L’anniversaire de Lili soumise avec Monsieur – Partie 1

Certains fans de mon blog ont profité de l’occasion de mon anniversaire pour me faire des cadeaux comme des bas jarretelles.

J’ai voulu testé un vibromasseur suceur également.

C’est ainsi que les ordres sont donnés : un haut sexy sans soutien-gorge, une jupe avec les bas, ma culotte fendue et le vibro installé.

J’ignore pour vous mais tenir un vibro n’est pas chose aisée surtout quand il n’y a pas une culotte voire un string pour le maintenir un minimum en place. (je vais le rajouter dans la page mes accessoires)

Une fois prête, j’attends à peine quelques minutes avant de recevoir le message de Monsieur m’indiquant son arrivée.

Je mets mon manteau, prends mon sac à main et descends.

Au bout de quelques pas, je me rends compte que j’ai oublié un élément essentiel : mon sac à jouets.

En quatrième vitesse, je fais demi-tour et remonte chercher mon sac.

J’essaie, une fois le sac récupéré, de marcher aussi vite que possible afin de ne pas faire attendre Monsieur. Mais je dois avouer que le jouet entre mes jambes a plutôt tendance à me ralentir.

Je le vois m’attendant devant le restaurant. Comme à son habitude, il est heureux de me voir. Il l’embrasse, me prend dans ses bras et me caresse avant de me dire :

« – Tu n’as pas quelque chose pour moi ?

– Est-ce obligatoire ?

– Tu connais la réponse. »

Je lui tends la télécommande. Il prend mes sacs et nous voilà qui entrons dans le restaurant.

Pendant la prise de commande, j’ai eu un fou rire. J’ai senti le regard du serveur sur moi. Je venais à peine de commander un apéritif et j’ai eu l’impression qu’il pensait que j’étais bourrée. Je lui explique que c’est ma journée d’anniversaire et que je suis simplement euphorique.

Il ne dit rien et part avec notre commande.

Avec Monsieur, nous entamons l’un de nos sujets favoris : les twittos. Ceux que nous n’apprécions pas, ceux que nous apprécions. J’avoue que nous avons parlé surtout de 3 pseudos féminins en particulier. Elles se reconnaîtront en lisant car elles savent que c’est un plaisir que de leur parler.

(Pas la peine d’essayer de me soudoyer, je ne vous les donnerais pas.)

Seulement, j’ai beaucoup de mal à m’exprimer parce que non seulement Monsieur joue avec la télécommande mais s’amuse à changer les vitesses.

Il lui suffit de voir mon regard et mon sourire pour qu’il comprenne le changement opéré. Mais j’avoue que j’ai bien du mal à me concentrer sur la discussion ou à manger tellement le plaisir est présent.

Difficile de rester sans réaction face à ce qu’il se passe sous ma jupe.

Le repas se passe sous de bons auspices quand Monsieur décide enfin d’arrêter le jouet. Et je dois dire que cela faisait du bien.

Seulement, comment aurais-je pu deviner la suite :

« – Tu vas aller aux toilettes. Tu vas enlever ton jouet et ta culotte. Tu vas tenir ta culotte dans ta main et me la donner. Quand tu reviendras t’asseoir, c’est en relevant la jupe.

– Est-ce que je peux finir mon assiette avant ?

– Non. Tout de suite. »

Je le regarde et je vois le sérieux dans ses yeux. À ce moment, j’étais à lui et n’avais d’autres choix que d’obéir.

Je prends mon sac et va aux toilettes pour obéir. J’enlève alors le jouet, le passe sous l’eau, le range dans sa boîte avant de remettre le tout dans mon sac.

J’enlève ma culotte et la mets en boule dans ma main.

Je sors enfin des toilettes et me dirige vers Monsieur. Je n’ai qu’une hâte lui donner ma culotte et m’asseoir.

Sauf que Monsieur avait une autre idée, il me fait me rapprocher de lui, fait des caresses rapides sous ma jupe. Il m’embrasse et m’autorise enfin à me libérer de ma culotte et à m’asseoir.

Je m’assieds normalement quand il me dit :

« – Tu n’as pas oublié quelque chose.

Je me dandine comme je peux pour respecter son ordre.

– Pardon.

Je sens qu’il attend quelque chose.

– Pardon Monsieur.

– Je pense qu’une punition va être de rigueur. Dommage que j’aie oublié ma cravache et la laisse. »

Je ne dis rien mais je sens que je vais échapper à une photo qu’il souhaitait : moi à 4 pattes avec ma queue de chat, le collier et la laisse dans un couloir d’hôtel.

Je finis mon assiette et nous reprenons nos discussions. Je crois qu’être sans culotte ne me fais plus rien. Après tout, verra qui verra et je sais que si la personne n’est pas respectueuse, Monsieur la recadrera.

Le serveur vient débarrasser nos assiettes et pour tout avouer, entre des viennoiseries le matin, un goûter que j’ignorais avec des gâteaux et le restaurant, je n’avais plus très faim. Mais Monsieur a insisté pour que je puisse souffler sur les bougies.

Je ne le mets pas assez en avant, alors je fais une petite parenthèse. Entre tous les hommes que j’ai pu fréquenter jusqu’ici, Monsieur fait partie de ceux qui ont la plus grande attention pour moi. Même si c’est le seul qui porte mes sacs et ouvre ma portière de voiture. Alors je vais essayer de retranscrire le fait que cela me touche énormément.

J’ai tendance à me rabaisser (cf la page Questions / Réponses) et je sais que je dois arrêter. Même si je me dis que Monsieur m’en accorde trop.

Et pourtant, nombre de personnes, y compris lui, m’ont envoyé de très jolis compliments ces derniers jours. Je les apprécie et comme d’habitude, je dis que je suis simplement moi et que je ne mérite pas d’être sur un piédestal.

Pour eux, si. Alors merci beaucoup à vous car cela m’a beaucoup touché.

La moindre des choses, c’est d’accepter un dessert en essayant d’en choisir un que je peux terminer.

Bien sûr, la petite bougie dessus et je peux vous assurer que j’ai réussi à finir mon mi-cuit au chocolat et ma boule de glace de vanille.

À la sortie du restaurant, notre premier réflexe est de regarder twitter. Que voulez-vous ? Nous sommes geek ou nous ne le sommes pas.

Mais cela ne dura que quelques instants puisque nous marchons en direction de la voiture en rigolant et en parlant.

Monsieur paie le parking, ouvre la portière et me dit :

« Tu connais ta place. »

Je grimpe à 4 pattes à l’arrière de la banquette arrière.

Bien sûr, ile me doigta :

« Mais c’est que tu es à 2 doigts de couler. »

Il arrête et me relève. Il pince mes tétons, m’embrasse et me dit :

« Allez sur le dos. »

J’obéis et je subis littéralement un cunnilingus ainsi allongée sur la banquette arrière. Au vu de la montée de mon plaisir, la lèche de ma chatte ne dure guère longtemps.

Nous montons alors dans la voiture dans les places avant et nous voilà partis pour la suite de notre soirée.

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L'anniversaire de Lili soumise avec Monsieur - Partie 2
Imagination - Une soirée à 4

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3 commentaire

  1. toujours aussi agreable de te lire et d’imaginer

  2. Très joliment écrit
    Un réel plaisir à lire et à regarde également mm si les photos ne sont pas nécessaires car ton écriture suffit pour très bien bien imaginé l’action

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