Arrivés à l’hôtel, Monsieur vient devant moi, libère mes seins pour les pincer et me dit :
« – Dit que tu es ma chienne.
Je murmure :
– Je suis ta chienne.
– Plus fort.
Je le dis un peu plus fort.
– Tu appelles ca plus fort ? »
Je le répète plus fort. Satisfait, il me remet dans une tenue correcte et nous nous dirigeons enfin dans l’entrée à l’hôtel. Notre chambre est au premier.
Nous allons donc vers l’escalier et cela peut paraître fou mais j’ai pensé à ce moment-là à la charmante @AmanteLili. Je sais qu’elle et @MrSirban auraient adoré ce couloir pour faire des photos voire des coquineries.
J’ignore si Monsieur y a pensé mais vu l’heure, je ne dis rien, nous n’avons que peu de temps. Alors je monte simplement les escaliers pendant que Monsieur me tripote tranquillement.
Enfin arrivés à la chambre, nous posons tout et j’attends uniquement les ordres :
« – Allez nue ma salope.
J’enlève ma jupe et mon haut. Je m’apprête à enlever mes bas porte-jarretelles quand il me dit :
– Garde-les et présentation.
Je mets les mains derrière la tête et j’écarte les jambes. Bien sûr, il en profite pour me tripoter et me dit :
– A genoux.
Il me rabaisse de manière que j’embrasse ses pieds tandis qu’il vérifie mon humidité. Satisfait, il m’ordonne :
– A 4 pattes sur le lit.
Il met sa langue dans mon intimité avant de me donner un nouvel ordre :
– Sur le dos, au fond du lit.
J’obéis et je subis de nouveau un cunnilingus. J’en prends un plaisir incommensurable et je me dis que même si je suis fatiguée, mes envies sont toujours présentes.
Il s’arrête et remonte jusqu’à moi. Il lève mes jambes et c’est avec délice qu’il me pénètre. Il m’avait dit que le jour où il le ferait, c’était pour me posséder. C’est bien ce que je ressentais à ce moment-là, il me fit l’honneur de quelques coups de reins avant d’exiger un 69.
Je peux vous assurer qu’il faut de l’énergie pour le suivre. J’obéis sans hésitation. Et nous voilà parti pour un 69. Par moment, je prends tellement de plaisir que je stoppe temporairement la fellation. Mais je peux vous assurer qu’entre ses coups de langues, ses morsures et par moment ses doigts que ce soit dans mon intimité ou dans mon cul, il m’est bien difficile de ne pas bouger. Cela demande un effort surhumain et encore plus au vu de mon état physique.
Il m’allonge alors sur le dos et le 69 continue tandis que lui est sur moi. Sauf que je suis dans une telle position que je ne peux pas échapper à la fellation. Je suce comme je peux car je ne peux ni utiliser mes mains ni bouger tandis que lui peut profiter de mon corps autant qu’il le souhaite.
Mais croyez-vous qu’il me laisse prendre du plaisir ainsi ? Bien sûr que non, je reçois pour ordre de me mettre debout face à la porte de la salle d’eau et bien sûr il me branle comme il le sait faire pour me faire couler non pas une fois mais deux fois de suite.
Le sol estt littéralement inondé. Mais je gagne le droit d’une pause. Un petit câlin dans ses bras. Quand je parle de petit, c’est que le câlin ne dure guère longtemps puisqu’il me donne sa jambe pour que je me frotte à elle.
Et bien sûr, je le fais :
» Tu vois, tu ne peux pas t’empêcher de te frotter.
– Et si je retire ma jambe ? »
J’accompagne le geste à mes paroles. Il s’empare de mon bras droit et me branle avec l’autre.
Me voilà repartie dans les plaisirs. Il s’arrête et ouvre mon sac à jouet. Il en sort la roulette à pics et je dois le dire, l’effet sur mon clito est impressionnant. Il ne doit plus recommencer tellement c’est étrange que de ressentir à la fois une sensation de mini piqûres et le plaisir engendré par elles.
Il la passe sur le reste de mon corps où il s’avère que je suis moins sensible avant de la poser à côté du lit et de s’emparer du gode ventouse.
Il l’utilise comme à l’habitude et j’ignore comment il le fait mais un plaisir dont je me sens incapable à maîtriser m’empare. J’essaie de le supporter le plus longtemps possible avant de le stopper.
Mais une fois n’est jamais suffisante et il recommence 2 autres fois en me disant qu’il devrait m’enregistrer pour vous montrer à vous mes lecteurs les gémissements que je pousse en sa présence.
Il s’empare alors de ma queue de chat et c’est sans difficulté qu’elle rentre dans mon cul.
Il me fait mettre à 4 pattes. Lui est allongé sur le dos et mes fesses vers lui. Et c’est donc en mode chienne qu’il exige une fellation. Pendant qu’il triture ma queue et me faire monter dans le plaisir et ce, jusqu’au bord de la jouissance.
Je ne peux pas m’empêcher de me dandiner et j’entends ses gémissements de plaisir. Il pénètre alors ses doigts. Je suis tellement à lui que lorsqu’il ramène ses doigts vers lui, mon corps les suit. Je n’ai qu’une envie m’asseoir sur ses doigts. Car bien évidemment, parfois, il s’arrête pour me laisser me dandiner et prendre du plaisir.
D’un coup sans que je comprenne pourquoi, il s’arrête et se met debout. Je reste à 4 pattes, n’ayant reçu aucune autre consigne. Il me dit alors :
« Debout. »
Je lui fais les yeux de chat potté car je n’ai aucune envie de revenir à la porte de la salle de bains. Certes, je prends du plaisir à couler mais cela demande beaucoup d’énergie que je n’ai plus à ce moment précis. Et pourtant, je dois obéir.
Il maintient ma queue et me branle jusqu’à ce que je coule comme la chienne qu’il veut que je sois.
Il me retourne, me mets à genoux et exige que je le suce. Je le fais quelques instants avant que Monsieur exige que je m’allonge sur le dos, la tête au bord du lit, la bouche ouverte.
Et c’est ainsi que pour la première fois de la soirée, Monsieur me demande :
» Tu préfères que j’éjacule sur tes seins ou dans ta bouche ?
– Dans la bouche. »
Il respecte mon choix et c’est avec plaisir que j’avale son jus.
Il me relève et me laisse m’asseoir sur le lit. lui, se dirige vers la salle d’eau et avec une serviette pour essuyer le sol.
J’espère ami lecteur que tu seras d’accord avec moi que si le sol est trompé, c’est exclusivement la faute de Monsieur. S’il ne me branlait pas ainsi, je ne coulerais pas. Car pour tout avouer, je n’ai jamais coulé comme il me le fait avant lui.
Je me relève et commence à ranger les accessoires et à me rhabiller. Maître me ramène ainsi rompue de fatigue et de plaisirs chez moi. Il me souhaite la bonne nuit avant que je ne quitte cette journée d’anniversaire pour le mondes des rêves.
Blog de Lili Soumise
Blog de Lili Soumise – Une soumise BDSM raconte sa soumission