. Pensez-vous qu’une femme peut être décrite uniquement à sa soumission ? Bien sûr que non. Afin de pouvoir jouer votre rôle de Dominant si cela est envisagé, il est important que vous la connaissiez. Ainsi, vous pourrez connaître les jeux que vous pouvez envisager mais aussi d’être à son écoute si elle a un problème dans son quotidien. Bien souvent, dans les relations Domination/ Soumission, une amitié se créée. Les personnes se parlent et racontent leur vie. Alors si apprendre à la connaître ne vous intéresse pas, ne vous adressez pas à une soumise.
- Discuter avec elle. Comme dit précédemment une soumise est une femme qui a des amis, potentiellement une vie de famille, qui va au cinéma, au restaurant, qui lit, qui a des passions… Une soumise n’a pas forcément envie qu’on lui parle sans cesse de sexe de même de ses pratiques sexuelles. N’oubliez pas une chose, une soumise est très sollicitée. Si vous voulez qu’elle vous choisisse comme dominant, à vous de vous démarquer. Alors en lui parlant de sa journée et en rebondissant sur ce qu’elle peut vous dire sur sa vie quotidienne, je peux vous assurer que vous l’intéresserez grandement.
- Respecter sa soumission envers son maître quand elle en a un. Une soumise appartient à un Dominant et ne possède pas sa liberté sexuelle que ce soit dans le choix du partenaire, la diffusion de photos/vidéos, de la discussion hot. C’est à eux définir la liberté. Ne soyez donc pas étonnés des limites d’une soumise et respectez-la. Mais surtout, ne cherchez pas à la voler à son Dominant. Apprécieriez-vous que votre ami essaie de vous voler la femme dont vous êtes amoureux. C’est exactement la même chose
Ce qu’il faut retenir :
Une femme soumise est avant tout une femme uniquement soumise aux personnes qu’elle a choisies.
Une femme soumise est loin d’être une femme passive qui ne bouge et ne parle sur ordre. Au contraire, c’est elle qui :
- Va définir la direction que prendra sa soumission
- Possède la force, de l’imagination, de l’intelligence, des désirs, du caractère, du respect
- Communique
Un homme dominant est un homme qui va guider sa soumise :
- En dirigeant le jeu vers la direction déterminée par la soumise en lui faisant découvrir des pratiques et en les faisant évoluer
- En rassurant et en protégeant sa soumise
- En étant empathique, respectueux et ouvert dans la communication
Il n’est donc pas un simple donneur d’ordre.
Que ce soit être du côté soumis ou dominant, être l’un ou l’autre n’est pas une chose aussi facile qu’il n’y paraît. N’est donc pas soumis et dominant qui veut
Pour une relation réussie : Affinité, confiance, respect, communication, empathie, écoute sont des éléments clefs.
Lorsqu’un homme s’adresse à une soumise :
- Lui parler comme à une femme qu’on lui présente dans la vie réelle
- S’intéresser à elle et non pas uniquement à ses pratiques sexuelles
- Lui parler d’autres choses que de sexe et de ses pratiques
- Respecter son collier et accepter le fait qu’elle n’ait pas toute sa liberté
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