voiture

Monsieur m’envoie des textos où il me montre son envie de caresser et jouer avec mes seins, ma chatte et même ce fameux Wand insupportable.

Il me chauffe et il sait que j’ai horreur quand je ne le vois pas car cela a tendance à me frustrer. j’ose lui demander sil peut venir. Au lieu d’accepter, il me demande de me rabaisser, de le supplier. Il me demande de le faire plusieurs fois car je peux mieux faire. Mais finalement, il accepte.

Suite à discussion, une robe à boutons, un collant porte jarretelles, mon collier et le laisse représentent ma tenue. Au vue de froid, je rajoute un gilet, mon manteau et mon châle.

Suite à un texto, je descends. je garde manteau et gilet ouvert. Je tiens mon châle au cas où et je fais bien car un homme fume une cigarette sur son perron.

Je rejoins Monsieur content de ma tenue et de mon obéissance. Alors bien évidemment, il dévoile mes seins, pince les tétons. Je commence à être habituée et j’avoue que cela ne me dérange plus. Sauf que nous sommes devant chez moi et disons que l’on ne sait jamais.

Je monte dans sa voiture après qu’il m’ait ouvert la portière. Je soulève ma robe afin que mes fesses soient en contact direct avec le fauteuil. C’était même l’un des premiers ordres reçus.

Je libère mon châle et laisse grand ouvert mon gilet et mon manteau.

Monsieur sur le chemin glisse une main le long de mon intimité juste pour tâter de mon intimité.

Il m’emmène dans une zone industrielle. Nous nous installons rapidement à l’arrière. Monsieur assis contre l’une des vitres. Moi collé à lui permettant de lui offrir mon corps.

D’ailleurs, il ne lui faut guère de temps avant que tous les boutons lâche dévoilant ma nudité avec une laisse glissant entre mes seins.

Bien évidemment, cela inspire Monsieur. il commence par caresser mes seins, sensuellement, tendrement. je me laisse aller, les premiers gémissement émergent. Il comprend que c’est une invitation pour les pincer les tortiller.

Le plaisir arrive. Une main libère l’un de mes seins et glisse doucement vers mon intimité avant qu’un ou plusieurs doigts jouent ou pénètrent mon intimité.

Je me colle à lui, j’essaie de me mettre en position pour qu’il puisse me faire jouir plus facilement. Sa deuxième n’est pas en reste, elle pince plus fort mes tétons lorsqu’elle ne se saisit pas de mon cou faisant accroître mes jouissances et rendant mes gémissements plus puissants. Il comprend alors que c’est une vitation à me mordre le cou ou à bloquer mes jambes pour ne pas bouger.

Il sait que l’humiliation, la dégradation est un amplificateur et ne se gêne pas.

Il est vrai que je résume à quelques mots mais cela a duré bien longtemps et j’y repense ecncore presqu’envie de lui dire « reviens et recommençons. Sûrement dû au fait que comme annoncé, ce sera éventuellement la fin.

Il continue, recommence encore et encore. faisant des pauses dès que j’ai hurlé après un premier gémissement.

Il m’ordonne de lui faire face. il me pénètre avec ses doigts. Je hurle et comme à l’habitude avec lui, je ne reconnais pas mes gémissements. Il me fait écarter les jambes et bien que je n’ai pas le droit de bouger, je ne peux m’en empêcher quand il commence à me mordre. Il me rappelle que je ne dois pas bouger. Il me tape l’intimité avec la laisse et je gémis rien qu’à ces petites frappes.

Monsieur apprécie et adore que je prenne autant de plaisir face à une pratique aussi dégradante. Il se met alors à me mordre. bien que je n’ai pas le droit, je bouge avant de me remettre en position, je ne tiens plus, c’est insupportable.

Alors sûrement pour me tester, il mets ses lèvres sur mes cuisses et je hurle de plaisir. Non pas parce qu’il approche ses lèvres mais parce que je m’attends à des morsures qui ne viennent pas. C’est l’aspect psychologique qui me fait prendre mon pied à ce moment-là. J’en viens même à le détester de me laisser croire qu’il va me mordre alors que non.

Je sens que je vais couler mais je n’oublie pas que nous sommes sur sa banquette arrière. Alors il glisse sa bouche et ses doigts en moi. Quand je vois qu’il avale ma mouille, je me libère et me laisse totalement aller. Et ce, 3 fois de suite.

Je demande répit.

Nous revenons à la première position, moi dans ses bras. mais j’ignore pourquoi, il a toujours envie de disposer de mon corps. Mon clitoris est chaud. Mais monsieur joue uniquement avec mes seins. Ce qui me provoque un nouvel orgasme inattendu. J’ai encore du mal à comprendre comment est cela est possible.

Ma fesse est tendue et ils s’en empare avec une de ses mains. Quelques fessées tombent mais ce n’est pas la meilleure position. Il glisse un doigt en moi mais sa main est le long de mes fesses. Je m’assieds sur ce doigt et je me frotte pour qu’il me pénètre profondément et frotter mes fesses contre sa main.

Rien que cela me rend folle de plaisir. Et comme si cela ne suffisait pas. Monsieur m’humilie d’avantage en me saisissant le cou. Il recommence plusieurs fois entrecoupé de pauses durant lesquelles il me parle de pratiques de scénarios qui bien sûr vous l’aurez compris ne me font aucun effet si ce ‘est un soubresaut du corps réclamant son dû.

Pour information, il fait 4 degré dehors. Et pourtant, c’est nue, avec mon porte jarretelles, mes chaussures, mon collier et ma laisse que Monsieur me fait sortir de voiture alors que lui est habillé et chaudement.

Il caille mais Monsieur me fait appuyer contre la voiture pour me branler et me faire couler. Je suis concentrée sur le froid mais tant que je n’obéirais pas, je resterais dehors. Alors je fais mon possible me concentrer sur les doigts en moi. Je commence à réaliser avant de me dire je suis en extérieur on peut m’entendre. Mais après tout, on est dans une zone industrielle alors je laisse aller mes gémissement. D’ailleurs, ils ils durent guère longtemps vu que je coule quasi immédiatement. Et ce, 2 fois de suite.

J’ai ensuite droit à ma robe, mon gilet et mon manteau. Sitôt revenue à la place passagère de la voiture, je me réchauffe. Monsieur allume bien vite le chauffage qui fait effet au bout de quelques minutes.

Il me ramène chez moi. Depuis je repense à ce moment me rendant humide et presque envie de lui dire de recommencer. Mais encore faut-il que nos emplois du temps coïncident.

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2 commentaire

  1. Bonjour dame Lili, c’est toujours un réel bonheur de parcourir vos récits ❤️‍🔥❤️‍🔥❤️‍🔥

    1. Merci à vous de me lire et de commenter 🙂

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