Je rassemble les jours de mercredi, jeudi et vendredi car il n’y a pas grand chose à dire.
En effet, devant aller au travail et étant sortie Mercredi et Jeudi soir, peu de temps pour mon statut de Cookie.
Je peux quand même vous dire que retirer mon collier me fait bizarre. Même s’il n’est plus présent, je le ressens autour de mon cou. Par moment, même si rare, je cherche même le contact de ma médaille.
Cela n’empêche pas que pour Maître et moi, je suis pleinement Cookie. Ce qui fait que quand mercredi soir, trop fatiguée, je n’ai pas mis mes entraves, juste mon collier pour dormir. Cela m’a valu une interdiction de jouir le jeudi soir.
J’avoue que cela a été compliqué le jeudi avant d’aller dormir. D’autant qu’en mode Cookie, Maître m’autorise en général de nombreuses jouissances, souvent dans des conditions plutôt humiliantes mais je me dois de m’y plier au risque de la punition. Alors, quand je suis privée une soirée, ce n’est pas évident.
Vendredi, étant en télétravail, Maître m’autorise une seule et unique jouissance le matin. J’avoue que j’hésite, ne vaut-il mieux ne rien faire pour combler à minima ma libido même si j’aurais envie de plus ou ne rien faire et attendre de pouvoir jouir autant que possible.
Au vu de ma semaine et de ma journée, je me l’autorise bien que l’endorphine reçue ne durera guère de temps au vu de tout le travail que j’ai.
Le soir, une fois l’ordinateur coupé, c’est naturel que je vais dans mon coussin tout en étant humide. C’est ainsi que je passe la soirée devant l’émission « Les traîtres ».
Suite à ma demande, Maître m’autorise à me faire jouir autant que je veux sous condition de porter mes pince tétons « Slave ». Je le fais juste avant de dormir afin de pouvoir me reposer convenablement.
En ce samedi matin, je vous écris cet article. J’ai du ranger mon coussin et tous les accessoires qui ont trôné sur ma petite table toute la semaine. Ce qui met fin à mon statut Cookie.
Je demande quand même les derniers ordres à Maître afin de terminer la semaine en apothéose. Et ce, avant de redevenir une simple femme, qui, par moment, peut être soumise ou Cookie selon les possibilités mais surtout selon Maître. C’est lui qui définit mon statut quelque soit le moment.
Je regrette d’avoir tout rangé. Je ne souhaite pas forcément être pet à tout moment. Mais ce sont des symboliques qui me permettent de lâcher prise car c’est Maître qui a le contrôle d’une partie de ma vie. Etre dans mon coussin me permet d’être plus détendu que lorsque je suis dans mon canapé ou dans mon lit. Surtout si ordonné.
Aussi étrange et incompréhensible soit-il, le fait que je sois pet signifie jouissance sans aucune limite. Alors que si je suis Aurélie ou Lili soumise, les jouissances sont plus limitées, moins accordées et je me retrouve par moment en manque.
Je sais que j’ai un blocage encore à ce niveau même s’il s’effrite et qu’il va finir par s’effondrer de lui-même.
Bien que je n’ai pas pu revoir Maître en mode Cookie, ses ordres à distance sont appréciables.
D’autant que Maître étant en congés la semaine du 8 mai et que je serais en télétravail le lundi et le mercredi de cette semaine, pas impossible qu’il rende visite à sa chienne avec certains ordres précis. Même s’il a parfaitement conscience que je devrais travailler.
Restera à savoir si je reste dans mon bureau ou si je m’installe dans mon salon.
Enfin, je dis cela mais c’est Maître qui décidera. A peine mon statut terminé que je n’ai qu’une envie, c’est d’être de nouveau à ses pieds. Je me demande par moment si je ne vais pas trop loin ou suis trop en demande par rapport à Maître.
Enfin, voilà comment se termine ma semaine