Récit Fictif – A la rencontre d’un Maître et de son esclave

collier

Ce récit est purement fictif et a été soumis pour approbations aux personnes auxquelles j’ai pensé en l’écrivant.

Comme Monsieur a pris l’habitude, il ne m’a rien dit sur le programme. Il a juste demandé à ce que je porte la tenue où le soutif s’ouvre et la culotte est fendue qu’il apprécie avec des jarretelles et ma robe boutonnée par-dessus. Bien évidemment, mon collier de chienne à mon cou.

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Lorsqu’il arrive devant chez moi, je suis en train de l’attendre dans la rue. Il sort, m’embrasse, me prend dans ses bras et me caresse pour vérifier que j’ai bien obéi. Il ouvre la portière mais prend le parti de déboutonner le haut de ma robe ainsi que le soutif. Il me demande de sortir le collier tandis qu’il va à la place conducteur. Il me le met et c’est ainsi que nous partons pour notre destination. Je dois avouer qu’être ainsi ne me mets pas à l’aise car je peux être vu aux yeux de tous mais je sais également que Monsieur ne me fera prendre aucun risque et comme plusieurs me l’ont dit, seuls ceux qui tourneront la tête verront. Et même si on ne peut le vérifier, seuls peu de ceux rencontrés l’auront remarqué.

Toutefois, je me demande quelle sera ma destination. Peut-être aurais-je droit à la fameuse promenade en forêt.

Et pourtant, Monsieur me dit que nous allons à un endroit mais qu’il ne se passera rien. Bon sûrement après mais que nous 2.

Je ne comprends pas mais préfère me relaxer, ne pas poser de question. D’autant que Monsieur joue avec mes seins ou mon entrejambe tel qu’il le peut et même faire profiter quelques camionneurs du spectacle donné.

Monsieur se gare dans un endroit pavillonnaire. Va-t-il me prêter à quelqu’un ? Bizarre vu qu’il a dit qu’il ne se passerait rien.

Il accroche la laisse à mon cou et me rhabille quand même en refermant le soutien-gorge et en reboutonnant un tant soit peu ma robe. C’est ainsi que nous faisons quelques pas avant de sonner à une maison.

Personne dans la rue, personne ne peut nous voir.

Une femme, plutôt magnifique, en lingerie sexy : un beau soutien-gorge rouge avec son string et un porte-jarretelles et des jarretelles de la même couleur nous ouvre. Elle porte un collier plus discret que le mien.

« Soyez les bienvenus chez Esclave Clea et son maitre. »

Nous rentrons. Monsieur me libère de mon collier mais m’ordonne d’enlever ma robe qu’il met dans son sac. Oh la la, je me retrouve à mon tour en lingerie.

Cléa nous emmène dans le salon où nous sommes accueillis par son maître. Il nous dirige vers la petite table où des gâteaux apéritifs faits maisons nous attendant. Maître indique deux coussins à terre pour son esclave et pour moi. Quant à eux, ils s’installent sur le canapé, habillés, comme si de rien n’était. J’avoue que ma timidité reprend le dessus, je ne me sens pas à l’aise, pas à ma place. Même si c’est vrai que j’avais émis le désir de découvrir ce couple mais aussi d’être traitée ainsi.

Nos maîtres démarrent une discussion, Cléa à son aise, habituée sûrement à sa place, intervient. Je me laisse envahir par la discussion. mais j’avoue qu’une fois avoir bu quelques gorgées de l’apéritif servi par le maître de maison m’a aidé à me détendre.

Ce qui est surprenant, c’est que nous parlons de tout et de rien. Le BDSM en fait partie mais n’est pas le seul sujet. Même si être sur un coussin me rappelle constamment ma place. L’apéritif est plutôt agréable et joyeux.

Finalement, Cléa se lève et commence à débarrasser la table.

Suite à une réflexion de mon maître, je comprends que je me dois d’agir comme elle. Je prends des verres et suit Cléa dans la cuisine :

 » Monsieur Yannick ne t’a rien dit ?

– Non. Pas du tout.

– Tu vas devoir faire le service avec moi. Ne pas t’asseoir à table tant que tu n’as pas l’ordre et ne pas commencer à manger tant que tu n’en as pas l’ordre. Tu veux bien aller chercher le restant s’il te plaît, le temps que je remplisse le lave-vaisselle. »

Ainsi étaient mes ordres de ce soir. Je retourne dans le salon et récupère ce qui reste sur la petite table pour l’emmener dans la cuisine.

J’aide Cléa à finir de remplir le lave-vaisselle tandis que nous parlons comme si nous étions deux femmes ordinaires. Elle sort des assiettes où se trouvent une entrée composée d’un ensemble de rillettes et de pâtés. Elle prend deux assiettes, je prends les deux autres.

Je comprends rapidement qu’elle sert nos maîtres. Je pose nos assiettes aux deux places restantes. Cléa reste debout derrière une chaise et attend. Je fais de même.

Mais c’est bizarre, nos maîtres discutent comme si nous n’étions pas là. Je comprends au regard et au sourire de Monsieur Yannick que c’est une situation qu’il apprécie particulièrement et qu’il compte en profiter.

Au bout de quelques minutes, le maître de maison nous autorise à nous asseoir. J’allais me saisir du pain mais un raclement de gorge de Cléa me fait rappeler une règle. Je ne dois pas commencer à manger sans ordre.

Encore une fois, nous attendons tandis que nos maîtres entament leurs assiettes comme si nous n’avions pas faim. Je sens le regard de Monsieur sur moi et me doute qu’il se réjouit de cette situation. Peut-être se demande-t-il si j’arriverais à respecter les règles de ce soir.

Nous obtenons enfin l’autorisation au bout de quelques minutes.

Je comprends que je suis complètement rabaissée et soumise puisque j’ai droit au même traitement que l’esclave de la maison. Cela ne m’empêche pas de savourer le repas et de participer à la conversation.

Une fois l’entrée avalée, le maître de maison indique que je peux rester avec Monsieur Yannick tandis qu’il débarrasse avec son esclave.

Monsieur Yannick m’ordonne de venir à lui et en profite pour y glisser des doigts dans mon intimité. « Je savais que tu adorerais cette position, tu es mouillée. Mais je te rassure, rien ne se passera avec eux. Pas ce soir. Retourne à ta place. »

J’obéis juste avant que nos hôtes reviennent avec un roti et des pommes de terre sautées. c’est Cléa qui nous sert tour à tour. Cette fois, je n’oublie pas. j’attends l’ordre avant d’entamer mon assiette. Heureusement, il ne tarde pas car au vu des odeurs, je n’ai qu’une envie : déguster ce mets.

La conversation bat son plein et même si je ne suis pas tout à fait à mon aise, je me sens mieux. Surtout que le repas est succulent. j’aide Cléa à débarrasser les assiettes et à remplir une nouvelle fois le lave-vaisselle.

Elle m’explique qu’ils n’ont pas eu le temps de s’occuper des desserts et qu’ils ont acheté quatre pâtisseries à la boulangerie. Je l’accompagne à la salle à manger, Je reste debout derrière ma chaise tandis qu’elle les distribue.

Le maître de maison note ma rapidité d’apprentissage dans le sens où j’ai appris très vite les règles de la maison. J’attends comme Cléa l’ordre avant de pouvoir nous asseoir. Cette fois, nous avons le droit de manger de suite.

Une fois nos pâtisseries dévorées, notre hôte nous invite à revenir, nous les esclaves sur nos coussins, et eux les maîtres à s’installer sur le canapé. Nous discutons de choses et d’autres mais j’avoue que je me sens fatiguée. nous avons pris notre temps pour dîner et je pense que beaucoup de temps s’est passé. D’autant que cette soumission me prend beaucoup d’énergie. Je fais attention à mes paroles et à ma place de peur de manquer de respect à nos hôtes. Je pense que cela joue beaucoup sur mon état de fatigue.

Je laisse la conversation filée mais au bout d’un moment, je fais comprendre que j’aimerais rentrer. Monsieur Yannick s’excuse auprès de nos hôtes qui nous accompagnent alors à l’entrée.

Il accroche la laisse à mon collier et demande à nos hôtes : « Personne dans les rues à cette heure.

– Non.

– Ma soumise, tu vas rester ainsi. »

C’est donc en lingerie, laissée que nous retournons, heureusement à quelques pas de la voiture.

Toutefois, il m’installe en levrette à l’arrière et me branle. Je dois avouer qu’il n’attend guère longtemps avant que je ne me mette à couler. Mais comme à son habitude, il laisse ses doigts en moi et j’avoue que je suis demandeuse, je bouge mon corps et il recommence une nouvelle fois. J’adore cette sensation même si elle me fatigue énormément. c’est un plaisir indescriptible qui m’envahit à chaque fois mêlé à de la honte. Sans compter que je suis en petite tenue avec un collier et une laisse…

Il m’aide alors à sortir de la voiture et en pleine rue, comme si de rien n’était m’aide à enfiler ma robe. Cette fois, elle reste boutonnée.

Nous débriefons et sommes ravis de cette rencontre même si elle a été très particulière. Nous attendrons de voir ce que ce couple en pense mais s’ils sont partants, je pense que nous les reverrons. Restera à définir les conditions…

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4 commentaire

  1. J’ai beaucoup aimé ce récit fictif chère Lilli et je me demande comment ont réagi les éventuels futurs partenaires à sa lecture. Une réalisation est-elle envisageable et envisagée? Belle journée

    1. Bonjour, non rien n’est envisagé

  2. Bonjour, j’espère que vous avez apprécié cette rencontre et j’ai hâte de découvrir la suite 😘😘😘

    1. Comme dit ce récit est fictif. Donc la rencontre n’à jamais eu lieu et il n’y a pas de suite

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