Journal

Comme annoncé du lundi 1er janvier 2024 au samedi 6 janvier 2024 17H, je suis à l’entière disposition de Maître Yannick. Le seul ordre continu de la semaine : Porter Mon collier en tout temps et en toute heure exceptés les moments qui peuvent me porter préjudice.

Je vais vous détailler mes journées :

Lundi 1er Janvier

Pour représenter mon après-midi, soirée, il vaut mieux vous partager mes échanges avec Maître Yannick

Pour faire plus simple, je vais écrire en couleur :

  • Lili en Rose
  • Maître Yannick en bleu.

Les minutes passent.

Nouvelle photo.

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Une petite vidéo envoyée à Maître et accessible à mes abonnés Mym.

Suite à ce moment, je suis restée dans mon coussin avec le rosebud queue animal et mon bâillon os. Au bout d’une heure environ :

Je retire le bâillon mais reste dans mon coussin.

Je vais les chercher à quatre pattes avant de revenir à mon coussin pour les insérer en moi.

L’heure du repas arrivant, j’ai fait une pause. Dans le sens, où je ne suis plus dans mon coussin, marche comme une humaine et mange boit comme une humaine. Maître en est averti. Une fois le repas avalé, la vaisselle rangée, je retourne dans mon coussin vu que je n’ai reçu aucun contre-ordre.

Nouvelle photo.

1h plus tard, je reçois l’autorisation de jouir dans mon lit avec un Gode. Et c’est ainsi que paisiblement, je me suis endormie tout en portant mon collier de chienne.

Mardi 2 janvier

Je me suis réveillée dans la nuit en touchant ma médaille prenant conscience que je suis pas une femme mais une soumise aux ordres et aux désirs de son Maître.

Je me rendors mais au réveil, je sens bien le poids de son collier. J’avoue que j’apprécie me réveiller ainsi au service de mon Maître. Il est trop tard pour que je l’appelle. Je me prépare et m’installe pour commencer ma journée.

En ce midi, ayant des courses à faire, je prends le parti de mettre un châle par-dessus mon collier. Mais en rentrant, je suis tenue d’avoir les boules de geisha qui font tout de suite effet sur mon plaisir. D’autant que sans faire exprès, j’ai allumé pendant une réunion 2 secondes ma caméra. j’ai caché mon collier mais j’ignore si les deux personnes l’ont vu.

Dans tous les cas, elles n’ont fait aucun commentaire sur ce point. Je continue mon après midi mais j’avoue que je suis tellement humide que lorsque je me lève, les boules de geisha ont tendance à s’échapper. Je dois les remettre plusieurs fois.

Quand l’heure vient, j’appelle Maître qui comprend à ma voix que j’ai envie de plaisir. Nous parlons et avant de raccrocher, il m’accorde le droit de me donner du plaisir selon la manière et le jouet souhaité. Je choisis le Wand et comme habituée, je me mets en position de chienne sur ce jouet pour obtenir ce plaisir tant attendu.

Puis, direction le bain et j’avoue que j’ai failli oublier remettre mon collier. Je l’ai remis de suite et me suis installée pour commencer à écrire ce mini journal.

Ce soir, je suis autorisée à profiter de mon canapé et suis exemptée de mon coussin. Mais j’avoue que relire ma conversation d’hier et celle du jour, ne me laisse pas indifférente. Je recontacte Maître qui m’autorise de nouveau à me goder. J’avoue que je le fais volontiers. Cela peut paraître contradictoire mais je me sens plus libre en portant le collier qu’en étant moi. Libre de faire ce dont j’ai envie.

J’ai l’impression que du fait de ne pas avoir la responsabilité de la décision et donc de ne pas assumer les conséquences me libère et me permet de faire ce que je souhaite réellement sans me poser de questions. Sûrement que la décision de se donner du plaisir n’est rien pour vous. Mais pour moi, c’est une lourde décision. Parce que ce n’est pas seulement se donner du plaisir, c’est plus profond. C’est le fait que ma vie n’est pas celle rêvée et à chaque fois que je me disais je suis heureuse et j’ai tout, un évènement tragique est survenu mettant le bazar dans ma vie.

C’est peut être con mais le bonheur, le plaisir me fait peur. Et étant seule dans ma vie de tous les jours même si j’ai Maître et des amis à qui parler et me soutiennent, difficile de vaincre cette peur surtout quand une personne s’acharne à vouloir vous détruire. Ce serait plus simple avec une personne dans ma vie. Je crois que j’ai trouvé mon cheval de bataille de 2024.

Mercredi 3 Janvier

Pour ce jour, sur le chemin, mon collier ainsi que les Boules de Geisha. je dois les garder le plus longtemps possible au travail. Au final, je les garderais jusqu’au soir. Il faut dire que je ne suis pas à l’aise. Le plaisir qu’elles m’apportent me donne un petit plaisir et j’entends la vibration qu’elles provoquent en moi quand je marche.

Le matin, j’ai du mal à me concentrer malgré les réunions et je dois avouer que j’ai envie de remuer pour avoir du plaisir. Je n’aurais pas été au travail, j’aurais demandé à me soulager à Maître. Si certaines personnes peuvent se permettre de se donner du plaisir au travail, c’est dans le cadre de l’impossible pour moi. Tant pis, je vais devoir supporter.

L’après midi, moins de réunion mais beaucoup de concentration, je ne dis pas que j’oublie les boules de Geisha mais mon attention étant portée sur mon travail, je ne pense pas au plaisir.

Avant de partir, dans le couloir, je me saisis de mon collier pour le mettre dans l’escalier. Quand je m’apprête à le mettre, j’entends des pas, je fais mon possible pour être naturelle et cacher mon collier dans ma main. Mais vu sa grandeur, difficile. A la sortie, je me mets dans un coin et l’enfile au plus vite en prenant soin de le cacher sous mon châle. Le remettre signie que je peux prendre du plaisir, que je suis aux ordres de Maître et c’est lui qui décide de mes faits et gestes.

Je l’appelle et on échange sur le sujet. Le soir, en rentrant, j’ai droit à mon canapé. Pour me soulager, je dois ventouser le gode sur ma petite table et me donner du plaisir ainsi.

J’obéis sans condition et j’avoue que j’apprécie me donner du plaisir en obéissant aux ordres. Peu importe les conditions, les accessoires. Je suis prête à tout pour mon Maître. D’autant que il est tellement gentil qu’il m’autorise à être sur mon canapé pour la soirée. Même si je souhaite me donner du plaisir, je peux. Je suis en réalité libre de faire ce que je souhaite sous condition de garder le collier que je ne quitte plus vraiment.

J’avais déjà cette sensation mais elle s’amplifie avec cette semaine, le collier devient une partie de moi et me permet de pouvoir me donner autant d’endorphine que je veux. Je ne me refuse rien. D’autant que je me serais bien endormie avec le Gode en moi mais ayant un doute sur le fait que ce soit sain, je m’endormirais sans mais tellement détendue…

Jeudi 04 Janvier

Je suis surprise. Pas d’ordre. Quand j’essaie de joindre Maître ne me répond pas. Et ce, avant que je me souvienne qu’il n’est pas joignable par appel ce jour.

Quelques échanges intéressants dans la journée, échanges que je dois relire et méditer dessus. Car ils parlent de mon statut et de la volonté de Maître à mon sujet mais surtout sur le fait d’assumer qui je suis. Comme les échanges ont été faits durant le travail, je n’ai pas pu les relire et y réfléchir. Vu qu’en ce moment, je suis humide, en demande, volonté d’avoir des ordres, je préfère attendre dimanche quand la semaine sera finie pour les relire et m’en imprégner.

Comme déjà dit, le fait d’être sous collier physique a un impact psychologique sur ma personne. Quand je ne porte pas physiquement le collier, je reste sous le collier psychologique de Maître, je suis soumise mais mon attitude, ma réflexion et ma vision sur certaines choses ne sont pas les mêmes. La différence n’est pas énorme mais qui me connaît la voit.

En rentrant, j’ai droit à mon coussin de chienne, aux entraves et à mon rosebud qui se termine par une queue. Vous aurez peut-être du mal à le croire mais une fois installée ainsi dans mon panier, je me détends. Peut être même plus qu’en étant simplement sur mon canapé sans rien. Sûrement lié que les ordres me font complètement lâcher prise alors que sans ordre, je dois gérer ma vie et tout ce qui va avec.

Bien évidemment, mon humidité s’amplifie, je remue et gémit dans mon panier. très vite, je demande à Maître si je dois mettre mon bâillon en forme d’os. Il trouve que c’est une bonne idée. Pour ce soir, c’est lui qui décidera quand je pourrais jouir. Je ne dis pas que ce n’était pas le cas les jours d’avant. Mais ce jour, il ne demande pas spécialement de supplication.

Alors j’attends même si j’envoie certains textos disant que je suis un bon toutou obéissant et docile. Ce qui me vaut le droit de mettre mes boules de Geisha.

Après un laps de temps qui me semble long vu le plaisir qui demande à s’exprimer, j’ai droit de me caresser et de jouer avec les boules sans jouir.

Du temps passe de nouveau, je n’ose pas harcelé mon Maître de peur d’augmenter la frustration. J’essaie de me concentrer sur ma série mais j’ai beaucoup de mal.

J’ai droit d’aller chercher le gode noir, de retirer les boules de Geisha, de les laver avec ma bouche avant de pouvoir jouir 2 fois.

Bien évidemment, je vais chercher le gode noir à quatre pattes. Je dois avouer que sentir la queue bouger entre mes jambes avec l’effet des boules, je gémis juste en avançant.

Une fois revenue dans mon coussin, une petite vidéo montrant la preuve de mon obéissance.

Je ne jouis que deux fois avant de me recoucher dans mon panier. Même si je n’ai plus les boules, mon corps veut encore du plaisir.

Maître me libère de mon os et m’autorise de nouveau à jouir. Pour la suite de la soirée, je suis libre de la vivre comme je le souhaite.

Je suis tellement bien dans mon coussin détendue que j’y reste le reste de la soirée avec mes entraves et ma queue. Je me sens à ma place. Je suis à l’aise.

Je vais même jusqu’à être sur le point de m’endormir. Je pourrais y rester pour la nuit mais mon lit est tellement confortable. Je finis par le rejoindre. Je n’enlève aucun accessoire. J’ai envie de sentir le poids des entraves, ma queue entre mes jambes en plus de mon collier que je quitte quasiment plus.

Dans la nuit, je me réveille et des envies sont présentes. Pas le choix que de me soulager si je veux pouvoir finir la nuit. Heureusement, cela se passe vite et me rendors quasiment instantanément. Mais voilà, ma queue me réveille. Elle me dérange, me gêne. Je finis par l’enlever pour m’endormir de nouveau. Ce qui mettre un terme à ma nuit.

Vendredi 05 Janvier

J’informe Maître des conditions de ma nuit. Il est fier de moi. Bien que je sois en télétravail, pas d’ordre spécifique. Je travaille avec mes entraves et mon collier. Heureusement qu’il n’y a pas de visio dans mes réunions.

Le poids des accessoires me rappelle à chaque instant que ma place est au pied de Maître. Et c’est incroyable de voir à quel point je suis en attente des ordres de Maître. Presque déçue quand j’en ai pas. Cela s’explique par le fait que Maître respecte mon travail et ne veut aucunement que mon statut n’ait un impact sur ma vie professionnelle.

L’ordre arrive le soir, les boules de geisha jusqu’à mon coucher et porter pendant 1h les pince-tétons avec photo à l’appui. j’avoue que j’arrive à les accepter pendant une demi heure. La seconde moitié est longue. l’un de mes seins est douloureux. Lorsque l’heure est passée, les enlever fait mal. Lorsque je bouge, mon sein droit se fait sentir. Heureusement, cela ne dure guère longtemps.

Les boules de Geisha me laisse humide mais ne m’excite pas. J’ai toujours les entraves et je passe ainsi une soirée tranquille dans mon lit. Comme ordonné, au moment de dormir, j’enlève les boules mais dort avec le reste des accessoires.

Samedi 6 Janvier

Je me réveille tranquillement. Le poids des entraves ne se fait plus sentir. Je finis par me lever vers les 10H quand je sais que Maître me rendra visite l’après midi. Je fais quelques bricoles et glande sur mon canapé à son attente.

Je pensais qu’il me voudrait en chaleur mais ne me frustre aucunement. Je ne profite même pas de mon panier. Il m’ordonne de me chouchouter et de me reposer. Chose que je fais.

A 14H Maître sonne. J’entrouvre la porte et attend nue à genoux avec mon collier et mes entraves. En me voyant, il est ravi. Est-ce de me voir ? Est-ce me voir ainsi ? Un mélange des deux. Je retire chaussures et chaussettes avant d’embrasser ses pieds.

Il m’autorise à me relever pour m’embrasser et me prendre dans ses bras. Direction le canapé où je me love dans ses bras. C’est ainsi que se passera la majorité du temps, de la tendresse dans ses bras en discutant de tout et de rien. Mais il m’apprend une nouvelle qui peut changer certaines choses dans ma vie. Il est trop tôt pour le dire. On verra avec le temps. Peut-être qu’enfin la roue tourne et cela fait du bien.

Je me comporte comme un animal quand il me caresse, remuant et demandant à ce qu’il aille plus loin. Les festivités si on peut les appeler ainsi commencent quand je m’allonge sur le dos sur lui. Il a alors accès à tout mon corps offert à ses désirs et à son plaisir. Il en profite, joue avec mon plaisir puisqu’il me laisse monter, s’arrête et recommence de nouveau. Et ce, plusieurs fois. Jusqu’à ce qu’il soit satisfait de mes jouissances.

D’après ses paroles et nos échanges, je comprends que les supplications devront être faites plus souvent tout comme certains ordres de cette semaine.

Malheureusement, de part nos impératifs respectifs, Maître s’en va. C’est top tôt, j’aurais aimé rester dans ses bras. Je n’ai pas envie de faire ce que je dois faire. Mais ainsi est la vie.

Je raccompagne Maître à la porte, nous nous saluons et me voilà ranger mon coussin et ma gamelle de chien ainsi que les 2 godes, les boules de Geaisha, le Wand et mon bâillon os. Jouets restés dans mon salon durant une semaine.

Je me déleste de mes entraves et de mon collier. Mais j’avoue que je me sens d’autant plus nue sans eux. C’est une sensation étrange, de me retrouver Lili, simplement Lili. Même si je reste soumise sans mon collier physique, je suis plus libre de mes faits et gestes sans besoin d’avoir à demander l’autorisation pour tout.

Je vais continuer à lui demander l’autorisation pour le plaisir que je souhaite me donner. C’est une règle convenue. Pour le reste, les ordres tomberont quand ils tomberont. Je pense que si j’en demande, il y en aura mais ils seront moins fréquents et réguliers que cette semaine.

Je suis une cérébrale. J’ai besoin de réfléchir, de repenser à la semaine qui vient de se dérouler. De prendre conscience de mes envies, de mon comportement, de mon attitude, du plaisir pris et de faire un nouveau pas dans l’acceptation de mon statut de Soumise et de Cookie. Chose qui se fera certainement cette semaine. En attendant, retour à ma vie vanille même si en écrivant ces lignes, j’ai des envies qui montent et il n’est pas impossible que je contacte Maître en ce sens.

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1 commentaire

  1. Excellent récit d’une chienne soumise à son maître. Ta soumission est un véritable plaisir à lire.

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