Lili Soumise avec collier bitch

Depuis plusieurs jours, je suis débordée de travail, mais j’ai très envie de Maître Yannick et cette pause ne peut que me faire du bien. De ce fait, heures supplémentaires la veille et le matin afin de compenser ladite pause.

A la pause déjeuner, je me prépare : Un corset, une micro jupe, le rosebud qui se termine par une queue, la laisse accrochée à mon collier de chienne. Je dois aussi préparer ma gamelle d’eau.

Changement de programme, je suis bloquée niveau travail, mais je dois porter attention aux notifications pour faire une action qui prendrait 10 – 15 minutes au total. Je sais que cela ne dérange pas Maître, car ma vie professionnelle prime.

Et cela n’a pas manqué, la première action tombe à l’arrivée de Maître. Je cours entrouvrir la porte tandis que je suis assise à ma table, devant l’ordinateur. Au lieu de le déranger, cela lui plaît. C’est ainsi que bien que je dois rester concentrée et travailler, il me mord, me caresse…

Je dois avouer que mon attention se porte sur d’autres idées. Mais je ne dois pas me laisser tenter.

Quand j’ai enfin réussi à terminer, Maitre réalise que me mettre dans le coussin ne sera pas possible. Mon alibi, mon chat dort tellement bien qu’à aucun moment, nous n’avons ni lui ni moi, l’envie et le courage de l’en sortir. Cela ne l’empêche pas de s’installer sur mon canapé et de me prendre dans ses bras.

Bingo, le téléphone sonne. Pas le choix, c’est le travail, je regarde et j’avoue que Maître s’amuse de nouveau avec mon corps tandis que je tente aussi bien que mal de répondre aux messages.

« Debout et mets-toi nue »

Il se met à écarter mes jambes et insère ses doigts en moi et est ravi de mon humidité. Il se lève, se réinstalle et commence à jouer avec la roulette à picots sur mes jambes tout en remontant à mon entrejambe. Il le met sur mon clitoris et je n’en reviens pas, je gémis et prends un plaisir tout en me disant que c’est insupportable. Il est vrai que debout à prendre son pied, il est difficile de garder son équilibre. Mais très vite, j’ai envie qu’il le retire. Eh oui, cela pique ! Il finit par le retirer, se lève.

Il me fait poser les mains sur ma table, je pose mon téléphone à côté. Je me cambre. Il sort la cravache et le martinet. Maître commence par le Martinet, certes les coups sont moins forts que la cravache, mais je me demande s’il ne commence pas à faire rougir mes fesses.

C’est ainsi qu’il enchaîne sur ma punition. Il se saisit de la cravache et il me caresse avec avant de me donner le premier coup :

 » un merci Maître. »

J’avais effectivement oublié la force des coups et me demande si je vais y arriver. D’autant que mon téléphone recommence à sonner. Maître m’en donne quatre autres avant de m’autoriser à regarder et à répondre.

S’ensuivent les cinq autres coups. Il adore cette situation où je suis concentrée sur mon téléphone tandis qu’il joue avec mon corps.

Une fois le dixième tombé, je regarde mon téléphone et tandis que j’essaie de lire et de comprendre, Maître me branle. Je ne sais plus ce que je lis et pourtant une réponse doit être faite. Je la fais tant bien que mal puisque mes gémissements et le plaisir pris me déconcentrent. Je finis par lâcher le téléphone et cela ne loupe pas. Maître me fait couler.

Il se saisit alors du sopalin, m’essuie avant de m’ordonner d’aller dans ma chambre. J’ai bien sûr le droit d’embarquer le téléphone que je pose dans un coin. Maître me fait subir son fameux cuni où se mélangent sa langue, ses lèvres, ses morsures, ses doigts. Je gémis, mais j’avoue que j’ai du mal à lâcher prise, car le téléphone sonne de nouveau. Je gémis, je jouis. Il allume alors le Wand. Le mets sur le rosebud et j’adore cela. Mon plaisir monte.

Il fait des cercles autour de mon clitoris et de mes lèvres même s’il s’amuse à le poser une seconde dessus.

« Supplie-moi. »

Je me mets à le supplier, mais je comprends qu’il veut que je me rabaisse et m’humilier avant d’accepter de le poser sur mes lèvres où une explosion se fait. Je me calme, mais Maître ne se décide pas à faire une pause :

« Je dois regarder mon téléphone Maître.

– Je ne t’en empêche pas. »

Je m’en empare. Mais j’avoue que j’ai bien du mal à me concentrer vu que Maître réinsère des doigts en moi. Bien que je ne sois pas très stable, je réponds au message, mais avant de le valider, je me relis, car un lapsus est vite fait.

Je jette presque mon téléphone quand Maître joue de nouveau avec le Wand. Il le pose et alors insère son pouce. Je ne le supporte pas. C’est bien trop puissant. Il me dit :

– Tu préfèrerais le Wand ?

– Oui Maître. »

Il joue de nouveau avec lui, mais cette fois, j’ai bien du mal à le supporter. Je le supplie d’arrêter.

« Tu vois quand tu veux, tu sais me supplier. Un dernier pour la route. »

Un dernier orgasme se pointe. Il laisse tout de côté vient à mon niveau, s’allonge, me prend dans ses bras et nous pouvons nous reposer. Aussi bizarre que cela paraisse mon téléphone nous laisse tranquille. Je somnole quelques minutes. Je pense que Maître aussi.

Et ce, jusqu’à ce que mon téléphone sonne encore une fois. Je le regarde et Maitre fait un truc que j’adore, il gratte super fort mon dos et je kiffe.

Bien évidemment, ses mains redescendent jusqu’à mon intimité. J’ignore comment je me retrouve sur le ventre et le Wand sous moi, mais pas au bon niveau. Je le change de place pour le sentir sur ma chatte tandis que Maître remue le rosebud.

Voyant mon initiative, il tourne le Wand pour l’allumer et me laisse frotter à lui tandis qu’il joue avec le rosebud. J’adore le plaisir pris et il adore me voir ainsi. Je ne contrôle pas mon corps.

Une fois calmée, Maître s’arrête et en regardant le téléphone, je me rends compte que dans 15 minutes environ, il faut que je sois de nouveau devant l’ordinateur.

Maître s’assied en tailleur sur mon lit et une nouvelle fois, sans savoir comment, je me retrouve dans ses bras, lovée comme un chat. En même temps, avec le collier, la laisse et la queue, suis-je vraiment une femme à ce moment-là ?

J’adore cet instant, mais hors de question de mettre en péril mon travail. Malgré moi, je me lève, enlève les accessoires et mets une tenue décontracte. Maître remet son pantalon et sa chemise qu’il avait enlevé avant d’aller dans la chambre.

Je file devant mon ordinateur et Maître s’en va comme il est arrivé, sans que je puisse lui dire au revoir convenablement.

Au vu de la séance, je me pose toujours la question si elle a vraiment eu lieu. Malgré les circonstances, elle m’a détendu et fait du bien. Si cela avait été possible, j’aurais revu Maître le soir pour de nouveau ressentir ce sentiment de zénitude.

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Les accessoires utilisés

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