Avant toute chose, je voudrais vous avertir que cet article sera différent des autres et plus court. En effet, n’ayant pas fait l’exercice de mémorisation et ayant tardé à l’écrire, il me sera compliqué de pouvoir le retranscrire dans les détails et en conformité de ce qui s’est passé.
Maître me fait descendre. Je n’ai pas reçu d’ordre concernant ma tenue. J’ai donc décidé de mettre la robe offerte à Noël avec un beau décolleté. Je me rends même compte que si je tiens à la porter au travail, il me faudra un haut en dessous pour limiter le décolleté.
Après m’avoir pris dans ses bras et embrassé, il apprécie la vue du décolleté qu’offre ma robe. Il me fait monter en voiture et direction notre petit coin discret.
Je dois avouer que la semaine a été fatigante et harassante. Je me rends compte que je n’ai pas beaucoup d’énergie pour une séance digne de ce nom.
Nous discutons durant le trajet qui ne dure que quelques minutes. Une fois garés, Maître sort et m’ouvre la portière. Je descends en laissant mon manteau. Et j’avoue que le froid me fait trembler.
Il me rappelle que j’ai une fessée en suspend et libère mes seins et me caresse. Mais ne tarde pas à ouvrir la portière arrière. Je ne me fais pas attendre pour me glisser à l’intérieur.
Maître fait le tour et entre à son tour. Il s’installe et je m’allonge sur lui sur le dos. Mes seins sont à hauteur de ses mains. Il entame ce que je vais appeler dorénavant le moment « détente et massage. » C’est le moment où il caresse mon corps tendrement et me laisse une sensation de massage qui me détend.
Il est vrai qu’il s’attarde quand même sur mes tétons pour les faire pointer et les sensibiliser ce qui a pour conséquence de m’humidifier et me faire remuer mon bas-ventre.
Toutefois, ce n’est pas la primeur de cette séance. Maître a bien senti ma fatigue et mon besoin de tendresse. De ce fait, je passerais les trois quarts du temps où l’on s’est vu dans les bras l’un de l’autre. Même à certains moments, tellement détendue, je suis prête à m’endormir. Je n’en suis pas loin.
Mais quand je vois Maître, si je n’ai pas au minimum une jouissance, je rentrerais forcément frustrée. C’est ainsi qu’à un moment donné, je ne peux vous dire quand, Maître finit par me mordre, gratter mon dos, descendre ses doigts…
Il me donne quelques tapes sur mes fesses, sur ma chatte. Autrement dit, il s’amuse.
Comme dit au début, je ne me souviens pas forcément de tout ce qu’il a fait avec précision et peu importe. Le plus important dans la séance n’est pas ce que j’ai subi, mais le fait que mon corps lui est totalement offert, il peut en faire ce qu’il veut.
J’allais écrire qu’il y a été avec douceur, mais en vérité, je me souviens qu’il m’a rappelé ma condition de soumise. Et ce, il a fini par s’asseoir à un moment donné et m’a fait m’allonger sur lui.
Et ce, lui permettant un meilleur accès à mes fesses et à ma chatte dans une situation humiliante. C’est ainsi que s’enchaîneront fessées et doigtage avec frustration dès que la jouissance monte. Il aime également me montrer à quel point je suis prête à m’humilier pour mon plaisir puisqu’il lui suffit de mettre un doigt bien placé pour que je remue seule sans que lui ne fasse rien.
J’avoue que le plaisir est quand même mitigé, j’ai bien du mal à être à l’aise ainsi. Non pas par la position, mais par le fait que dans la voiture, la place est limitée. J’ai une petite crampe dans le bras qui commence à s’exprimer tout comme une douleur à mon cou. Comme quoi, des fois, cela n’est pas le bon soir.
Je prends tout le plaisir et les jouissances que Maître veut bien m’accorder avant de lui exprimer mon malaise. Il m’autorise à me relever et je m’assieds.
J’ignore si c’est un moment que j’aurais aimé vivre ou si cela a bel été bien le cas alors il devra me pardonner si je fais erreur. Mais disons que ce moment est produit.
Il gratte mon dos pour me faire remonter dans le plaisir. Et ce, avant de me redoigter de nouveau pour avoir la jouissance.
Et possible que j’ai terminé avec un joli orgasme en me frottant sur son genou.
Mais était ce le cas, je ne peux le dire.
Par contre, une fois plaisir et jouissance obtenus, je suis retournée dans ses bras et sentant le sommeil me gagner, Maître décide qu’il est raisonnable de me ramener pour une bonne nuit de sommeil.
C’est ainsi que prendra fin ce moment de tendresse, mais qui, je dois l’avouer, m’a fait énormément de bien émotionnellement et m’a revigoré pour la semaine à venir.
