voiture

Suite à plusieurs semaines sans se voir, enfin les conditions de revoir Maître sont réunies. Enfin presque. Je sens le rhume revenir, la journée de samedi a été bien trop occupée et le repos est nécessaire. Toutefois, l’envie de revoir Maître est trop forte surtout que je sais que si ce n’est pas ce soir, cela risque d’être dans longtemps à cause de mon emploi du temps lié à ma vie vanille.

C’est ainsi que je sors en jupe avec un haut noir fortement décolleté ainsi que mon collier et

ma laisse. Je laisse la laisse dans mon décolleté. Ce qui provoque un froid, mais aussi le plaisir qu’il doive y plonger sa main pour l’attraper.

Il pleut et les possibles sont peu nombreux. Je m’approche de Maître qui m’embrasse et me fait un câlin rapide afin que nous remontions vite en voiture.

Il m’emmène dans l’endroit discret proche d’une forêt. Nous resterons la soirée dans la voiture. Maître sort et j’attends qu’il m’ouvre la portière.

Je sors et je me rends compte que ma jupe relevée pendant le chemin le reste. Par réflexe, je fais en sorte à reprendre une allure convenable. Maître me rappelle ma place en m’indiquant que mes fesses à l’aire est une très bonne chose. Je relève de nouveau ma jupe.

Il ouvre la portière arrière et je m’apprête à rentrer. Pour la deuxième fois, il me rappelle ma place : ne pas bouger sans son ordre. Mais pas de punition. Il m’ordonne de monter et me rejoint par l’autre côté.

J’enlève mes chaussures et m’allonge sur lui sur le dos. Il a ainsi accès à tout mon corps que ce soit mes seins ou ma chatte. Il titille mes tétons comme des joysticks, tâte mon humidité, tape ma chatte avec la laisse ou fait en sorte que la chaîne soit entre mes lèvres. Les gémissements et le plaisir ne tarde pas.

Mais, bien évidemment, la frustration fait désormais partie des amusements de Maître bien que je ne sois pas d’accord. Bien vite, il me demande de récupérer le gode noir de mon sac et me fait allonger sur le ventre sur ses jambes. Ainsi, il me donne des fessées. Je ne parle pas de la petite tape qui excite, mais de celles fortes faisant rougir mes fesses et qui me font exprimer des « aïe ».

Il me pénètre avec ses doigts avant que ce ne soit le tour du gode. Maître est tellement pervers qu’il finit par s’arrêter pour que ce soit moi qui sois obligée de remuer pour avoir du plaisir.

Tout comme il fait en sorte de s’arrêter pour me frustrer et me faire japper comme une chienne. Pour obtenir du plaisir, je finis par me relever pour être assise sur le gode permettant ainsi à Maître de tirer sur ma laisse pour me faire sentir la pression et me faire sentir animale ou chienne comme il le dit.

Il n’a pas tort quand il indique que quand je suis dans cet état, la première personne souhaitant me posséder aurait mon consentement. Mon corps, mon être, mon âme ne veut que du plaisir. Et ce, par n’importe quel moyen. J’ai même un ou deux orgasmes qui ont fini par s’exprimer me permettant de me calmer et de revenir dans ses bras.

Même si Maître continue de jouer avec mon corps et que le gode est profondément en moi, je suis dans ses bras et discutons de choses et d’autres. Mon téléphone finit par sonner me libérant du gode, mais je décide de le couper. Mais c’est ce qui mettra fin à la séance, car même si je retourne dans les bras de Maître pour la tendresse, le moment apaisant, les discussions par lesquelles j’en apprends beaucoup tellement elles sont intéressantes, l’heure est de rentrer.

Maître sort le premier. Je remets mes chaussures et j’attends que Maître m’ouvre la portière. Il ouvre celle de l’avant, mais pour rappeler mes impairs du début de soirée, il me donne de fortes fessées. Je m’installe de nouveau, mais laisse mes seins à l’air tels que Maître les y a mis. Et ce, jusqu’à ce que nous nous rapprochions de chez moi.

J’enfile mon manteau, je récupère, gode et téléphone. Je vérifie n’avoir rien oublié. Dernier câlin pour nous souhaiter la bonne nuit et je rentre le sourire aux lèvres. Toutefois, frustrée, car moment court et qui n’a pas pu permettre de faire des choses que nous souhaitons tous deux mais heureuse d’avoir choisi de le voir, car même si physiquement, je n’étais pas au top de ma forme, l’endorphine est une bonne chose pour le corps. J’ai juste envie de le revoir, mais j’ignore quand au vu de mon emploi du temps.

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