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Ce récit est fictif et n’ai juste ce que j’imagine face à ce qui m’attend réellement…

Je sors du bureau dans une tenue plus sexy que lorsque j’y suis entrée le matin. Pour vous donner une idée, une jupe (sans culotte dessous), un chemisier transparent et un soutien-gorge mettant en valeur ma poitrine.

Cette tenue, c’est moi qui l’ai proposé à Monsieur. Je sais d’avance que je risque d’être gênée de manière jouissive mais j’ai envie de jouer. Surtout de jouer avec les regards de ces messieurs si jamais j’en croise. Du moins, le temps de me rendre sur le lieu du rendez-vous.

Ce dernier se faisant dans un petit square. Trop occupée à faire mes courses en ligne ou à écrire un article pour mon blog, j’aurais bien du mal à savoir si ma tenue peut rendre désirable ne serait-ce qu’une seule personne.

Le temps passerait bien vite. Monsieur se gare alors près du square et me donne les indications pour le rejoindre dans la voiture. Bien évidemment, je m’installe dans la voiture, jupe relevée et jambes écartées. Nous nous saluons et comme à son habitude, il me flatterait sur ma tenue, ma poitrine et n’hésites pas à les caresser et même à rentrer ses doigts dans mon intimité.

N’ayant pas tellement de temps pour les jeux, il nous conduit alors à Demonia. Jamais de ma vie, je ne suis entrée dans un sexshop et encore moins spécialité dans le domaine BDSM. C’est avec appréhension que j’y rentre avec à mes côtés mon dominant.

Comme il en a pris l’habitude, il me tient par le cou. Il veut que je me sente chienne, que je me sente lui appartenir à chaque instant quand je suis à ses côtés. Nous flânons dans les allées, il m’explique certains objets. Sans rien montrer, certains d’entre eux réveillent mes envies rien que de les imaginer en la possession de mon dominant.

Certains accessoires me font envie mais j’essaie de le cacher devant d’autres. Il est possible que je n’y arrive pas car mon dominant est très observateur et commence à connaître chacune de mes réactions.

Comme il m’avait prévenu, il se procure des pince-tétons en chaîne en me faisant comprendre que ce cadeau n’allait pas rester très longtemps dans son emballage.

Nous retournons à la voiture. Mais croyez-vous que cela soit suffisant ? Il me demande de me mettre à 4 pattes à l’arrière. C’est pour mieux m’insérer le rosebud. Il commence à jouer avec mon intimité qui, bien sûr, réagit immédiatement. Il avait déjà repéré les lieux et décide dans un lieu discret de faire comme la dernière fois, me mettre face au mur, jambes écartées avant de me faire couler comme la chienne que je suis.

Nous remontons alors dans la voiture. Il m’ordonne d’enlever mon haut, m’installe les pince-tétons et accepte que je remette mon chemisier transparent. Seule une personne regardant dans ma direction et sachant observer peut voir que ma poitrine est facilement visible.

Nous nous dirigeons alors vers chez moi. Bien entendu, des caresses sur mes jambes ou dans mon intimité se font et dès qu’il le peut, il se met volontairement à côté d’un camion. Curieuse, je jette un œil au chauffeur. La plupart du temps, ils sont concentrés sur leur voiture. Mais un ou 2m’ont regardé une première fois pour revenir sur leur volant et comme pour confirmer leur vision, ils me regardaient une deuxième fois. Je pris sur moi et m’en amusais.

A l’approche de ma maison, j’eus le droit de remettre ma veste afin de cacher ma tenue indécente à mes voisins. Je montais rapidement, pris mon sac de jouets et revint dans la voiture.

Seulement, un autre ordre vint : celui de me goder durant le trajet jusqu’à l’hôtel. J’essayais de le faire le plus discrètement possible mais c’était peine perdue entre maintenir ma veste fermée, relever ma jupe et faire rentrer le gode, je crois que si j’avais lâcher prise, cela aurait été plus rapide.

J’ignorais si quelqu’un avait vu mon manège (hormis mon dominant qui lui savourait le spectacle).

Une fois installée, j’essayais de calmer le plaisir qui montait en moi.

Sachant que j’aurais bien du mal à tenir le gode dans mon intimité en marchant, je le retirais en sortant de la voiture. Nous le mîmes dans un mouchoir (trempé comme il l’était, il en avait bien besoin) et mon dominant le mit dans son sac. L’hôtel où nous nous rendions était respectable et montrer ce genre d’objet n’en faisait pas partie.

Cependant, je devais garder ma tenue indécente, à moi de cacher ou non ma poitrine. Je pris le parti de la cacher bien que j’eusse chaud et que je n’avais qu’un désir la retirer.

Dans l’ascenseur, il me confisqua ma veste. A moi d’assumer. Il commença alors à jouer avec mes tétons.

Arrivés dans la chambre, je posais mon sac et j’enlevais mes chaussures. Il en fit de même et je restais debout à attendre les ordres. Il enleva ma jupe et mon chemisier et me demanda de me mettre dans la pause « Présentation » (face à lui, mains derrière la tête, jambes écartées). Il s’amusa avec les pinces tétons et avec mon intimité. Quand il la jugea humide, il m’allongea sur le lit.

Il me tendit le gode et m’ordonna de me goder avec devant lui. Il faut dire que moi, j’étais nue sur le lit et lui debout encore habillé. J’hésitais à le prendre et essayais de trouver un subterfuge pour m’y substituer.

Mais je savais une chose, j’avais dans mon sac un paddle (quelle idée j’ai eu que de l’acheter celui-là) alors j’obéis. Pendant qu’il savourait le spectacle que je lui donnais, il se déshabilla à son tour. Il s’assit au bout de lit et me demanda avec le gode en moi de m’asseoir sur sa jambe.

Autrement dit, la ventouse collée à sa jambe, je devais me goder. Avec ses doigts, il joua sur la chaîne, avec mon intimité et le rosebud. Il ne m’en fallut pas plus pour couler une deuxième fois.

Avec ce mélange de plaisir, nous fîmes une courte pause où nous discutâmes de choses et d’autres. Dans ces pauses, je suis dans ses bras et j’adore les câlins qu’il me donne.

Mais comme il me le disait bien souvent, vu que je redémarre au quart du tour, il joua de nouveau avec mon intimité avant de me demander de m’allonger sur le dos. Alors c’était ce jeu-là qu’il voulait.

Il m’attacha les mains derrière mon dos de sorte que je ne pouvais pas bouger. Les fesses au bord du lit face à lui. Il balada le paddle sur mon corps, il voulait que je sache sans voir ce qui m’attendait. Je vous laisse imaginer les fessées qu’il me donna avec quand il ne le glissait pas entre mes fesses.

Certaines fessées furent plus violentes, c’était parce que dans les messages et quand nous nous voyons, j’oublie de temps à autre le monsieur. Alors que cela devrait être automatique.

Mais comme j’obéissais et que j’étais docile, j’eus droit au cuni pour me récompenser. Pour celui-là, il m’avait fait mettre sur lui dans la position du 69. Je n’avais pas le droit d’avoir son sexe en bouche et j’avais toujours les mains dans mon dos.

Quand il jugea m’avoir récompensé, il me libéra de mes mains. Je pensais qu’une pause allait s’ensuivre mais non. Il se mit debout et demanda à ce que je sois à genoux. Par réflexe, je cherchais son sexe. Mais non, je devais embrasser ses pieds pendant qu’il me doigtait. J’eus alors l’ordre de me mettre face au mur jambes écartées afin que je coule encore une fois. Il me libéra cette fois de mon rosebud et des pince tétons.

De toutes ces pratiques une bonne douche était nécessaire. Nous allâmes ensemble dans la douche. Il commença à triturer mes tétons devenus ultra-sensible. Je n’avais pas le droit de me laver. C’est lui qui le fit à ma place. Et vous vous doutez bien qu’il le fit de manière à ce que je me sente une nouvelle fois humiliée me faisant couler à même la douche.

Mine de rien beaucoup de temps s’était écoulé. A la sortie de la douche, nous nous séchâmes.

Il me remit le rosebud en place avant que je reçoive l’autorisation de me rhabiller. Nous rangeâmes nos affaires mais il avait pris soin de garder le gode dans son sac.

Je le lui fis remarquer et il me dit que je saurais bientôt pourquoi. J’eus droit pour la sortie d’avoir mon soutien-gorge sous mon chemisier.

A la voiture, il m’ouvrit la portière et installa le gode à ma place. Je compris ce que cela signifiait et je fis ce qu’il attendait de moi. J’avais une nouvelle fois une double pénétration qui ne me laissait pas indifférente.

Cela ne l’empêcha pas de jouer avec moi le temps du trajet pour rentrer chez moi. Mais avant de me laisser repartir, il me dit : « Maintenant, à chaque fois que tu te goderas, tu sauras que tu es ma chienne. »

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4 commentaire

  1. Ce texte donnera surement des idées à Monsieur, mais moi, je ne les respecterais pas à la lettre car ceci ne serait plus te mener à l'excellence de ton parcour. Il faut aller plus loin que ce que tu aimerais là… maintenant..

  2. Oui. Il m a dit qu il songeait à cela mais pas dans cet ordre. Après il y a aussi la réalité qui fait que pour certaines raisons des pratiques ne peuvent se faire. De toute façon je serais bientôt fixée !Mais il est clair que si tout est écrit à l avance ce n est plsu drole

  3. […] – Nous allons rejoindre ton texte, à quatre pattes. (cf ce texte) […]

  4. […] – Nous allons rejoindre ton texte, à quatre pattes. (cf ce texte) […]

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