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Ce récit est purement fictif mais qui je suis sûre donnera des idées à Monsieur Yannick

Monsieur Yannick est au courant pour mon petit moral du mal et a eu vent de la culotte connectée achetée chez eveselache.fr.

Pour me changer les idées, il me propose de m’emmener au restaurant et si je le souhaite porter cette fameuse culotte.

J’ai besoin de prendre du plaisir. Je décide de porter une robe sans soutien-gorge et en mettant ce jouet vibrant.

Monsieur vient me chercher chez moi et me fait des câlins. Il me caresse et est satisfait de ma tenue. Il a un joli sourire satisfait quand je lui remets la télécommande.

Il s’assure que j’ai bien envie de jouer sur ce terrain pour savoir s’il peut vraiment jouer à ce jeu. Il ouvre la portière et me laisse m’installer en vérifiant que je soulève le bas de ma robe pour que ma culotte soit en contact direct avec le fauteuil.

Il s’installe à sa place et nous emmène à mon restaurant favori. Seulement, pendant le voyage, Monsieur me teste. Il caresse ma poitrine, écarte la culotte pour tâter le terrain. Il joue avec la télécommande et s’aperçoit très vite des rougeurs qui montent à mon visage accompagné des gémissements.

Il m’avoue qu’il adore et va avoir un malin plaisir de jouer avec moi. Comme si ce n’était pas déjà le cas sans un jouet télécommandé…

Arrivés au restaurant, nous nous installons, faisons nos choix. Il me donne l’ordre suivant, c’est moi qui passerais commande pour nous deux. Je sens déjà ce qu’il prépare.

Le serveur arrive et bien évidemment, ce dont je redoutais se confirme. Mon clitoris ressent de fortes vibrations. Je rougis et me demande comment je vais passer commande sans émettre le moins gémissement. J’essaie tant bien que mal tandis que Monsieur sourit connaissant la situation dans laquelle je me trouve.

Finalement, il vient à mon aide mais ne fait pas cesser les vibrations. J’essaie de m’agripper à ce que je peux sous la table car je sens un orgasme qui pointe le bout de son nez. Comment le serveur fait-il pour ne rien voir ? J’ai l’impression que c’est flagrant. A peine parti, Monsieur arrête le jouet et demande confirmation sur ce qu’il savait déjà : une jouissance.

Mais comme si cela allait suffire. En attendant que les boissons et les plats arrivent, il recommence. Il essaie de me faire parle et est plus que satisfait quand mon plaisir s’exprime entre deux paroles. Bien sûr, je ressens le plaisir, l’excitation et cela me plaît. Mais je suis mal à l’aise, tout le restaurant a du s’en rendre compte. D’autant que je ne peux le cacher que très difficilement.

Monsieur s’en amuse et n’arrête le jeu que lorsque le deuxième orgasme se soit manifesté.

Heureusement, il me laisse manger tranquillement mais recommence après la commande des desserts. Je démarre au quart de secondes. Je suis tellement accroc au plaisir que je n’ai pas envie que cela s’arrête mais dans le même temps, c’est horrible de devoir bloquer l’expression de ce dernier.

Monsieur finit par arrêter cette torture avant d’aller payer. Nous retournons à la voiture. Je pense innocemment qu’il me ramène mais m’aperçoit très vite qu’il fait un détour. Il m’explique que comme je réais bien au plaisir, qu’il fait beau et chaud et surtout jour, autant en profiter.

Il m’emmène dans ce fameux parc où il m’a déjà emmené plusieurs fois. Des voitures sont garées mais personne à l’horizon. Monsieur m’ordonne d’enlever ma culotte et de la laisser dans la voiture. Il sort des choses de son sac et j’appréhende quand je vois le collier attaché à la laisse.

Il m’explique qu’il est temps de réaliser mon fantasme. Il m’attache le collier autour de cou. Mais vous savez quoi, j’ai commis une erreur en choisissant ma robe. C’est une robe à boutons. Il les ouvre et dévoile ma poitrine abondante.

J’avoue que je ne suis pas à l’aise, j’essaie de me défiler mais il me menace de me punir si je continue. Après tout, il ne reste que quelques boutons pour que je sois nue…

J’obéis mais j’appréhende. Il me tient en laisse et j’essaie d’échapper à sa volonté mais il use de son autorité et vu que j’abuse, je mérite d’être punie.

Malheureusement, ma prière de ne rencontrer personne ne s’exauce pas. Nous croisons deux hommes qui allaient en sens inverse. Ils ne disent rien mais je vois bien que ma position leur plaît. Des sourires illuminent leurs visages. Ils continuent leurs chemins m’enlevant un poids. Du moins c’est ce que je croyais.

Monsieur nous éloigne du sentier principal. Il enlève les derniers boutons et pose à terre ma robe. Imaginez le spectacle, je suis nue, laissée et complètement à la merci de mon maître. Il me demande de m’appuyer à l’arbre.

Pour avoir trop discuté sa volonté, je dois à chaque coup de cravache dire « Merci Monsieur de me remettre à ma place ».

Le premier coup tombe et je le dis à petite voix. « Les coups ne compteront que si tu le dis haut et fort. »

Je prends sur moi et je le dis plus fort lors du deuxième coup. « Plus fort. »

Je fais des efforts mais j’avoue que les coups même si l’excitation est présente, me font mal. Mes fesses sont certainement rouges. Je le dis fort comme je peux. Monsieur est satisfait mais au lieu de s’arrêter m’en donne sept autres. « C’est pour que tu comprennes la leçon ma chienne. »

Il pose la cravache à terre et insère ses doigts en moi. Je ne peux que gémir. « Je sais que tu peux gémir plus fort, lâche-toi ou je te punis encore. »

Il veut que je me dépasse. Mais j’ai du mal à oublier le fait que je suis nue, en plaine forêt, laissée comme un animal à la merci de Monsieur.

Je fais de mon mieux pour lui obéir. Il me branle alors comme il sait le faire et me fait couler.

« Retourne toi et pends appui sur l’arbre derrière ».

J’obéis et je me rends compte que les deux hommes rencontrés plus tôt sont présents. Ils sont loin mais savourent le spectacle car je les vois en train de se branler. Je me sens gênée. J’ai envie de disparaître. Mais au lieu de cela, Monsieur me branle encore.

Sachant que je suis vu et que j’ai du mal à les voir se branler, je ferme les yeux et gémis en silence. Cette fois, Monsieur n’exige rien. Il se doute de ce qui se passe dans ma tête. Et pour la deuxième fois, je coule.

Monsieur me relève et me glisse à l’oreille : « Il ne tient qu’à toi de les faire venir. »

Entre les orgasmes au restaurant et cette situation dans la forêt, je refuse. Monsieur attrape alors ma robe et me la reboutonne. Cette fois, il reboutonne tous les boutons. Je conserve le collier et la laisse. c’est ainsi qu’il me ramène dans la voiture.

Je lui parle de mon appréhension. Du plaisir mêlé à cette gêne. Il m’explique qu’il n’y a rien de plus beau qu’une femme gémisse et que c’est naturel. je ne dois pas en avoir honte. Bien au contraire. Il m’explique que si cela ne me plaisait pas, cela n’arriverait pas.

Peu importe, j’ai envie de rentrer dans ce mélange d’émotions. Est-ce que cela m’a plu ? Oui en partie. Car la gêne est quand même bien présente.

Mais il faut dire que la soirée m’a fait du bien puisque cela m’a permis de me changer les idées et me sens beaucoup plus zen…

Lien pour acheter ladite culotte : cliquer pour l’acheter

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