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Il était une fois une soumise à qui lui a été donné le choix du sauna.

Elle décide d’aller à l’Eclipse, car elle sait que le mélange sera probable. Toutefois, le samedi, elle change d’avis. Après tout, Maître vient la chercher de bonne heure et se dit que manger au restaurant qu’il lui conseille depuis des lustres à côté du Moon pourrait être bien.

Seulement voilà, les aléas de la vie font que Maître vient la chercher un peu tard pour ce restaurant. Il reste à décider du lieu. Lili a très envie d’une queue au plus profond de son être et a peur que même s’il y a mélange à l’Eclipse une belle et bonne pénétration a peu de chance de se produire.

Direction le Moon. Dans la voiture, jupe relevée, haut rose dévoilant ses formes, son collier de chienne, Maître ne peut que jouer avec elle tout en conduisant et discutant de choses et d’autres. Comme des idées qui le traversent.

En vérité, il faudrait s’inquiéter le jour où il n’en aurait plus. Il en a toujours, des différentes, des variantes, s’inspirant également du journal de sa soumise, mais pas que.

Lili ne sait plus si elle souhaite les connaître ou non. Sa curiosité prend toujours le pas et il faut dire que la connaissant bien, son imagination la titille et certaines idées font leur chemin. Mais une fois qu’elle les connaît, elle appréhende surtout quand il lui parle de l’humilier et la soumettre face à un public averti.

Elle aurait bien du mal à le vivre, avec sa gêne et sa timidité. Beaucoup pense qu’elle ne l’est pas, mais nous le sommes tous à plusieurs niveaux. Et Lili l’est également.

Arrivés au Moon, elle croise une jeune femme. Il lui semble la connaître même avoir joué avec elle par le passé. Mais est-ce elle ? Elle n’en est pas sûre.

Peu importe, direction le vestiaire où une fois nue et après que Maître lui a retiré son collier, elle s’agenouille pour le délester de ses chaussures et chaussettes.

Elle embrasse les pieds comme en remerciement pour la traiter aussi bien même si ce sont les ordres et les règles. Quand il lui demande de continuer, elle les embrasse à nouveau alors qu’en réalité, il souhaite qu’elle lui enlève pantalon et caleçon.

C’est en écrivant que je réalise que je pourrais prendre l’initiative de l’enlever avec mes dents non avec mes mains. Mais je n’y ai absolument pas pensé sur le moment.

Maître l’ordonne de prendre en bouche son délicieux sexe pendant qu’il range le restant de ses affaires. Chose qu’elle adore et il faut dire que cela faisait un moment qu’elle n’avait pas eu le bonheur de l’avoir en bouche.

Après ce moment délicieux, il l’aide à se relever afin de boire un verre avant de rejoindre le délicieux jacuzzi.

Une femme se met à côté d’eux. Inutile de te faire languir cher lecteur, mais Maître commence à la caresser. Et ce qui devait arriver arriva. Elle embrasse Lili qui savoure les baisers de cette femme. Mais elle n’est pas tout à fait à l’aise.

Elle a envie de cette femme, elle a envie de jouer avec elle et depuis le temps que ce désir était en elle, ravie que cela se produise. Mais dans le même temps, elle ne se sent pas à l’aise, maladroite et pas sûre que ce soit le bon moment.

Lili explique qu’elle n’a que peu d’expériences avec des femmes, qu’il faudra la guider, la diriger afin qu’elle puisse se laisser ainsi.

Cette femme embrasse aussi Maître Yannick qui prend plaisir à la caresser. Il caresse également Lili. Bref, un jeu à trois se déroule. Lili, moi, m’aperçoit que la jeune femme du vestiaire nous regarde. Je sens son envie, celle d’être avec nous, de jouer. Mais n’étant pas sûre de son désir ni si c’était bien celle à laquelle je pensais, je ne fais rien et profite du moment.

Je m’en veux parce que je n’arrive pas à en profiter. J’ai parfaitement conscience de ce qui se passe, des envies communes, mais je n’y arrive pas. Alors, je fais ce que je sais faire dans ces moments : je suis passive.

Suite à un reproche d’une personne disant qu’il est interdit de se masturber, nous montons.

Cette femme m’embrasse et me caresse. Je prends sur moi pour en faire de même, mais je sens que quelque chose cloche en moi. Maître lui fait un cunnilingus et je la caresse ou l’embrasse comme elle le souhaite.

Une fois son plaisir obtenu, c’est Maître qui me lèche et elle qui m’embrasse et me caresse. Il ne fait pas comme à l’accoutumée. Il ne me frustre pas et me laisse aller rapidement aux plaisirs, aux jouissances.

Mais je sais que quelque chose dont il a envie, je ne pourrais pas : le fait que je la lèche.

Alors quand il en a fini avec moi, quand cette femme dit qu’elle est fatiguée et souhaite rentrer, cela m’arrange.

En descendant, en buvant un verre, je recroise un homme que je connais avec qui j’ai pu jouer seule, mais avec qui nous avons pu jouer avec Maître quand il était accompagné.

La jeune femme dont je ne sais toujours pas si c’est elle l’accompagne. En réalité, c’est bien elle. Mais elle est différente. On le saura plus tard, mais elle vit un évènement pour lequel elle est en état de choc. Elle est venue en sauna pour reprendre vie si je puis dire.

Si je passe les détails, quelques dizaines minutes plus tard, nous nous retrouvons tous les quatre au jacuzzi. Maître prend dans ses bras cette jeune femme et je finis dans les bras de cet homme. Des jeux commencent.

Mais voilà, ma fatigue me rattrape et je ne suis pas en état. J’ai envie de jouer, j’ai envie de prendre du plaisir, mais comme avec la femme, quelque chose cloche en moi. J’explique à cet homme que je suis fatiguée et que ses attentes ne pourront peut-être pas toutes être comblées. Il comprend.

J’ai très envie de monter et quelque part, jouer pour ensuite rentrer. Ce n’est pas génial, mais j’ai envie d’en finir. Alors, quand un homme par deux fois donne des coups de pied, je demande au groupe de monter.

Je le saurais plus tard, mais Maître a compris, car il en avait fait de même avec celle qu’il tenait dans ses bras. Maître fait son fameux cunnilingus à la jeune femme tandis que j’ai celui de mon partenaire.

Il a envie d’être sucé, mais je lui dis non. Incroyable, car j’adore cela et d’habitude, je ne demande que cela, mais ce soir, je ne suis pas dans les mêmes envies. Impossible de comprendre ce qui cloche en moi.

Elle décide de le sucer et je les regarde tous les trois. Et ce, avant qu’il revienne me prendre en levrette. C’est moi qui aie décidé de cette position. J’avais envie d’un peu de sauvagerie et il faut dire qu’en général, je sens bien les queues en moi ainsi, mais également leurs couilles qui tape contre mes fesses.

Une fois tous deux soulagés, il me prend dans ses bras et attendons sagement que l’autre couple termine. Il ne faut que quelques minutes.

Nous redescendons boire un dernier verre et tous les quatre décidons de rentrer. Nous reparlons de la soirée, de cette jeune femme, mais aussi de mes envies et du fait que je n’étais pas comme d’habitude.

Pour Maître, ce n’est pas grave, cela arrive et il faut suivre les moments. Ce soir-là, j’avais envie simplement de passivité. Et les partenaires avec lesquels on a pu jouer l’ont bien compris et cela ne semble pas les avoir gêné.

Après un dernier câlin en bas de chez moi, je rentre, me mets à nu et comme j’en ai pris l’habitude, passe la nuit avec mon collier. Comme un besoin de le sentir encore présent, comme soumise.

Même si j’ai bien conscience que ce soir-là, j’ai bien été plus femme que soumise. Une femme qui n’a pas su apprécier les moments comme elle aurait dû parce qu’elle avait envie de passivité. C’est un peu dommage et une part de moi s’en veut. Car un moment avec une femme est tellement rare et je n’ai pas su en profiter comme il se doit. Je n’ai pas su me laisser aller. J’ai subi en quelque sorte ce que les autres m’ont fait. Subi en y consentant bien entendu. Mais il vaut mieux être actif que passif, non ?

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