🌙 Cher Journal de Lili Soumise
J’ai pu discuter avec un Dom qui pratique ce que j’appelle le BDSM protoolaire.
Autrement dit, celui qui va dans des bars BDSM, qui pense qu’il ne faut aucun lien entre la soumise et le Maître. Les colliers qui ont une signification et différents rituels comme la remise de collier.
Selon lui, et ce n’est pas la première fois, je ne pratique pas le BDSM du fait que tout ce que je fais ne respecte pas les codes et les règles définis dans ces lieux.
Je n’ai pas insisté car à quoi cela sert-il ? Après tout, dire que l’on fait du BDSM ou non, c’est faire rentrer les gens dans des cases. Et pourtant, rien n’est blanc ou noir. La vie a de multiples couleurs et faire rentrer les gens dans des cases, c’est considérer voir la vie de mabière binaire.
Donc, je pratique une soumission définie selon Maître et moi, avec nos règles qui nous définissent, nous conviennent. Je ne cherche nullement dire via ce blog que ma soumission est la définition de la Soumission que tout le monde devrait pratiquer.
Le lien qui nous unit est le nôtre et nous convient. Après tout, je ne vous oblige à rien à me suivre, à me lire. A vous de voir quelle est votre définition du BDSM.
Fantasme, plasisir et désir
J’ai pu voir Maître cette semaine. Je n’ai pas encore écrit le récit car je n’ai nullement trouvé le temps. Mais cela devrait vous plaire car j’ai fait un pas dans une pratique encore compliqué pour moi.
Je suis, pour l’instant, gênée par un dérèglement hormonal mais une fois outrepassé, mes envies devraient revenir.
Hier, étant allé danser, je n’ai pas compris ce qui s’est passé. Les hommes, lourdeaux, bizarres, qui sont venus là pour chasser sont venus à moi. J’ai eu la chance d’en avoir 3. Mais ceux qui me plaisaient, avec qui j’aurais accepté un moment intme, ne m’ont pas regardé. Je n’ai pas su attiré leur attention. Je me demande si quelque chose cloche de moi.
