ecoliere

Pour ce jour, Maitre m’a demandé :

  • Préparer les jouets suivants :corde, crochet anal, gode noir, pince tétons, Wand
  • Mon coussin de chienne
  • Une tenue décolière, les entraves et mon collier de chienne avec l’oeuf télécommandé dans mon anus

J’ai pris l’initiative de mettre un gode ventouse télécommandé sur la petite table.

J’ose une initiative et je me demande si je fais bien ; baisser les yeux quand Maître sera là.

J’ouvre la porte à mon Maître et je me concentre à bien baisser les yeux. Il attrape mon crochet du collier pour m’embrasser. Ignorant si c’est une autorisation, je préfère continuer à baisser les yeux. Il touche mes tétons qui, à son contact, se durcissent.

Nous allons dans le salon et j’ai droit cette fois de le regarder. Je lui donne la télécommande.

Nous nous installons sur le canapé, moi dans ses bras tandis que l’oeuf vibre en moi.

Via ses caresses et les vibrations, mon cul remue tout seul. Très vite Maître m’ordonne de m’allonger sur les genoux. C’est ainsi qu’il joue entre caresses et fessées. Dès que ses doigts me pénètrent, c’est à moi de remuer pour obtenir ma jouissance. Il adore m’humilier et m’avilir ainsi. Mais comme cela ne lui suffit pas, il arrête au mauvais moment.

Une pensée me travers l’esprit : je dois le supplier.

Mais je ne le fais pas. Deux secondes plus tard : « Supplie moi ma chienne »

Sans le vouloir, je le fais en rigolant. Ce rire n’est pas de la moquerie ou du foutage de gueule mais plutôt nerveux. J’essaie difficilement de me calmer pour le supplier correctement.

Il faudra que je le fasse deux fois pour obtenir deux superbes jouissances.

Mais voilà, le fil de l’oeuf s’est enfoncé dans mon anus. Pour éviter tout problème, je vais dans la salle de bain le retirer.

A partir de ce moment, je risque de me mélanger les pinceaux. Je m’en excuse.

Quand je reviens de la salle de bain, Maître me demande de m’asseoir sur le gode télécommandé. Il l’a essayé pendant mon absence et il l’apprécie.

Ce qui est difficile pour moi, c’est d’exprimer ma jouissance en le regardant. Insitinctivement, je ferme les yeux mais je sais qu’il veut que je le regarde.Je les rouvre et me concentre pour les laisser ouvert en le regardant.

Je sais ce qu’il pense que je ne dois pas avoir honte de ma jouissance mais faire ainsi est quelque chose de difficile.

Il me libère après une autre jouissance. Je me retrouve très vite nue dans ses bras.

Mais bien sûr ses caresses ne font que me stimuler davantage.

Maître joue avec mon corps et mon plaisir. il m’ordonne alors de me mettre debout pour aller chercher la corde.

Séance de bondage.

Il me libère rapdement. La conclusion : les cordes ne m’ont fait aucun effet si ce n’est lorsque Maître a tiré dessus pour serrer mon entrejambe ou mes seins devenus ultasensibles vu serrés comme ils étaient.

Nous en dsicutons sur le canapé mais voilà, je me refroidis et ne faisant pas très chaud, je le lui dis.

Je reçois l’ordre de m’allonger dans mon coussin tandis que Maître se déshabille. Il me donne une fessée et me dit : « Bonne petite chienne. »

Il tâte de mon humidité et ocnstate que cette situation humiliante m’excite beaucoup.

Il m’aide à me relever. Prend le bandeau au passage et me fait m’allonger sur le lit.

J’ai droit à son fameux cunnilingus, des jeux avec ses doigts et bien évidemment, il m’oblige à me remuer quand ils me pénètrent. Ce qui ne l’empêche pas d’accentuer mes jouissances comme il sait si bien le faire.

Je le résume en trois lignes mais vous vous doutez bien que j’ai hurlé plusieurs fois et enchaînés plusieurs jouissances.

Et ce, avant qu’il m’enlève le bandeau remonte jusqu’à ma tête pour m’embrasser et me donne son genou pour que je me frottre contre lui comme la chienne que je suis.

J’essaie une nouvelle fois de le regarder dans les yeux mais j’avoue que j’ai du mal.

Dernière séance de câlins avant que Maître parte et que moi, je m’endors le sourire aux lèvres.

4.3/5 - (10 votes)

Vous pourriez aussi aimer...

4 commentaire

  1. Encore un magnifique récit et une séance qui vous a comblée.
    C’est beau la soumission dans votre cas Lili.
    Rien de scabreux, juste de l’envie.

  2. Très beau récit Lili

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *