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Ce récit est purement fictif, il m’est venu le week-end précédent lorsque j’ai dormi avec entraves et collier. Tant que Maître n’aura pas lu, j’ignore ce qu’il en pensera.

Maître est venu chez moi et il a profité d’un moment où je suis nue avec mon collier dans mon coussin tandis que lui est assis sur le canapé à regarder la télévision. Sans que je m’y attende, il m’ordonne :

« Au pied Cookie.

– Waouf »

Je me lève et avance vers lui à quatre pattes. Je le vois prendre la laisse et me l’accrocher à mon cou. Il enfile ses chaussures et me permet d’être debout pour enfiler les miennes.

Toutefois, aucun vêtement prévu pour ma part. C’est ainsi que nue tandis que Maître est habillé me sort dehors et m’emmène face à un véhicule. Je suis étonnée car c’est une grosse camionnette.

Maître ouvre la porte arrière et me dit :

« Il est temps que tu voyages comme une chienne. »

Une grande cage s’y trouve. Elle est toutefois bien attachée certainement pour éviter qu’elle bouge sur la route.

Maître m’aide à grimper dans la camionnette, retire la laisse et j’entre dans ma cage où je ne peux y être qu’à genoux.

Il me libère de mon collier avant de la fermer et me dire que le trajet serait court. Je m’installe comme je peux avant de me retrouver dans le noir. J’ignore où nous allons mais certainement une destination inédite.

Je finis par somnoler quand le grondement s’arrête signalant la coupure du contact du véhicule. La portière finit par s’ouvrir et il me libère de ma cage avant de vérifier que je suis fortement humide comme il aime.

Il m’aide à sortir et une fois dans la rue pleine de pavillon, il m’indique :

« Tu dois te comporter en tant que Cookie dès que nous rentrons »

Il me remet la laisse avant de faire quelques centaines de mètres jusqu’à une porte. Une dame nous ouvre et à sa manière de saluer mon Maître, elle nous attendait. elle nous fait rentrer. j’enlève mes chaussures et me mets à quatre pattes.

Je vais l’appeler Maîtresse. Maîtresse me caresse les cheveux et me donne littéralement un sucre pour me saluer.

C’est ainsi que nous entrons dans le salon où se trouve un grand coussin avec un homme nu avec un collier.

Maître m’arrête au milieu du salon et me dit : « Assis ».

Je m’assieds comme une chienne (l’animale le ferait). Maître et Maîtresse s’installe sur le canapé avec un verre à la main.

« Médor, dis bonjour à Cookie.

Cet homme appelé apparemment Médor sort de son coussin et tourne autour de moi avant de m’embrasser.

– Cookie en levrette. Tu dois laisser faire Médor quoiqu’il fasse.

Je me mets en levrette et tel qu’un chien le ferait tourne autour de moi avant d’insérer sa langue en moi. Je gémis tandis que Maître et Maîtresse commente. Je comprends juste que je suis humiliée comme aime Maître le faire.

Médor s’arrête et je sens son sexe dur me pénétrer. Je prends plaisir et j’avoue que je remue pour mieux qu’il soit en moi profondément. J’allais jouir quand j’entends :

« Médor, arrête. « 

Lui s’arrête mais moi, je n’y arrive pas.

« Cookie arrête et sors de lui. »

Je remue quelques secondes avant d’obéir. Maître, non content et ayant toujours la cravache à proximité quand je suis Cookie l’utilise sur mes fesses :

« Quand je dis de sortir, ce n’est pas pour que tu remues avant de sortir. »

Je subis la punition méritée avant qu’il m’ordonne de sucer Médor. Je me mets dans une position qui me facilite la pratique et m’applique du mieux que je peux.

Médor demande à sa Maîtresse :

« Puis-je finir en elle Maîtresse ?

C’est Maître qui répond :

– Elle ne le mérite pas. Elle va se tourner et tu vas éjaculer sur ses fesses. »

Cette fois, je ne perds pas une seconde et je me laisse de nouveau humilier sentant son jus couler sur mes fesses. Je suis pourtant frustrée car je suis encore en chaleur et non satisfaite tandis que ce chien a pu abuser de moi comme il le souhaitait.

– Viens récupérer ta récompense Médor. »

Il va vers sa Maîtresse et lui lèche les pieds. Maître vient à moi, me remets la laisse et repartons.

Dehors, Maître me dit :

« Ton manque de jouissance est à la fois ta punition pour montrer que tu dois obéir mais aussi de te faire comprendre que quelque soit la place de l’homme, quand tu es Cookie, tu es à sa totale merci et son plaisir est supérieur au tien. Toutefois, tu t’es bien rattrapée et même si tu es pleine de sperme, nous allons aller au parc et si un chien veut te prendre, je le laisserais faire. Contente ?

– Waouf. Dis je sur un ton enjoué. »

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1 commentaire

  1. Bonjour, votre récit est très exitant et délicieux à lire. ❤️‍🔥❤️‍🔥❤️‍🔥

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