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Ce soir-là, j’ai décidé d’aller au cinéma. Bizarrement, j’ai envie de mettre le rosebud. Seulement, je n’écoute pas mon envie et y va sans. Avec le recul, je regrette.

J’envoie un texto à mon maître avant la séance et j’espère avoir une réponse au moins en sortant du film. J’apprécie moyennement le film que je vais voir, non pas que je pense à autre chose mais parce que je trouve que le film est trop téléphoné et j’ai deviné la fin.

En sortant, je suis déçue de n’avoir aucune nouvelle. Fatiguée, je rentre et me prépare pour la nuit. Je fais 2-3 bricoles avant d’aller me coucher quand l’interphone sonne. Je suis une peureuse. je n’ose pas répondre.

Je repense alors à mon maître et regarde mon téléphone que j’ai laissé sur silencieux. Il a essayé de m’appeler. Je le rappelle afin de lui demander de revenir.

De deux choses soit je range un minimum mon appartement soit je change ma chemise de nuit de grand-mère pour une beaucoup plus sexy. je choisis la première option.

Lorsqu’il entre dans mon appartement, à son regard, à son attitude, à l’expression de son corps, je comprends ce qu’il attend de moi.

Seulement, des choses, en dehors de notre relation BDSM, se sont passées et il convient de les régler. Je me fais alors distante, faisant celle qui n’a pas compris et lui pose des questions qui me tiennent à cœur.

La seule chose et je pense qu’il le sait, c’est que je ne sais pas lui résister. Il sait que mes défenses tombent quand je lui indique que je continue de voir Monsieur Yanick. Il s’en fiche.

Il attrape alors un de mes tétons, s’approche de moi, embrasse avec fougue ma bouche et mon cou. Il sait combien cela me rend folle d’excitation. Mais en a-t-il réellement besoin ?

Il s’écarte ensuite de moi, déchire ma chemise de nuit. Je suis attristée car même si c’est une chemise de nuit de grand-mère je l’aimais bien. Il appuie mes épaules et le laisse me mettre à genoux.

Il enlève son pantalon et son caleçon. Je prends à grande bouche son sexe afin de lui faire des gorges profondes comme il les aime. Il faut savoir que cette pratique demande de l’entraînement. N’en ayant pas encore véritablement eu, je tiens quelques secondes mais en redemande toujours.

Quand il comprend que je n’en peux plus (elle est aussi fatigante cette pratique), Il me relève et m’embrasse. Il en profite pour me fesser. Quand je parle de fessées, il s’agit de grandes tapes sur les fesses qui font bien rougir.

Il me retourne, me pousse à terre. Je me mets à 4 pattes et comprends via les fessées qu’il veut que je m’allonge à terre. c’est ainsi que par 3 fois il me sodomise en répétant combien je suis salope, combien je lui appartiens et combien mon cul est bon.

Je lui répète que je lui appartiens et qu’il peut disposer de mon cul quand il le veut. Il en profite également pour me tirer ou non les cheveux selon s’il souhaite que j’ai la tête relevée, me mord les 2 épaules ou embrasse mon dos.

Autrement dit, toutes les pratiques qui augmentent mon plaisir et m’emmènent directement à l’orgasme.

Une fois satisfait, il s’allonge sur mon clic clac déplié (ces derniers temps, j’y ai passé beaucoup de temps. Il m’est même arrivé d’y dormir).

Je m’allonge à côté de lui. Nous faisons une courte pause avant qu’avec ses doigts, il joue avec mon intimité. Sans crier gare, il se met sur moi, s’empare de mes jambes pour les mettre autour de son cou.

Il me pénètre avec violence et l’expression « défoncer la chatte » prend tout son sens. Je pousse des gémissements auxquels je ne suis pas habituée. Il m’ordonne de les pousser plus fort. Toutefois, ce n’est pas évident car par moment, il me plie littéralement en 2, je manque alors d’air pour parler. Par moment, il m’ordonne de lui dire combien j’aime mon maître. Je le fais.

A un moment, il regarde mon mollet. Je comprends par la suite que c’est pour mieux le mordre. Vous n’imaginez pas le plaisir intense qui m’envahit à ce moment-là mélangé à la douleur de la morsure. Je comprends alors que je ne suis pas sensible juste en haut des cuisses ou sur mes fesses. Tout mon corps peut subir le même traitement, je ressentirais exactement la même chose.

Il ne faut surtout pas que je le dise ni à mon maître ni à Monsieur Yannick. Sinon, imaginez ce qu’ils voudraient me faire. (on va dire qu’ils ne liront pas, que vous ne leur direz pas et que c’est un secret même si je n’y cois pas beaucoup)

Il finit par relâcher ma jambe et continue ses va-et-vient dans ma chatte jusqu’à l’obtention de nos 2 orgasmes. Je dois dire que même si un gode (trop souvent utilisé ces derniers temps) me procure du plaisir, rien ne vaut un bon sexe dur.

Nous nous reposons tout en discutant de choses et d’autres avant qu’il ne reprenne le chemin de sa maison et moi celui de mon lit. Je comprends que nous nous sommes réconciliés et qu’il y aurait probablement d’autres séances.

La question que je me pose, pourrais-je dormir suffisamment pour être en forme pour Monsieur Yannick le lendemain ?

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2 commentaire

  1. voici encore un excellent billet. Te voilà donc comblée.

  2. Tout à fait. merci à toi

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