2022 09 16 12h20 40

Pour ce jour, pour une fois, j’ai le droit de choisir ma tenue sous peine de punition publiée en public sur twitter.

J’ai plusieurs idées qui me viennent. Je finis par la choisir :

  • Je commence par une guêpière simple sans porte-jarretelle (c’est la première fois que je la mets depuis que je l’ai gagné)
  • La Robe en cuir gagné chez Eveselache.com
  • Mon collier qui indique clairement ma soumission acheté sur Amazon.com
  • Des jolis bas achetés chez lppdas.com
  • Des perles anales offerte par un twittos depuis le site espacelibido.com
  • Un œuf vibrant gagné lors d’un concours via Amazon.

Cela fait beaucoup de sites mais hormis pour les concours, mon fournisseur officiel est désormais lppdas.com.

Ainsi attifée, je me demande si je ne deviens pas carrément un jouet pour Monsieur.

Ce dernier me fait attendre tandis qu’il tweete ou réponds à des twitter. Je meurs d’envie de lui demander quand il arrive, mais je n’oublie pas ma place. J’ai bien trop peur d’avoir une punition causée par mon impatience.

Il finit par arriver, me regarde de haut en bas et approuve ma tenue. Pari gagné !

Il me caresse, apprécie le jouet anal même s’il ne sait pas encore lequel, insère ses doigts dans ma chatte et en apprécie l’humidité.

Il enlève ses chaussures, pose son sac et nous nous installons sur le canapé. Nous discutons quelques minutes avant qu’il ne m’embrasse donnant le coup d’envoi des jeux sexuels.

Il n’avait pas remarqué la télécommande, je me dois de lui donner et lui expliquer que j’ai également un œuf vibrant en moi.

Il l’allume et essaie les vitesses. Bien évidemment, je suis obligée de gémir face à ce qui se joue en moi. Il attrape également l’anneau des perles anales pour jouer avec.

Il attrape une partie de mon cou pour le mordre, essaie de se saisir de mes seins que j’avoue inaccessible via ma tenue.

Mais le pire n’est pas cela. Le pire, c’est lorsqu’il met une vitesse rapide de l’œuf me faisant grimper dans la jouissance avant de choisir une vitesse moins rapide. C’est une torture car je rigole. Mais ce rire, c’est un rire qui signifie que je déteste d’être ainsi frustrée, qu’il joue avec moi ainsi.

Lui adore et il ne se gêne pas pour me le dire d’ailleurs, mais cela ne l’empêche pas de jouer avec les perles anales pour continuer d’augmenter ce plaisir en moi.

Ai-je eu un ou des orgasmes ? Avec lui, je ne le sais plus. En mode vanille, je suis capable de le dire. Soumise à Monsieur, la jouissance a des puissances tellement différentes que j’ignore lorsque j’en ai ou pas. Car je ne me concentre pas sur cette question, mais uniquement sur le plaisir et la réalité de ce que je suis à ce moment : Un jouet.

Il continue de jouer, fait tout pour que ma jouissance monte jusqu’à atteindre son paroxysme. Lorsqu’il est satisfait et fier de lui, il finit alors par me libérer de ces jouets et nous nous réinstallons pour discuter.

La faim arrive peu après. Je ne vais pas m’étendre sur cette partie car rien de spécial. La parte qui intéresse mon lecteur est celle qui se passe lorsque Monsieur décide qu’il est temps d’aller se coucher.

Nous allons dans la chambre :

 » A poil Salope. « 

J’ai encore du mal avec ces termes même si je sais que de lui, ce n’est pas une insulte bien au contraire. Mais je crois que je m’y suis faite à la longue.

J’obéis mais je prends tout mon temps. Je ne me sens pas capable d’aller vite. Il y a des choses que je ne comprends pas comme le fait que malgré qu’il m’ait vu des milliers de fois nue, le fait qu’il me regarde me déshabiller me gêne horriblement. Je sais qu’autrefois, j’étais très pudique et que les passages à l’hôpital ont fait que je le suis moins ce jour. Mais est-ce vraiment cela ? Je l’ignore. Comme toute gêne que j’exprime, je souris ou rigole.

 » En mode présentation. »

J’obéis et il me parle encore de pince tétons alors qu’il le fait avec ses mains. Il me demande pourquoi je me suis séparée d’un jouet type satisfyer. Je lui explique que j’en ai un autre et n’aimant pas avoir de double qui prenne la poussière.

 » Et si on jouait avec le gode noir aussi.

– Je préfère le rose.

– Sors les deux.

– Je préviens le satisfyer ne doit pas avoir de batterie. »

Je sors les deux, lui donne et m’installe sur le lit allongée sur le dos. Il commence par le satisfyer. Est-ce que je peux utiliser le mot malheureusement ? Je l’ignore, mais le satisfyer avait encore de la batterie.

Monsieur me le mets en position et je sursaute et crie de surprise. Tant par le fait que je n’ai pas été prévenue du moment mais également par l’effet du jouet. Une vague de plaisir m’envahit instantanément. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps :

 » C’est insupportable. »

Je viens de percuter mon erreur et enchaîne par Monsieur. Trop tard, il me mord la cuisse. J’ai beau répliqué, il me dit trop tard et m’informe que certainement une séance pour que je ne l’oublie plus est nécessaire.

Il finit par me libérer de cet objet de torture. Mais le second arrive. Le gode noir. J’ignore pourquoi mais je pense que c’est sa texture, il a un côté désagréable mais le plaisir pris surtout entre les mains de Monsieur est intense que lorsque je me détends complètement, je ne sens plus le côté désagréable.

Il l’insère en moi et je ne tiens plus. Monsieur me reproche de bouger mais je suis incapable de me contrôler, je suis en lâcher prise et c’est mon corps et non plus mon esprit qui décide. Il fait des va-et-vient me faisant littéralement hurler. Il l’insère en moi et donne des coups sur le gode me faisant également hurler.

Je devrais pourtant être habituée à cette intensité de jouissance mais c’est tellement puissant que je ne suis pas sûre de la supporter. Et pourtant, je n’ai pas le choix, c’est lui qui décide. Je suis toujours à deux doigts de lui demander d’arrêter de stopper mais ne le fais jamais.

 » A quatre pattes. »

Et mince, déjà que la position me fait un effet de ouf mais en plus avec ce qui m’attends. Mais ai-je le choix ?

Je m’installe du mieux que je peux. Il réinsère cet horrible objet en moi me faisant de nouveau hurler. Il fait des va-et-vient, insère des doigts dans mon cul, il le laisse en moi et tape dessus. Bref, il joue tandis que moi je suis soumise au supplice de la jouissance ne pouvant que hurler pour extérioriser.

À un moment, il retire le gode et le met au bout de mon cul. Je ne le sens pas mais il ne va pas plus loin tant mieux. Mais c’est pour mieux me branler avec cet objet, qui, s’il le pouvait m’aurait sodomisé.

Une fois cette nouvelle jouissance passée, il me laisse m’écrouler, me reposer. Mais est-ce fini ? Je crois que jamais je n’arriverais à arrêter Monsieur.

Nous voilà parti pour un 69. Je grimpe sur lui. Prends en bouche son sexe ou ses couilles en fonction des ordres tandis que lui me branle aussi bien avec ses doigts qu’avec sa langue quand l’un et l’autre ne sont pas dans mon cul.

Au début, ma bouche arrive à suivre le rythme mais je dois dire que la puissance est telle que je n’ai plus rien en bouche, reste immobile juste la possibilité de hurler encore. C’est bizarre, j’ai encore de la voix.

Il continue, accélère, me pousse dans mes limites, me laisse lâcher un cernier hurlement avant enfin de me libérer et de décréter que le set est fini pour cette fois.

Nous nous allongeons l’un à côté de l’autre. Il a toujours un doigt sur mon clitoris et je dois dire que mon corps est ouvert, Il pourrait en profiter à tout moment. Mon corps lui appartient, enfin, c’est le sentiment que j’ai quand je le réalise.

Nous reparlons d’un moment qui nous a marqué tous deux. Lorsqu’il a joué avec une amie commune. Je l’avais mal vécu même si ma raison m’a toujours dit que ce n’est pas justifié. Après tout Monsieur est libertin, a une compagne et me doute que malgré les circonstances, il joue avec d’autres. Cette amie est libertine aussi. Et pourtant, j’ai ressenti cette nuit-là, une sorte (je dis sorte, car je n’arrive pas à trouver les mots adéquats), de jalousie ou de trahison. Je ne sais pas.

Il faut dire que même si je sais que je ne le devrais pas mais je la mets sur un pied d’estal, elle est très haute dans mon estime. L’un de ses défauts est qu’elle ne prend pas assez soin d’elle. Mais je suis impressionnée que malgré tout ce qu’elle doit gérer, elle est encore debout.

Peut-être me suis-je dit que vu qu’elle est une belle personne, je serais délaissée. Je ne sais pas trop. Je vois bien que Monsieur essaie de comprendre et me pose des questions. Mais je ne le comprends pas moi-même. Il me rassure en me disant que oui, il a d’autres opportunités, que d’autres personnes veulent se soumettre à lui mais que c’est moi qu’il a choisi. Et à moins d’un événement ou d’une décision, cela ne changera pas.

Bref, je ne sais qu’en penser. Mais comme cette discussion est devenue trop sérieuse, revenons au plaisir. Il me fait subir de nouveau un cunnilingus mais un petit sauf qu’il se retire bien vite et me mord. Il me mord aussi bien mon bas-ventre, mes cuisses, ma chatte. Sans que je comprenne pourquoi, un orgasme se pointe.

Il arrive bien vite, mais il tombe bien, car mort de soif, Monsieur va boire. Moi, je suis trop fatiguée et m’installe pour dormir. Ce qui n’e m’empêche pas d’aller dans les bras de Monsieur quand il revient.

Je ne suis plus habituée à dormir avec quelqu’un, il y a toujours un moment où je me décolle de la personne sans quoi j’ai bien du mal à dormir. Mais dans la nuit, je reviens toujours me coller auprès de la personne.

Il me reprend dans ses bras, caresse mon corps me faisant demander s’il va se passer quelque chose. Pas de doute possible quand il rentre son pouce en moi pour me branler. Personne ne m’avait branlé comme lui auparavant et je dois dire que j’ignore comment il s’y prend mais les gémissements deviennent vite des cris. Il s’installe afin de me rappeler mon statut de soumise et me branle ainsi. Par moment, il remplace son pouce par plusieurs doigts en moi.

Il me chuchote : « J’adore ma chienne, ma soumise. »

Il aime me faire jouir, il aime me faire pousser dans cette puissance. Et pourtant, d’après lui, je peux aller plus loin et il tâche de franchir cette limite de plus en plus.

Il joue avec mon corps et je l’exprime avec ma bouche. Je finis par m’allonger sur le dos lui donnant accès à mon corps entier. il m’embrasse, il me mord tandis que ses doigts trifouillent comme ils savent si bien le faire ma chatte. Par moment, il a ses doigts en moi et tapote avec sa jambe. Me faisant monter encore plus dans la jouissance. Je ne me souviens plus de l’enchaînement exact, mais, imaginez que vous êtes en train de jouer avec le corps d’une femme qui voudrait bien se tortiller mais ne le peux pas. La seule chose qu’elle peut faire est de crier de plaisir.

Lors d’un ultime orgasme, je réalise que ma jambe se positionne sur ma chatte. Faisant comprendre que le jeu est fini. Nous réinstallons sur le côté.

Ma chatte et mon clitoris sont ultra sensible, je les sens et je crois que si j’avais eu droit à une jambe, je serais repartie. Au lieu de cela, nous nous levons pour boire avant de repartir nous coucher.

Le réveil de Monsieur sonne bien trop tôt. Et pourtant, nous nous collons l’un à l’autre. Je sens son envie de jouer :

« Tu ne dois pas aller prendre ta douche ?

– Pas avant de t’avoir fait jouir. J’adore faire jouir ma chienne. »

et le voilà reparti pour me branler pour la troisième fois en quelques heures. C’est vrai que dit ainsi, on pourrait croire que cela me déplaît. Et cela n’est pas vrai car j’aime le plaisir que cela procure, le lâcher prise, le fait qu’une autre personne me contrôle. Mais j’ai bien du mal me semble-t-il à supporter la puissance de la jouissance.

Mais cela ne l’arrête en rien, revoilà son pouce qui joue avec mon clitoris. Revoilà ses doigts qui bougent en moi une nouvelle fois me faisant de nouveau crier… Inutile de vous refaire un tableau je pense. Encore une fois, j’ignore si j’ai eu des orgasmes et combien mais il finit par s’arrêter après l’expression d’un plaisir une nouvelle fois intense.

Nous nous levons, nous préparons pour nos journées avant qu’il ne parte.

Ce qui est étrange, c’est que durant ces moments-là, durant ces plaisirs, je me sens plus vivante que jamais. J’ai l’impression qu’à côté de cela tous les autres moments sont ternes et fades. Il faut dire aussi que tout ce qui me ressource, me donne de l’énergie est devenu rare avec les circonstances.

Je n’arrête pas d’avoir des signes qu’il est grand temps que moi doit s’occuper de moi. Je sais que j’y mets des obstacles. Mais par moment, j’y arrive. Pas à pas, peut-être qu’un jour, ce ne sera plus un problème.

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