Après la douche, direction le jacuzzi. J’attends que Monsieur soit nu pour enlever mon paréo. Remarquant mon attitude, il me l’enlève. Je cache mes seins mais Monsieur refuse.
J’attends nue que Monsieur soit prêt. Je ne suis pas à l’aise mais je crois que je m’habitue. Mais si on me laissait le choix, je serais nue le moins possible.
Nous profitons du jacuzzi tranquillement. En parlant de tout et de rien. Nous y restons un petit moment avant de retourner au bar où j’ai droit à un deuxième cocktail.
J’aime bien ses moments où je suis dans ses bras et je me détends. Mais l’alcool faisait trop effet à mon goût. Je décide d’accompagner mon cocktail de 2 morceaux de pain.
Repus par la faim et la soif, Monsieur m’emmène de nouveau faire le tour des coins câlins. Nous nous arrêtons à une porte.
Un homme branle une femme tandis que le deuxième regard en se masturbant. Nous restons sur le pas de la porte. De temps à autre, Monsieur regarde ma réaction.
Je vois bien que j’intéresse l’homme qui se branle mais je reste sur cette intimité féminine qui est en train d’être branlée.
L’envie que de m’approcher et de la manger monte en moi mais je n’ose pas. J’ignore si j’y suis autorisée. De plus, le pourrais-je ? Arriverais-je à la combler ?
L’homme qui se branle, nous montre la banquette pour que nous nous y installons. Monsieur dit : « Je voudrais que Madame mange Madame. »
L’homme n’ayant pas bien entendu s’approche de nous, me met son sexe dans la main pour que je le branle le temps de la discussion.
« Elle peut. Qu’elle s’approche. »
Je dis non instantanément. Dans quoi, je me suis fourrée. Monsieur me pousse légèrement et je me laisse emporter par mes envies.
Je commence à la manger en essayant de reproduire ce que mes partenaires font dans ces moments-là. J’évite toutefois de la mordre comme Monsieur me fait. Je sens par moment une main sur ma tête me commandant de ne pas bouger. J’obéis à cette pression.
L’homme qui la branlait commence à me branler également et à me donner des petites tapes. Ce geste, Monsieur ne l’a pas apprécié car il n’a pas demandé l’autorisation. Pendant ce temps-là Monsieur me tient la nuque.
À part le plaisir qui montait en moins et que j’essayais de transmettre ce plaisir à ma partenaire de fortune, je faisais abstraction de tout le reste.
Je sus plus tard que pour ma branlette, Monsieur reprit le relais et m’emmena jusqu’à la jouissance.
Ne pouvant plus continuer, je me relève et laisse la place au premier homme. L’homme plus âgé nous demanda de laisser la place.
Monsieur me dirige alors dans un coin câlin. Il commence à m’installer sur le dos pour jouer avec mes seins et à me manger.
Il commence à me doigter au point que le plaisir monte. Et là, il s’arrête. Je suis presqu’à la supplication et lui demande de continuer. Il attend quelques isntants et je sens un plaisir décuplé qui m’envahit.
Il décide alors d’un 69. Nous avons un spectateur à la fenêtre mais je ne le sens pas. Je n’ose pas le regarder et évite de m’approcher de lui. Comprenant qu’il n’était pas le bienvenu, il nous regarde quelques instants avant de continuer son chemin.
Monsieur décide alors d’un câlin. J’ignore s’il l’a vu mais j’ai voulu pleurer à ce moment-là. Non pas à cause de la situation, du lieu mais parce que je lâchais prise de nouveau.
Heureusement, Monsieur reprit le parti de jouer et j’ai le temps de ravaler mes larmes et de me concentrer sur le plaisir en me mangeant de nouveau.
Bien sûr que le plaisir revient vite et les larmes sont vite oubliées. J’essaie de dire non sur le fait de me mettre à 4 pattes mais j’obéis sans problème jusqu’au point de me faire couler.
Nous nous remettons et décidons de retourner au bar avant de retourner au jacuzzi.
C’est à ce moment-là que je décide de négocier ma punition. Seulement, je vois bien et Monsieur me le dit que je risque d’empirer au lieu d’amoindrir. Je décide d’arrêter de négocier. Mais mon corps me donne d’autres signes.
Ayant fait des travaux les 2 derniers jours, la douleur aux cuisses revient. Nous sortons et allons au bar.
C’est là que je lui explique que je trouve tout cela étrange. Dans le sens où je prends du plaisir mais ne me sens pas à l’aise. Pour lui, je suis une libertine qui ne s’accepte pas. Lui aime rajouter « Pour l’instant. »
Est-ce que je me plais dans ce monde ? Est-ce de cela dont j’ai vraiment envie ? Moi qui ai envie de trouver l’amour, cela veut-il dire qu’il soit libertin lui aussi pour que je puisse m’épanouir ?
Beaucoup de questions pour mon cerveau fatigué. D’ailleurs, je demande à Monsieur de rentrer. Il souhaite faire un tour aux coins câlins. J’accepte sous condition de regarder uniquement. Peine perdue, personne.
Nous retournons au vestiaire avant de sortir et de rejoindre la voiture.
Blog de Lili Soumise
Blog de Lili Soumise – Une soumise BDSM raconte sa soumission
Superbe récit, merci à vous pour toutes ces jolies confidences.
De rien