Lili Soumise sous les draps

Je suis prête, je suis allongée sur le lit, nue offerte à lui. Je n’attends qu’une chose : la pénétration.

Sans aucun doute, en chaleur comme je suis, il rentre seul sans aucun souci. Il prend quelques secondes à rester immobile ainsi en moi. Je l’aime en moi mais le temps se fait trop long, j’ai soif de sexe, de plaisir et de jouissance.

Il commence alors des mouvements tout doux. Je bouge mon bassin en conséquence. Il n’en faut pas plus pour des gémissements de plaisir se manifestent.

Les mouvements s’accélèrent, mon corps suit le rythme avec délice. Mes gémissements sont de plus en plus forts.

J’en veux encore, j’aimerais tant que ce moment s’éternise. Ce moment où n’existe que l’extase à tel point que rien n’existe hormis cette jouissance en moi, cette chaleur, ce plaisir.

Ce que je déteste, c’est lorsqu’en plein plaisir, au moment où je sens qu’un orgasme pointe le bout de son nez, stop. Plus rien. Il reste en moi immobile. Je déteste ce moment parce que je n’ai qu’une envie que cela continue pour enfin assouvir mes besoins et mes envies.

Mais dans le même temps, je sais une chose, c’est que lorsque les mouvements reprendront, le plaisir en sera décuplé. Reste à définir quand les allers retours reprendront.

Je me languis. Et bam, il rebouge en moi. En reprenant avec douceur pour me faire réagir. Cette fois, il y va avec sauvagerie à tel point que j’entends clac clac sur mon clitoris. Je le sens au plus profond de moi pour mon plus grand bien.

Mes gémissements se coupent tellement je prends mon pied. Je sais également que lorsque la respiration se coupe, cela signifie une chose : un orgasme. Il ne faut surtout pas qu’il s’arrête. Il faut qu’il continue, qu’il aille jusqu’au bout.

Je n’en peux à la fois plus mais en même temps le plaisir est intense que je voudrais qu’il ne s’arrête pas. Et là, l’explosion en moi se fait sentir.

L’ayant compris, il ralentit, s’arrête mais prend garde à rester en moi. Il bouge très lentement avec sensualité tandis que je reprends mes esprits.

Mais je n’ai pas envie de les reprendre. A croire qu’un seul orgasme ne me convient plus. Mon bassin se remet à bouger lentement. Pour éviter de me faire mal, il reprend les va-et-vient doucement, avec tendresse.

Mon corps remue en suivant de nouveau le rythme. C’est d’ailleurs lui qui donne le signal d’accélération. Cette fois-ci c’est lui qui suit le rythme de mon bas rein.

Nous y allons tous deux en communion. Mes gémissements reprennent. L’accélération se fait de nouveau sentir. La sauvagerie du sexe reprend sa pleine puissance.

Je ne l’avais jamais remarqué mais le deuxième orgasme arrive bien plus vite que le premier.

Il le sait alors il ralentit et reste en moi en attendant de savoir. Il finit alors par se retirer tandis que je reprends mes esprits.

Je me rends alors compte qu’un gode ventouse pouvait donner un sacré plaisir lorsque j’autorise ma main à jouer avec.

J’ai juste hésité à enregistrer la voix et l’envoyer à Monsieur. Je sais que ce cadeau lui aurait fait plaisir en attendant la prochaine séance. Tout comme à vous certainement.

En attendant, j’espère qu’il vous aura apporté autant de plaisir que j’en ai eu à l’écrire. Mais vous étiez-vous rendu compte que je parlais d’un gode et non d’un homme ?

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6 commentaire

  1. Bonjour Lili; alors là, chapeau, non, je n’ai pas vu venir le « piège ». Une belle « feinte ». Félicitations, belle écriture.
    Votre admirateur.

    1. La feinte était voulue. Si je vous ai eu, c’est que j’ai réussi. Merci

  2. je suis tombée des nues!!!

  3. Franchement Lili bravo vous m avez fait réagir et j ai videz sur moi on vous lisant merci

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