Le Chemin du retour

Nous sortons de l’éclipse (cf Une soirée surprenante à l’Eclipse)

Nous montons dans la voiture et repensons à l’embrouille qui s’est déroulée à l’Eclipse. Je n’aime pas cette discussion ni l’ambiance. J’ai envie de retrouver celle de l’aller.

Je demande alors à Maître si je dois m’enfiler le gode ventouse que j’avais pris avec moi. Il accepte et adore mon initiative, il dit que je suis alors chienne et qu’il adore mon attitude quand je suis ainsi.

Sans étonnement, il rentre simplement. Pour rappel, je porte également mon collier de Cookie et mon rosebud. Alors imaginez les sensations lorsque Maître freine ou donne des à-coups…

Je lui signale que sûrement une chienne ne doit pas porter de vêtement. Maître me donne l’ordre de libérer un de mes seins. Sur le trajet, c’est lui qui me libère le deuxième sans compter ses caresses qui me font grimper dans l’excitation.

Je ne vois pas le trajet, je suis concentrée sur mon plaisir et je dois avouer que je ne cesse de gémir surtout lorsque je remue pour l’accentuer.

Me ramener dans un tel état n’est pas possible. Maître nous emmène dans un coin discret où il allonge mon siège pour mieux mordre mes seins et jouer avec le Gode et le rosebud. Je dois avouer qu’il ne me faut guère de temps avant d’éprouver une puissante jouissance qui redémarre dès que Maître recommence puisqu’avec lui, une fois n’est jamais suffisante.

Une idée me traverse l’esprit. Après tout, il ne fait pas si froid que cela et cela fait un moment que Maître souhaite une pratique. Il acquiesce. Il relève mon siège et j’attends sagement qu’il m’ouvre la portière. Finalement, quasi nue, il fait plus froid que ce que je pensais. Ma jupe est relevée, mes seins à l’air et le reste de ma peau est camouflée par des vêtements légers.

Je m’appuie sur le capot de la voiture de mon Maître et je me cambre pour lui donner un meilleur accès à mon cul. Il déboutonne son pantalon, sors son sexe et commence à me pisser dessus. Même si ce n’est pas la quantité qu’il souhaitait, son urine glisse sur mon rosebud. Il est vrai que j’aurais mieux aimé la sentir dans ma fente.

Mais j’avoue que cela m’a donné plus de plaisir que ce que je pensais. Et j’aimerais beaucoup que Maître recommence, qu’il m’humilie davantage.

Nous remontons vite en voiture et j’ai l’autorisation de retrouver une tenue décente et de remettre mon manteau pour me réchauffer. Je suis encore tremblante.

Les quelques minutes pour arriver chez moi ne suffisent guère à être de nouveau mieux. Maître me prend dans ses bras, m’embrasse avant qu’il me laisse me rendre à mon domicile.

Une petite douche chaude, un bon pyjama chaud avant de rejoindre mon lit. Mais pas pour dormir, je repense à la soirée que ce soit l’Eclipse ou le chemin du retour. Quand j’y repense, je vois bien Maître m’offrir à ce couple. Mais est-ce que le couple va m’appeler ? Je me dis qu’ils auraient aimé me revoir. Mais avec Maître ? Je suis dubitative. Nous verrons bien.

Mais je n’ai qu’une hâte, recommencer et retrouver ce sentiment de fierté à montrer mon collier, ma soumission et mon humiliation. Ce sera pour 2024…