avant premiere

Ce soir-là, j’ai décidé de mettre un cache cœur rouge et une jupe. Selon les ordres de Monsieur, j’ajoute les boules de geisha et mon collier public d’appartenance.

Je suis prête à l’heure dite mais Monsieur a 1H de retard. J’en profite pour me reposer pour être plus en forme que la dernière fois.

Je reçois enfin le texto indiquant mon départ. Je le rejoins avec plaisir. Il me prend dans ses bras, me caresse en pleine rue avant d’entrer.

Concernant le restaurant, je vais le garder pour moi. Rien de sexuel ne s’y est déroulé et j’estime que les conversations concernant essentiellement ma vie perso ne regardent que Monsieur et moi.

À la sortie du restaurant, Monsieur pour me faire sentir ma condition, m’accompagne à sa voiture en me tenant par le cou.

Comme a mon habitude, je le taquine, je le cherche mais il sait m’arrêter en me menaçant de mettre mes seins à l’air. Je sais qu’il en est tout à fait capable.

Arrivés à sa voiture, Monsieur range les sacs, ouvre la portière arrière et me dit : »Allez, on reprend les bonnes vieilles habitudes. »

Je m’installe à 4 pattes sur la banquette arrière. Il joue avec les boules de geisha et tâte mon humidité. Satisfait, il me fait ressortir, me plaque contre la voiture, joue avec mes tétons et m’informe :

« Nous allons changer les règles. Étant donné que tu as tendance à oublie le Monsieur sur twitter et en réel, la prochaine fois que tu oublies, tu devras m’appeler Maitre. Je te préviens, si tu oublies le maitre, ce sera 5 coups de badine où je veux sur ton corps. »

Badine

J’ai du mal à assimiler les règles. Je comprends pourquoi il me l’impose mais j’avoue que j’ai bien du mal à l’accepter. Il sait que je n’accepte pas et n’assimile pas complètement mon côté soumise.

J’ai bien conscience que c’est une règle de base mais je l’oublie, c’est involontaire et que j’ai un problème avec cela.

D’autant qu’il rajoute :

« Maitre, cela veut dite que tu m’appartiens davantage et pas qu’en séance. Tu seras à ma disposition. Par contre, si tu oublies trop souvent le Maitre, il y aura des gages comme sucer un inconnu ou te balader nue en laisse en forêt. »

Comment dire, je l’écoute, je comprends mais je ne sais comment réagir.

Nous montons dans la voiture afin qu’il m’emmène dans le fameux parc à voyeurs. En chemin, je réalise qu’une petite envie se déclare : celle de faire pipi.

Je crains fort que je vais devoir combler un souhait de Monsieur, celle de le faire en public. Je l’ai fait une première de manière involontaire et depuis, il ne cesse de me dire que l’on recommencera.

Cette envie a une autre conséquence : les boules de geisha me gênent et me font mal. Je demande l’autorisation de les enlever avec le Monsieur qui me l’accorde.

Il faut savoir que le parking est en 2 parties. Nombre de voitures sont présentes dans la première mais nous partons nous garer dans la seconde au plus près du parc. 2 voitures garées dans la première partie nous suivent.

Celle composée d’un homme se gare à côté de nous et nous mate. Peu importe, je suis concentrée sur la 2ème, celle composée de 4 jeunes qui nous ont bien maté. Je ne sens pas les jeunes. J’ai confiance dans la défense de Monsieur mais 1 contre 4…

Je ne suis pas à l’aise :

« Je ne le sens pas. Les 4 jeunes, y a un truc qui passe pas.

– Moi, c’est l’homme à côté de nous, il a une attitude qui ne me plait pas. »

Nous restons ainsi quelques secondes. Je sens l’angoisse montée et je demande à partir. Monsieur, d’accord avec moi mais surtout voulant mon bien-être finit par redémarrer.

Nous partons rejoindre l’hôtel. La voiture des jeunes se gare de nouveau sur la première partie. Celle de l’homme nous suit pendant quelques kilomètres avant de faire demi-tour.

Rassurée que nous ne sommes plus suivis, je me calme et reprend ma sérénité.

Nous arrivons à l’hôtel, je laisse Monsieur m’ouvrir la portière et prendre nos sacs respectifs. La clef prise, après un bref passage aux toilettes :

 » Nue salope.

Je commence à me déshabiller.

– Inutile de te dire qu’il faut que tu te mettes en position de présentation. »

J’avoue que je n’y aurais pas pensé moi-même. Une fois nue, j’attends qu’il finisse en mode présentation.

Il me fait signe de venir vers lui et prends mes tétons. Il me fait faire des pas en arrière et en avant tout me prenant par les tétons.

« Reprenons les habitudes. »

Il appuie sur ma tête pour me faire agenouiller. Je caresse son sexe avec ma tête.

« A 4 pattes. »

En me tenant par les cheveux, il me fait faire quelques pas avant d’exiger à ce que je monte sur le lit. Il me fait m’allonger sur le lit sur le dos, mains sur la tête.

Tandis que je suis ainsi assise en attente, Monsieur farfouille dans mon sac, boit et prend tout son temps alors que je me demande ce qui m’attend.

Il arrive vers moi avec le gode noir, s’assied au niveau de ma chatte. Il commence à la trifouiller avec ses doigts avant de poursuivre avec le gode. Il commence des va-et-vient doucement. Cependant, les gémissements sont déjà présents. Mais non, stop.

Il veut jouer avec mon plaisir et je déteste quand il fait cela.

Il prend alors mes pieds, les surélève, les tiens avec une main tandis qu’avec l’autre, il me pénètre et joue avec le gode. Surprise, un plaisir intense auquel je ne ‘attendais pas me submerge.

Mais bien sûr, il s’arrête de nouveau. Il pose mes pieds, écarte mes jambes et les bloque avec son corps. Vous ne pouvez imaginer combien il est difficile de ne pas bouger quand un plaisir immense vous envahit.

D’autant que je crie, mes gémissements sont toujours plus puissants. Et j’avoue que j’ai bien du mal à les retenir, je ne les reconnais pas et même sur le moment, j’ai un peu honte d’en exprimer de si puissant.

Est-ce bien de crier d’autant de plaisir ? Je n’arrive pas à gérer ce plaisir auquel je suis devenue pourtant si accro. Cependant, Monsieur me demande de l’assumer. J’essaie de les étouffer en me mordant les lèvres.

« A 4 pattes, cul tourné vers moi.

J’obéis.

– Pose ta tête et mets les mains derrière la tête. »

J’obéis mais je déteste cette position. Je ne suis pas à l’aise. C’est peut-être l’une de celle que je souhaite éviter. Et pourtant, d’après Monsieur, c’est l’une de celle qui me rend la plus humide. II joue bien entendu avec le gode, quand il est pénétré, il donne des coups, il fait des ronds, des va-et-vient.

Lui m’encourage en me traitant, de chienne, de salope et de femelle. Je sais que pour lui, ce sont des compliments et que le spectacle que je lui offre lui plait.

« Debout, face au miroir. »

Je sais ce qui m’attend. Il vient derrière moi. Il veut m’aider dans l’acceptation de moi. Alors, il prend mes seins dans ses mains en disant combien mes seins sont jolis.

Il prend mes fesses et me dit combien elles sont jolies et qu’il est bien content de pouvoir les mater sans que je le voie. Il me mord plusieurs fois l’épaule et commence à me branler comme il sait si bien le faire.

Ce n’est qu’au bout de quelques secondes que je coule.

Quelques minutes de répit et il recommence. Il n’en faut pas longtemps pour que je recule.

« Allonge-toi sur le dos, tête vers moi. »

Il branle son sexe avec ses mains pleines de cyprine. Il tient à ce que j’avale son jus en même temps que le mien.

C’était très intense et il nous faut quelques minutes avant de reprendre notre souffle. Nous discutons de choses et d’autres avant de décider de nous coucher.

La chose qui m’énerve, c’est quand les personnes n’ont aucun mal à s’endormir. Je me retrouve alors dans les bras de Monsieur sans l’envie de dormir tandis que lui dors.

J’avoue que l’idée de le réveiller m’a effleuré l’esprit mais s’il s’est endormi, c’est qu’il en a besoin.

Ma nuit est un mélange entre sommeil et demi sommeil. C’est ainsi que somnolant, Monsieur me caresse le corps. Ce qui finit par me réveiller et je bouge pour lui faire comprendre que je suis réveillée également.

Il faut savoir que je suis allongée sur le côté collée à lui. L’une de ses mains bloque les miennes tandis que l’autre joue avec mon clitoris. Les gémissements arrivent rapidement. Il descend jusqu’à mes lèvres et me pénètrent.

Première jouissance.

Ce qui ravit Monsieur, c’est que mon corps en redemande. Monsieur recommence, le plaisir monte jusqu’à ce qu’il stoppe.

« S’il te plait Monsieur

– Que veux-tu ?

– Fais-moi jouir s’il te plait.

– Supplie mieux que cela. »

Après quelques suppliques, Monsieur m’accorde enfin le droit de jouir. Je réalise que non seulement je suis à son entière disposition, qu’il peut me prendre quand bon lui chante mais qu’en plus, il peut contrôler ma jouissance.

Ayant l’esprit de contradiction, il y a une partie de moi qui adore et qui se déculpabilise de prendre de la jouissance. Car elle dépend d’un autre. Mais une autre n’arrive pas à l’accepter avec la mauvaise image que peut avoir la soumission. Comme si c’était malsain, pervers. Alors qu’en réalité, Monsieur satisfait mes envies et que mon plaisir est bien plus intense et puissant en mode « soumise. »

Nous finissons par nous rendormir jusqu’à ce que Monsieur caresse de nouveau mon corps et me mette sur le dos.

Il pose sa main sur mon cou tout en appuyant dessus et en me branlant. Je réagis instantanément et bouge mon corps en conséquence.

Il m’encourage en me disant : « Chienne, salope, femelle. »

Je crie, je hurle, je suis prise par surprise mais avec un plaisir toujours grandissant jusqu’à ce que je finisse par couler.

Monsieur s’allonge sur le dos et exige une fellation. Bien sûr, j’obéis tandis que sa main caresse mes fesses, mon clito. J’avoue que je fais le nécessaire pour que mon corps s’assied sur main ou suive les mouvements de ses doigts.

Je veux du plaisir encore, encore et encore. Alors que j’ai bien du mal à gérer ce même plaisir.

Ma bouche suit le rythme de ses doigts, j’y mets tout mon cœur et espère qu’il en est satisfait.

Une fois heureux et satisfait, il me prend dans ses bras. Nous discutons et essayons de nous rendormir.

Et devinez ce qui s’est passé au 3ème réveil : il bloque mes mains, il bloque l’une de mes jambes et recommence à me branler. Je suis à lui, il fait de moi ce qu’il veut et le pire, c’est que je lui obéis même s’il m’arrive de rechigner ou d’essayer d’esquiver.

J’avoue que pour la troisième, mon clitoris est hyper sensible. Est-ce que cela contribue à l’accentuation du plaisir ? Fortement probable.

Peu importe, je ne peux bouger, je suis à sa merci et il adore jouer avec moi. Je le laisse faire et essaie d’amoindrir le bruit des gémissements pour éviter de réveiller nos éventuels voisins.

Monsieur à genoux, réclame une fellation. Je prends de nouveau son sexe en bouche tandis qu’il continue de me branler. Comme dans la nuit, je suis ses mouvements, je ne cherche plus à contrôler les gémissements. Ils sortent d’eux-mêmes.

Je retourne dans ses bras, discutons quelques minutes et finissons par nous rhabiller et quitter la chambre.

Ayant des courses à faire, Monsieur me dépose sur le lieu demandé. Je ne rentre chez moi qu’une heure après. Est-ce important me direz-vous ?

Eh bien oui, puisqu’en rentrant chez moi, je me rends compte que je sens bien la présence de mon clitoris. Il est en feu, hyper sensible et demanderais presque encore son dû.

Il me faudra 1h où je déjeune et 2 h de sieste pour que mon clitoris soit désensibiliser si c’est le bon terme.

Et pourtant, là, presque 9H après, même si mon clitoris s’est quelque peu calmé, une minuscule étincelle suffirait à me faire de nouveau crier de plaisir.

Et j’avoue que c’est nouveau pour moi. Même si j’exprime peu mes propres paroles, j’ai fait attention à bien utiliser le Monsieur.

Même si je suis persuadée que tôt ou tard, il exigera le Maître et voudra me posséder entre 2 séances à distance tout en respectant ma vie personnelle. Car il sait que même s’il en a envie, j’ai besoin de certaines prédispositions pour l’accepter mais surtout le faire.

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1 commentaire

  1. Bonjour madame, pourriez vous dominé un homme ?

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