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Afin de répondre aux interrogations de certains de mes lecteurs, Mon Maître n’est pas Monsieur Yannick. Toutefois, mon Maître connaît l’existence de Monsieur Yannick. Tout comme Monsieur Yannick connaît l’existence de mon Maître.

Chacun est d’accord pour que je voie l’autre.

Je vais vous épargner les détails mais encore une fois, avec mon Maître, nous n’avons pas pu nous empêcher d’avoir des discussions hot par textos. Lorsque c’est le cas, lui et moi savons très bien comment cela se finit : il arrive.

Sa seule exigence : l’attendre en sous vêtements.

Seulement, j’ai eu envie de prendre l’initiative. C’est ainsi qu’en plus de mettre un string et un soutien-gorge, j’insère un rosebud.

Dès lors que mon interphone sonne, j’entrouvre la porte et attends mon Maître assise sur mes genoux.

Lorsqu’il entre, je vois à son regard qu’il est satisfait. Il se dirige vers mon salon pour déposer sa veste et enlever ses chaussures. Il m’observe et je sais que le fait que je ne bouge pas sans ordre lui plaît.

Il se dirige vers ma chambre et je l’entends me dire : « Viens ».

Je reprends les vieilles habitudes et c’est à 4 pattes que je le rejoins.

« Occupe-toi de ma queue »

Il est au bord du lit, je suis à genoux et c’est ainsi que je lui fais une fellation comme il les aime. Il ne cesse de me dire que je suis une bonne chienne, que je le suce bien, que j’aime la bite. Il me donne aussi des indications.

Quand il en a suffisamment, il se relève et me déleste de mes sous-vêtements : « Monte ».

Je monte à 4 pattes mais je ne sais pas s’il veut que je reste à 4 pattes ou que je m’allonge. Dans le doute, je reste à 4 pattes.

Les fessées alors commencent à pleuvoir avant qu’il n’enlève mon rosebud et me sodomise.

Comme je sais que lui dire que je suis une bonne salope, une bonne pute, une bonne chienne, je lui appartiens l’excite au plus haut point, je m’exprime. J’en rajoute en lui demandant de me défoncer le cul.

À un moment, il se retire, m’allonge et me pénètre de nouveau le cul. Il me mord au cou, à la joue, il passe ses mains en me griffant sur le dos. Comme vous le savez, ce ne sont que des choses que je déteste (ironie).

Je sens ma jouissance montée. C’est le seul qui arrive me faire jouir ainsi en me sodomisant (il faut savoir que Monsieur Yannick ne l’a pas encore fait mais je pense qu’il voudra l’égaler sur le fait de me faire jouir ainsi)

C’est repus et satisfaits qu’il se retire. Il me prend dans ses bras et nous nous endormons pour une petite sieste.

Lorsque nous nous réveillons, nous discutons de ce qui vient de se passer mais aussi de choses et d’autres. Il est temps pour lui de rentrer chez lui et à chacun de retrouver une vie normale.

C’est ce jour-là que j’ai compris que je crois que je ne pourrais plus m’en passer. J’ignore si c’est pathétique ou je dois m’en réjouir de le savoir.

Dans tous les cas, aucun prétendant voulant casser mon célibat ne se présente, alors autant profiter un maximum de ma soumission envers mon maître et Monsieur Yannick

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