Ce récit est purement fictif. C’est la chute de température qui me fait penser à un lieu bien douillet, bien chaud en étant accompagnée bien évidemment de Maître Yannick
Je suis aux anges. Pour la première fois depuis que je connais Maître Yannick, nous allons passer tout un week-end ensemble. Il viendra me chercher le samedi matin vers les 9 h et me ramènera en milieu d’après midi le dimanche. Il m’a indiqué que j’aurais besoin de repos avant de reprendre le travail le lundi matin.
Toutefois, une appréhension comme à chaque nouveauté pointe le bout de son nez. En effet, pour l’aller, je devais porter un impair en étant nue en dessous ainsi que mon collier de chienne caché par un foulard.
De même que ma valise était légère : un gilet à boutons ‘(au cas où j’aurais froid), une robe avec mon collant bas jarretelle, une nuisette sexy et une tenue correcte sans sous-vêtements pour le retour. À cela, je devais ajouter : le gode noir, le Wand chargé avec son chargeur et l’œuf télécommande.
Mais ce qui me fait le plus appréhender, le coussin et ma gamelle. Je serais sûrement chienne à un moment donné. Ce n’est pas pour me déplaire, mais ne l’ayant jamais vraiment été jusque-là, je me demande si cela me plaira et surtout arrivera à satisfaire Maître.
Cela signifiait que j’allais passer le week-end en étant peu habillée. Je me doute que Maître s’amusera avec mon plaisir. Mais comment ? D’innombrables scénarios immergent mon imagination même si j’ignore le lieu de notre destination.
Plus le temps de réfléchir, le téléphone bipe. Maître est en bas de chez moi. Je me saisis de ma valise, de mon sac à mains et me voilà le rejoindre. Maître ouvre le coffre et me débarrasse de mes affaires avant de m’embrasser et de me prendre dans ses bras. Il pince mes tétons et me donne une tape sur les fesses et constate avec ravissement que je lui ai obéi.
Il ouvre la portière et me dit : « En route. »
Nous nous installons dans la voiture. Je parle pour ne rien dire ce qui est révélateur de mon appréhension. Maître me connaît très bien, mais me laisse faire pendant quelques kilomètres et m’ordonne :
« Ouvres ton impair et enlève ton foulard. Tu restes ainsi jusqu’à ce que j’en décide autrement.
– Bien maître.
– Je t’explique les règles pour ce week-end. Quand on va arriver, tu vas appréhender et vouloir me poser des questions. Mais je t’ordonne de m’en poser aucune. Tu auras les réponses quand je le déciderai.
Ce qui n’arrange rien à mon appréhension. D’habitude, il me répond ou anticipe les questions justement pour que je sois à l’aise.
– Ne t’inquiète pas ma chienne. Tout ira bien. Je suis là et je veillerai sur toi et rien ne se fera si je ne le sens pas. De plus, je me souviens que le mot de sécurité est « Tartempion ». Mais il faudrait que tu m’en donnes un autre.
Ouh là, il me parle de mot de sécurité et il lui en faut un autre… Dans quoi je me suis embarquée.
– Pourquoi tu me parles de mot de sécurité et pourquoi en faut-il un autre Maître ?
– C’est juste que nous allons passer un week-end et que je veux qu’il te soit agréable. Le mot, il me le faut pour stopper une pratique que tu n’apprécierais vraiment pas, car j’aimerais essayer des choses avec toi, ma chienne.
– Bien, disons Shiva.
– Va pour Shiva. Maintenant les règles. Tu dois retenir trois mots : chienne, bonne et Lili. Quand je dis chienne, comme tu t’en doutes, tu devras te comporter en tant que tel : de suite, te mettre à quatre pattes, aller dans ton coussin, boire dans ta gamelle et même aboyer pour t’exprimer.
– Bien Maître. Je réponds même si j’appréhende énormément.
– Quand je dirai bonne, tu pourras te lever et marcher debout. Tu seras juste à mon service. Tu devras baisser les yeux et ne pas me regarder en face et à chaque fois que tu auras ce statut, tu devras me vouvoyer et me dire : « Que puis je faire pour vous, Maître. »
Silence. Je réfléchis et l’appréhension monte de nouveau d’un cran.
– Bien Maître. Je finis par répondre.
– Quand je dis Lili. Tu redeviens ma soumise. Tu peux me tutoyer, me regarder dans les yeux, mais bien évidemment m’obéir.
– Bien Maître.
– Bien évidemment, si tu oublies une règle ou que tu ne fais pas ce que je t’ordonne, tu auras une punition. Et je précise que pour tout, tu devras me demander l’autorisation.
– Bien Maître. D’ailleurs, où allons-nous ? »
J’essaie de changer de sujet, car je ne me sens pas bien. Je devrais alterner entre trois statuts ce week-end et je me dis que cela ne sera pas simple. Même si j’en ai fantasmé, Est-ce que j’y prendrais autant de plaisir que dans mon imagination ?
Maître en profite pour jouer avec mes seins ou mon intimité qui lui sont complètement offerts. Il m’indique que nous allons dans un chalet en bois en Normandie. Nous y serons isolés et pourrons même envisager cette fameuse balade en forêt tant désirée par nous deux.
Maître essaie de me détendre et de me distraire, mais je ne cesse de penser aux trois statuts et à ce qu’il pourrait me faire subir en fonction.
À un moment, Maître prend une petite route avant de se garer devant une petite maison. Il m’ordonne : reste là. Il sort et va toquer. Au bout de quelques minutes, un couple se présente. Ils échangent quelques mots. Maître remonte en voiture.
Je n’ose rien dire.
« J’ai loué ce chalet à ce couple, ils vont nous y conduire et nous le faire visiter. »
Très bien. Le couple monte dans la voiture et comme annoncé, nous les suivons. Il ne faut guère plus de 10 minutes pour nous rendre à ce qui serait notre lieu de résidence pour le week-end.
Quand Maître se gare, il m’informe :
« Je te rappelle que tu ne dois pas fermer ton impair tant que je ne te le dis pas, ma chienne.
– Bien Maître. »
Le couple sort de la voiture. Maître sort également et je réalise l’ordre qu’il vient de me dire. Je vais être nue devant des inconnus avec mon collier de chienne. Il m’ouvre la portière et y attache ma laisse. Me connaissant, il me dit :
« Ne t’inquiète pas, ils sont au courant. Ils ne seront pas choqués et je veux que tu t’habitues à être humiliée en public.
– Bien Maître. »
J’appréhende quand même. Comment vont-ils me regarder ? que vont-ils penser ?
Le couple nous voit arriver et nous regarde avec un grand sourire. Ils ne me dévisagent pas, ne semblent pas remarquer ma nudité ni ma condition.
« Bonjour
– Bonjour, je réponds timidement.
– Nous vous faisons visiter ?
– Avec plaisir, réponds mon Maître. »
C’est ainsi que nous rentrons dans le chalet. Je me détends quelque peu, car à ma grande surprise, ils me parlent comme si tout était normal et cela me va bien.
Nous sommes dans un salon tel que je l’imagine pour un tel lieu : un feu dans la cheminée, des tapis à tout va, un canapé qui paraît confortable. Une petite télévision dans un coin.
« Pour le feu, mettez une bûche toutes les deux heures. Pour la nuit, mettez- en 5. Cela devrait suffire. »
Il nous emmène dans une pièce où se trouve la cuisine avec une grande table à manger.
« Le coin repas. »
Maître s’approche et moi avec vu qu’il me tient en laisse et regarde les plaques de cuisson. Il ouvre le réfrigérateur.
« Les courses ont été faites selon ta commande. Réponds la femme
– Je vois cela. Merci. »
Je percute, elle l’a tutoyé. Elle le connaît ? Je les regarde autrement et maintenant, je m’aperçois que j’ai l’impression de les avoir déjà vus. Mais où ?
Ils nous montrent les toilettes du bas. En haut, se trouvent deux chambres douillettes avec une petite salle de bains.
Nous redescendons et ils finissent par partir. Je dois dire que j’ai eu l’impression que la visite a duré une éternité, surtout que j’ai eu plusieurs fois eu le réflexe de vouloir fermer mon impair, mais m’en empêchant en me souvenant que je dois offrir non seulement ma nudité, mais mon statut de chienne à ces inconnus.
Maître me regarde et me dit :
« Je suis fier de toi. Tu as laissé ton impair ouvert. Restes là. »
Maître repart à la voiture, ouvre le coffre et s’empare de mon coussin. Il revient à moi, enlève mon impair et se saisit de ma laisse et me dit :
« Chienne. »
Je mets quelques secondes à percuter avant de me mettre à quatre pattes. Il me promène ainsi jusqu’à devant le feu de cheminée où il pose mon coussin.
« Couche panier. »
Je m’y installe. Il m’enlève la laisse, pose mon impair sur un prote manteau et repart. Je me réinstalle pour être à l’aise dans le coussin, mais la tête tournée vers la porte. Maître vide juste le coffre de la voiture et installe nos affaires.
Seulement, une envie pressante se fait sentir au moment où Maître se met debout devant moi. Il me regarde avec un grand sourire.
« Maître…
– Tu es chienne, je te rappelle. Tu veux être punie ?
Au début, je ne saisis pas. Puis, je me souviens.
– Ouaf. Je fais timidement.
– Je n’ai rien entendu.
– Ouaf. J’aboie plus fortement.
– Je t’écoute.
– Est-ce que je peux aller aux toilettes Maître ?
– Est-ce urgent ou tu peux attendre quelques minutes ?
Je me demande pourquoi il me demande cela :
– Quelques minutes, mais pas trop longtemps Maître.
– Lili.
Je me lève et sors de mon panier. Il me remet la laisse, me redonne mon impair. Nous sortons.
– Où allons-nous Maître ?
– Mais soulager ma chienne. Au fait, c’est bien pipi que tu as besoin de faire ?
– Oui Maître. »
Et je comprends où il veut en venir. Maître me parle de choses et d’autres pour que j’évite de penser, mais moi, je vois ce qui va arriver et j’appréhende même si j’en ai fantasmé.
Nous faisons un peu de marche pour nous éloigner du chalet. Quand Maître juge l’endroit correct, il m’ordonne :
« Chienne.
Je me remets à quatre pattes. Il prend soin à ce que ma laisse soit sur mon dos et levée vers lui.
Je le vois qui prépare son téléphone et m’ordonne :
« Vas-y ma chienne en écartant bien les cuisses. »
Effectivement, je n’avais pas assez écarté les cuisses. Je le fais. Au début, rien ne se passe. Je me sens bloquée, mais mon ventre me tiraille tellement que je finis par me laisser aller, mais je n’ose regarder mon Maître, qui, je le sais, m’a certainement prise en photo, voire filmée.
Il se rapproche de moi et me dit :
« Fini ?
– Oui Maître.
Il me donne une grosse tape sur les fesses. Depuis quand une chienne sait parler. As-tu fini ?
– Ouaf.
– Je préfère. »
Il approche un mouchoir et m’essuie.
« Lili »
Je me remets debout. Il me promène en laisse et me rends compte qu’il ne me ramène pas du tout au chalet.
« Une bonne promenade fait toujours du bien à une chienne.
– Oui Maître.
– Pose les mains sur cet arbre.
Je n’avais pas vu, mais il a pris un sac. Il en sort une corde. Il m’attache les mains à l’arbre :
– Essaie de bouger.
J’obéis et me rends compte que c’était comme si mes mains étaient collées à l’arbre.
– J’adore te voir ainsi ma chienne. »
Je ne vois pas ce qui se passe puisqu’il prend garde à être derrière moi. Je sens un objet sur moi et je sursaute :
« J’adore tes réactions ma chienne.
– J’appréhende.
– Je sais, mais regarde quand je mets mes doigts en toi, tu es plus qu’humide.
Il accompagne sa parole d’un geste et effectivement, je suis trempée.
Il alterne entre les coups et les caresses du fouet. J’avoue que j’y prends un plaisir même si je ne sais jamais auquel des deux m’attendre.
Je sens alors quelque chose me pénétrer. Ce ne sont pas ses doigts et je mets du temps avant de comprendre que c’est le gode noir.
Je gémis au début en les camouflant :
– Je veux que tu te laisses aller sinon je te laisse ici toute l’après midi à la disposition de qui voudra.
Je lui obéis même si je retiens quelque peu malgré moi.
Il le retire et insère ses doigts en moi. Au vu de la manière, je sais ce qu’il attend de moi : me faire couler. Il y arrive sans problème au bout de quelques secondes. En général, il enchaîne deux ou trois fois, mais là, il se retire et je le sens s’éloigner.
Il se rapproche de moi, vient à ma hauteur et me dit :
« Un voyeur est là depuis un moment. Il aimerait te pénétrer. Tu ne verras pas qui c’est. Et j’aimerais beaucoup qu’il te prenne devant moi. Je sais que cela fait partie de tes fantasmes, mais je veux ton consentement.
Je réfléchis. Je suis attachée à un arbre, semi nue, avec un collier et mon Maître veut que je sois possédée par un autre. Mais je ne le verrai pas.
– Je veux bien que tu m’offres à lui Maître. »
Il s’éloigne de nouveau et j’entends effectivement les pas d’une autre personne.
« Allez-y, je vous offre ma chienne. »
Maître se met sur le côté et tire sur la laisse pour bien me faire comprendre ma condition. Je sens alors des doigts qui sont en moi.
« Elle est prête. Allez-y. »
J’entends un pantalon qui se dégrafe et un sexe qui rentre en moi. Je gémis immédiatement. Au commencement, cet étranger y va doucement et je l’accompagne. Mais je souhaite une accélération.
Ses mains se posent sur mes seins et il joue avec. Maître que je vois en train de me filmer ou prendre une photo dit :
« Si vous voulez accélérer, elle ne demande que cela. C’est une vraie chienne qui ne demande que cela. »
Il ne lui a fallu pas dire deux fois. Il accélère et Maître s’approche de moi et triture mes tétons pour faire augmenter mon plaisir.
L’ultime jouissance arrive des deux côtés. L’étranger se retire, se rhabille et nous dit à tous deux
« Merci à vous deux. »
Il s’éloigne. Une fois garant qu’il est bien parti. Maître me détache, range la corde dans son sac et me ramène cette fois au chalet. Nous discutons de ce qui vient de se passer et surtout de ma surprise, du plaisir et de la jouissance que j’ai pris. Il m’explique que je suis une libertine et qui plus est, adore être offerte.
Arrivés au chalet, je reçois l’ordre auquel je m’attendais :
« Chienne ».
Je me remets à quatre pattes. Il me libère de ma laisse et m’ordonne :
« Couche panier. »
J’obéis et je sens son regard sur moi avant qu’il file à la cuisine. Il est temps de préparer le déjeuner.
Cliquez ici pour lire la suite
Blog de Lili Soumise
Blog de Lili Soumise – Une soumise BDSM raconte sa soumission
Quelle lecture excitante !
Je suis un peu déçu de ne pas avoir eu le temps de le lire au moment de sa sortie, mais au moins je vais pouvoir tout lire d’un coup !
Merci pour tes délicieux récits Lili !
Bonjour,
En effet, vois pouvez lire sans avoir à attendre la suite.