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Ce récit est purement fictif mais je sais que l’idée trotte dans la tête de Monsieur Yannick

Ce soir-là, Monsieur vient me récupérer après dîner, il a exigé une robe sans sous vêtements et un jouet contrôlé par télécommande ou par téléphone. Il a précisé que je devais avoir mon collier de chienne dans mon sac.

Quand il arrive, je descends. il me prend dans ses bras, m’embrasse, me caresse partout et est satisfait de mon obéissance. Avant d’ouvrir la portière, il me demande de sortir le collier de chienne. Je trouve cela étrange, il sait comme j’aime la discrétion, je lui tends.

il prend également mon sac et m’ouvre la portière. Il traîne à l’arrière et je me demande ce qu’il traficote. Il finit par s’installer et me dit :

 » Ce soir, je te sens prête. Mais si je te le dis, tu vas appréhender alors on va y aller en douceur. Je vais commencer par te mettre ton collier.

Je le laisse me mettre et vois qu’il y a accroché la laisse. Il me connaît bien. S’il agit ainsi, c’est qu’il m’emmène soit dans un lieu spécialisé dans le BDSM soit à l’extérieur. Je suis en train d’appréhender tandis qu’il tâte mon humidité et constate l’effet que cet accessoire a sur moi.

– La télécommande s’il te plaît.

J’avais opté pour un œuf vibrant et je lui donne. De mon côté, le trajet est mouvementé. Lui, je sais que cela l’amuse et lui plaît puisqu’il joue avec l’œuf, tire et relâche sur la laisse ou me caresse partout.

Je me demande où l’on va d’autant qu’il dévie la conversation à chaque fois que j’essaie d’en savoir plus. Mais je ne suis pas rassurée lorsque je le vois se garer dans une allée d’une maison isolée.

– Est-ce là Monsieur ?

– Tout à fait. Tu sais comme je suis gentil mais ce soir, je te veux particulièrement obéissante sinon tu auras de vraies punitions.

– Bien Monsieur. »

Je le laisse sortir et attends qu’il m’ouvre la portière. Il prend la laisse et c’est en tirant sur elle que non seulement il me fait sortir de la voiture mais en plus m’emmène à l’entrée de la maison.

Je suis tétanisée, je devine que Monsieur va m’offrir ce soir mais j’ai juste une envie, celle de m’enfuir mais non seulement Monsieur tient bien la laisse mais en plus où irais-je ?

Un bel homme nous ouvre et nous souhaite à tous deux le bonsoir.

 » Je vais vous demander d’enlever vos chaussures s’il vous plaît.

Nous obéissons et alors que je m’apprêtais à suivre notre hôte, Monsieur rajoute un ordre :

– Enlève ta robe salope.

Je le regarde éberluée. Certes, en club, je me suis mise à nue devant des gens mais là, la lumière est loin d’être tamisée. Voyant que je bloque, il se met derrière moi et défait ma fermeture éclair. Ainsi, je me retrouve nue bien plus rapidement que je ne l’aurais cru.

– Pour cette fois, je laisse couler mais n’oublie pas que tu me dois obéissance. »

Il tire sur la laisse et c’est ainsi que je rentre dans le salon. Notre hôte est debout près du bar et me regarde de haut en bas.

« Très jolie. Je vous en prie, installez-vous tous les deux. J’espère que ce coussin lui ira ?

je vois effectivement un coussin installé à terre et je comprends que celui-là m’est destiné. Monsieur m’y emmène naturellement et me fait asseoir. Et ainsi commence mon humiliation. Notre hôte, julien, nous sers à tous deux à boire. Il y avait des gâteaux apéritifs. J’ai le droit de me servir sans ordre. Toutefois, ces deux messieurs discutent comme si une femme en laisse n’était pas assise sur un coussin entre eux.

Sans compter que Monsieur a donné la télécommande de l’œuf à julien. Par moment, il baladait également un fouet sur mon corps. je réagis instantanément à tout mais j’ai du mal à lâcher prise. Monsieur exige que je boive un deuxième verre qui, je l’avoue, me permet de me libérer un peu plus.

Mais je suis humiliée au plus au point et j’avoue que j’ai peur de la suite. Monsieur semble ravi de la soirée. Julien, qui semble être un ami a l’air pressé de jouer avec moi :

« Elle trop bonne ta chienne. je peux jouer avec elle ?

– Elle est là pour cela. Tu veux commencer en levrette sur le tapis.

– Bonne idée. »

Ni l’un ni l’autre ne me demande avis, je n’ose rien dire et suis la laisse qui me traîne sur le tapis. Julien se retrouve rapidement nu et vient derrière moi. il tâte mon humidité.

« Aime-t-elle les fessées ?

– Tu n’as pas idée mais vas-y mollo. »

Je reçois un premier coup de fouet sur ma fesse droite. Je crie aïe mais en même temps, un certain plaisir monte en moi. Il continue en alternant mes fesses. De temps en temps, il s’arrête pour vérifier que cela me faisait l’effet escompter. d’autant qu’il en a profité pour allumer l’œuf accentuant ma jouissance.

J’ai pris le réflexe de fermer les yeux mais Monsieur exige que je le regarde. j’avoue que j’ai du mal. Je les baisse ou regarde ailleurs mais vu que son regard est insistant, je suis obligé de croiser le sien.

Julien vient alors devant moi :

 » A genoux. »

J’obéis. Et je sais ce qui m’attend. J’ouvre la bouche et j’avale son sexe. je fais des va-et-vient doucement mais j’avoue que les vibrations dans mon bas rein m’oblige à accélérer et à suivre le mouvement.

« Mes couilles, chienne. »

De nouveau, j’obéis. Je suis dans un état d’excitation qui demande à être comblé. Alors à ce moment précis, peu importe qui m’en donne. Je lèche ses couilles avant de les prendre en bouche. je fais comme Monsieur m’a appris.

« Dans la chambre et je voudrais qu’elle se déplace à quatre pattes, c’est possible ?

– Elle adore cela. Ce n’est pas un problème.

C’est ainsi que Julien avec à ses côtés Monsieur me tire sur la laisse les suivant à quatre pattes.

– Elle est drôlement obéissante ta chienne. j’adore.

– Et encore tu n’as rien vu. »

Nous allons dans la chambre. Monsieur me fait monter à 4 pattes sur le lit et je me rends compte qu’aux 4 coins, il y a des attaches.

« Sur le dos chienne. »

J’obéis encore une fois et les laisse m’attacher les mains et les pieds. Julien vient à mon entrejambe tandis que Monsieur toujours habillé reste sur le côté tenant la laisse me faisant toujours sentir que je suis une chienne à la disposition de son ami.

Julien retire l’œuf avant d’y insérer à la fois ses doigts et sa langue. Je réagis instantanément. Mais Monsieur finit par intervenir :

– Je vais te montrer comment elle peut monter en puissance. »

Il se penche sur mon corps et commence à me mordre tandis que Julien continue ses coups de langue. Quant à moi, je gémis mais j’essaie de me débattre face à une telle puissance qui monte en moi. Sentant que je ne tiens plus, ils s’arrêtent tous deux.

– J’adore son goût. je comprends mieux pourquoi tu l’adores.

– Mais elle peut aller plus loin mais elle a du mal à accepter. »

Julien et Monsieur reprennent de plus belle. Julien avec ses coups de langue. Monsieur, caressant, mangeant mes seins quand il ne me mord pas. Je ne tiens plus. Je voudrais me libérer alors que je ne peux que gémir et exprimer ce que je subis.

Julien s’arrête et libère mes pieds. Il demande à Monsieur de libérer mes bras :

– Je veux la prendre en levrette.

Je me mets en position. Monsieur s’installe devant moi. Je sais qu’il veut croiser mon regard. Je gémis dès que je sens le sexe de Julien rentrer en moi. Il commence des petits va-et vient avant d’accélérer et de stopper.

– Elle adore les changements de rythme.

– Je vois cela. Mais je ne vais pas tenir longtemps. elle est trop bonne.

Julien reprend les va-et-vient.

– Je peux couler en elle ?

– dans sa bouche. »

Julien se retire et je m’installe sans ordre devant lui avant de reprendre en bouche son sexe et de laisser couler son sperme en moi. J’attends la dernière goutte.

Julien exprime sa propre jouissance. Il se retire et j’attends la suite. Monsieur décide :

– Nous allons rentrer. A moins que tu veuilles encore jouer ?

– Pour cette fois-ci, cela ira merci. J’ai adoré. »

Monsieur me ramène en laisse dans l’entrée. C’est lui qui me remet la robe. Nous remettons les chaussures et quittons cette demeure.

 » Ne me dis pas que cela ne t’a pas plu ma soumise

– C’est bizarre. je me suis sentie hyper gênée et ensuite j’ai laissé le plaisir m’envahir. Mais ton regard pendant ma jouissance, je ne pouvais pas.

– Et pourtant, tu es magnifique.

– Puis-je enlever le collier Monsieur ?

– Non, car tu m’as trop donné envie. »

Monsieur s’arrête sur un bas côté à proximité d’une forêt. il m’emmène en laisse non loin de la voiture. Vu l’heure, peu de chance de rencontrer des voyeurs.

Il me met à genoux, fais glisser son pantalon :

« Enlève mon caleçon avec tes dents.

J’obéis.

Et je prends en bouche son sexe. il est différent de celui de Julien et j’avoue que j’ai une préférence pour celui de mon maître. De temps en temps, quand il me l’ordonne, je m’occupe de ses couilles. Je mange alors de nouveau sa bpite avec délice et le laisse couler en moi.

Quand nous revenons à la voiture, il ouvre la portière arrière. Je m’y installe à quatre pattes. Je remarque qu’une serviette est posée.

« Ne retiens pas tes cris ma soumise sinon je te punis. »

Difficile pour moi puisque d’instinct, je retiens mes gémissements en lieux public. Il insère ses doigts en moi comme il sait si bien le faire.

« Dehors et appuies toi contre la voiture »

Je sors, je pose mes mains sur sa voiture et il recommence à jouer avec mon intimité et je sens le moment fatidique, celui où je coule.

 » Je te laisse souffler mais on va recommencer. Et regarde à droite. »

Je tourne la tête et me rend compte qu’une voiture s’est arrêtée à côté de la nôtre et un homme appuyé sur elle nous regarde. Je me sens rougir et préfère oublier ce témoin involontaire.

Monsieur reprend de plus belle. J’essaie de me retenir, de refouler l’envie qui pointe le bout de son nez mais Monsieur connaît trop bien mon corps et je suis obligée une nouvelle fois de couler.

Monsieur retire ses doigts, les lèche et me dit :

« Je ne pouvais pas te laisser sans que tu aies couler. Mais il est temps de rentrer. »

Monsieur me ramène chez moi et ce n’est qu’à ce moment là qu’il me libère de mon collier comme pour dire que son emprise sur moi est terminée pour ce soir.

J’avoue qu’épuisée de plaisir, je ne tarde pas à m’endormir même si mes pensées revivent en accéléré cette soirée surprenante.

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