Ceci est un fantasme. Il n’a jamais été réalisé réellement mais pourquoi pas un jour….
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Maître est venu me chercher. Comme à l’habitude, une mini jupe et un haut plutôt décolleté avec mon collier. Il a l’intention de m’emmener aux étangs de Cora.
Mais c’était sans compter la suite. Sur la route, nous sommes sur une nationale bien connu pour ses feux et ses radars dans la région. A un feu rouge, Maître s’arrête avant un camion et décide de dévoiler mes seins, de les caresser et avec le Lush allumé en moi de me laisser m’abandonner aux plaisirs.
Du fait de la route, c’est ainsi que cela se passe 3 feux. Au troisième feu, Maître lui fait des signes. Je crois savoir ce qu’il essaie de lui faire comprendre. Il se met devant lui et prend une sortie. Le camion nous suit.
Il m’emmène dans une zone industrielle où nous sommes déjà allés auparavant. Un endroit discret où personne n’est présent avec juste un peu de lumière nous permettant de voir. Le camion se gare à côté de nous.
Maître descend, m’ouvre la portière et m’ordonne de me mettre nue. Il se saisit de ma laisse qu’il m’a fait mettre avant d’arriver et me demande de me mettre à genoux.
Devant nous, se trouve le chauffeur, qui, je le vois bien, bande déjà. Il a à peu près l’âge de Maître. Ils saluent de la main et me dit bonjour. Maître lui demande de quoi il a envie :
« De la baiser mais je ne serais pas contre qu’elle me prenne en bouche avant.
– Cookie, dégrafe son pantalon et baisse son caleçon. »
Etant donné qu’il est un peu loin, je dois me rapprocher. Etant donné que nous sommes sur du béton, je me déplace à quatre pattes pour m’approcher de cet homme. Il ne bouge pas et me laisse le dégrafer, baisser son pantalon et faire de même avec son caleçon.
Il parle avec Maître en indiquant que son fantasme à lui était de pouvoir posséder une soumise et que la situation lui plaît. Il s’assure toutefois de mon consentement.
Maître lui explique qu’il apprécie le respect, nos règles et je réponds oui quand il s’agit du fait que je suis consentante et que la situation me plaît également.
Je prends en bouche goulûment son sexe bien dur. Maître prends soin de tirer sur ma laisse pour me faire sentir à ma place. Je sens aux réactions de cet homme que cela lui plaît.
Il exprime un autre désir que ceux définis auparavant. Ce qui me vaut de lâcher ce sexe délicieux et de me lever. Il caresse mes seins, s’en empare et joue avec.
Il veut savoir s’il peut les prendre en photos. Maître l’y autorise sous condition de ne pas voir mon visage et qu’il puisse voir ladite photo.
Il me la montrera également. On voit bien le collier, la laisse et mes seins mais aucunement mon visage. Il souhaite maintenant en finir.
Je me mets en levrette. Maître prépare son téléphone tandis que le chauffeur se met en position de manière à me prendre sauvagement après avoir enfile un préservatif.
Je me sens humiliée et j’avoue que la situation est bizarre mais dans le même temps excitée d’être prise ainsi par un parfait inconnu. Il est vrai qu’on est bien tombé avec un homme respectueux et ayant demandé mon consentement.
Et j’avoue que ses coups de rein me font gémir de plus belle. Il demande s’il peut me sodomiser en levrette. Maître l’y autorise sous condition que je supplie.
En effet, j’en ai envie et me voilà en train de quémander une sodomie, nue, à quatre pattes en pleine zone industrielle. Il se retire, mets son gland au bord de mon anus et Maître lui dit de me laisser faire.
C’est ainsi qu’une nouvelle fois, je dois me rabaisser à ce que ce soit moi de faire en sorte que son sexe rentre au plus profond de mon cul.
Mais quelle sensation ! Et lui prend son pied. Mais tellement excité que la sodomie ne dure que quelques secondes. Il me laisse aller à l’orgasme avant de se retirer.
Maître lui tend un mouchoir pour qu’il puisse s’essuyer et échange comme si il n’y avait pas une soumise nue, en levrette. Je ne bouge pas vu que je n’ai reçu aucun ordre en ce sens. Le chauffeur se rhabille et part comme il était venu.
Moi, toujours en levrette attendant sagement.
Maître s’approche de moi, me caresse la tête en disant quel bon toutou j’étais. Il me relève et pour la première fois me laisse nue dans la voiture. Pour ce qu’il a prévu pour la suite, rien de gênant. Mais ceci est une autre histoire.
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Je le redis : ce texte est un fantasme, qui, peut-être se réalisera un jour.
Merci, fantasme très excitant