2022 09 25 09h30 05

Ce récit est purement fictif. C’est la chute de température qui me fait penser à un lieu bien douillet, bien chaud en étant accompagnée bien évidemment de Maître Yannick

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Je suis dans mon coussin au coin du feu et j’avoue que j’ai toujours adoré la chaleur d’une cheminée.
Maître prépare notre déjeuner. J’en profite pour réfléchir à ma condition et à tout ce qui s’est passé ce matin. Maître m’a ouvertement présenté comme sa chienne à des inconnus. J’ai pissé comme une chienne, l’animal après une petite balade en forêt. Et ensuite, Maître s’est amusé avec moi après m’avoir attachéé à un arbre tout en me laissant à la disposition d’un inconnu.

J’ai toutefois accès à mon téléphone même si je suis interdite de réseaux sociaux. Aucun message, aucun appel, mais je prends note des éléments importants pour pouvoir le raconter sur mon blog.

Loin dans mes pensées, j’ai cru entendre un sifflement. Je tends l’oreille, mais rien. Avant d’en entendre de nouveau un. Je sors de mon coussin et c’est à quatre pattes que je me dirige vers la cuisine. La porte étant restée ouverte.

« Ma chienne, je ne devrais pas à te siffler deux fois ! Viens frotter ta tête contre ma jambe. »

Je m’approche de lui et lui obéis. J’imite mon chat quand elle frotte sa tête contre moi. Mais j’avoue que je me sens quand même humiliée. Surtout qu’il me caresse la tête en m’informant :

« Très bonne chienne. Bien dressée. Mais il est temps que tu deviennes Bonne. »

Il me faut quelques secondes pour me souvenir des ordres. Je m’éloigne de mon Maître. Je me relève. Je baisse les yeux et dis :

« Je suis à votre service Maître.

– J’ai sorti tout ce qu’il fallait, mets la table. Les assiettes l’une en face de l’autre.

– Bien Maître. »

Je m’empare des assiettes, des couverts et des serviettes en tissu ainsi que des verres. Je sens son regard sur moi. Il ne me faut guère de temps pour tout installer.

« Mets-toi au coin. »

Je regarde dans sa direction et je m’y dirige.

Maître continue sa cuisine comme si je n’étais pas là, voire même un objet. J’ignore comment je dois le prendre. Il a fait des œufs durs en entrée avec tomates et mayonnaise. J’avoue que j’adore celle-ci. Il est vrai qu’il m’avait demandé la liste. Il sert les assiettes et s’assied.

Je n’ose bouger. Après tout, il m’a bien précisé le matin que je ne devais rien faire sans son autorisation. Il commence à manger et je me demande s’il m’a oublié. Dois-je montrer ma présence. Il mange rapidement son entrée tandis que mon ventre gargouille. Mine de rien, être humiliée et rabaissée donne faim.

« A mes pieds chienne. »

Je me remets à quatre pattes et vient à ses pieds. Je m’assieds sur mes genoux et attends.

« Ouvre la bouche. »

Il a coupé un œuf en deux et me le met dans la bouche. Il continue ainsi jusqu’à ce que j’aie mangé tous les œufs.

« Très bonne chienne. As-tu soif ?

– Ouaf.

– Vas boire dans ta gamelle et ensuite, tu peux devenir Lili. »

Je regarde autour de moi et m’aperçois qu’il l’a mise de l’autre côté à ses pieds. Je dois lui montrer ma croupe pour boire. J’essaie tant bien que mal de laper tandis que Maître juge de mon humidité :

« Cela ne te déplait pas d’être mon animal de compagnie. »

Une fois rassasiée, je m’installe à table et mange les tomates. De là, une vraie discussion naît. Nous parlons de toute l’expérience et j’avoue que cela me plaît même si je ne sais qu’en penser.

Le four sonne :

« Prends les gants, mets la quiche sur la table. Tu la couperas en quatre et tu nous serviras. Puis, tu attendras que je t’autorise à t’asseoir et à manger. Bien sûr, tout cela en tant que Bonne. »

J’alterne entre les trois rôles et je dois dire que j’ai bien du mal à suivre. Je me lève, m’empare des gants de cuisine, sors la quiche et la pose à table. Je me mets à côté de Maître pour la découper qui en profite pour me donner une fessée. Je fais comme si de rien n’était. Après tout, je suis à sa disposition.

Je pose une part dans son assiette et une autre dans la mienne. Puis, j’attends à côté de lui. Comme pour l’entrée, Maître commence à manger comme si je n’étais pas là.

« Assieds-toi Lili. Mange tant que c’est chaud. »

J’obéis et nous mangeons tout en parlant de tout et de rien.

Pour le dessert, nous avons droit à des yaourts et bien évidemment, j’ai dû débarrasser les assiettes avant de les servir en tant que bonne.

Ce n’est qu’après le dessert que Maître m’ordonne :

« La vaisselle est pour toi boniche.

– Bien Maître.

– Quand tu auras terminé, tu te mettras au coin.

– Bien Maître. »

Je me mets à la vaisselle tandis que Maître me regarde. Il m’indique que je dois laisser la vaisselle sécher. Mais cela ne l’empêche en rien de jouer avec mes tétons, de caresser mes seins ou mes fesses, voire à leur donner des tapes.

Quand il voit que je termine, il quitte la cuisine et s’en va dans le salon. Je lui obéis pourtant et me mets dans le coin comme il me l’a ordonné. Le problème quand on n’a pas de repère de temps, c’est que j’ignore le temps qu’il passe. Il a pu se passer 5 minutes comme 30 minutes jusqu’à ce que j’entende un sifflement.

Je me mets à quatre pattes et vais à ses pieds. Je vois que le coussin est justement en dessous de ses pieds.

« Installe-toi, tu vas me servir de repose-pied. »

J’obéis et je sens ses jambes se poser sur mon dos. Maître allume la télévision, mets BFM TV et nous la regardons en étant ainsi.

« J’adore t’avoir à mes pieds. J’adore jouer avec tes trois statuts. Et je sais que cela te plaît aussi. Tu as mérité une récompense. Vas chercher ta laisse. Je l’ai posé sur la table près de l’entrée.

Il retire ses jambes et je vais à l’entrée. Pas le choix, je prends la laisse entre mes dents et lui amène. Il me l’attache. Allez Lili, allons essayer le lit.

C’est ainsi qu’il m’emmène en haut et joue avec moi. Maître joue avec mon corps entre cunnilingus, morsures, jeux avec mes tétons. Il joue même avec le Wand et le gode Noir. Mais à chaque fois que je suis au bord de la jouissance, il s’arrête :

« Supplie-moi.

– Maître, je t’en prie, laisse-moi jouir. »

Bien évidemment, il me demande de le faire 3 fois avant qu’il me laisse aller à mon extase.

Il me prend dans ses bras et nous nous endormons. Ce repos nous fait du bien. Et c’est une sonnerie qui nous réveille. Par instinct, je me lève :

« Qui t’a ordonné de te lever ?

– Pardon Maître. Est-ce que je peux aller aux toilettes ?

– Tu peux ma chienne. Quand tu auras fini, rentres dans la douche !

– Bien Maître. »

Je lui obéis en ayant l’impression d’être conne à attendre ainsi dans la douche. Maître amène son accessoire de toilettes. Il m’enlève le collier et vient me rejoindre. C’est à ce moment-là que je ressens le poids du collier et le fait de me sentir légère sans puisqu’il représente ma condition.

Nous fermons le rideau de douche et je le laisse me laver. Quand c’est à son tour, je suis à genoux à terre en attendant qu’il ait fini. Mais comme vous vous doutez, il me donne à dévorer son sexe. Et je le savoure avec grand délice. Mais au moment de l’éjaculation, il se retire :

« Ne bouge pas. »

Il éjacule sur mon visage. J’avoue que je n’aime guère cela même si c’est humiliant au possible. Il prend ensuite la poire pour me laver.

Nous sortons de la douche et c’est lui qui m’essuie. Il me laisse nue et me remet mon collier. Je me sens de nouveau humiliée.

C’est en tant que Lili que je redescends et nous décidons, lui, de boire un café, moi, une tisane et de manger des gâteaux. Bien évidemment, j’ai fait le service en tant que bonne.

Maître m’informe qu’il va préparer le repas de ce soir, car la cuisson est longue. Il m’ordonne d’aller dans mon coussin, mais j’ai le droit de regarder la télévision. Il s’affaire et c’est vrai que cela dure bien une ou deux heures. Je le vois même poser des gâteaux apéritifs sur la petite table, mais je vois aussi une balle. Celle que l’on utilise avec les animaux. Me sera-t-elle destinée ? Quand je vois quatre verres, je comprends que nous ne serons pas seuls ce soir. Qu’a-t-il de prévu ?

Il revient au salon, s’installe et me dit :

« Ce soir, tu devras être chienne tout le temps que je te le dirais. Tu dîneras dans le salon, car tu penses bien qu’une chienne ne peut être à table avec son Maître et ses invités. N’oublie pas que ne se passera que les choses comme je le ressens. Mais si cela va trop loin ou si tu n’es pas à l’aise, tu donnes le mot que tu m’as donné ce matin. Maintenant, je veux reposer mes pieds. »

Je m’allonge de manière que Maître puisse poser ses pieds sur moi. Nous regardons la télévision, mais j’avoue que je ne cesse de réfléchir. Mais étant chienne, je ne peux qu’aboyer. Même si je souhaite parler. Et pour quoi dire ? Après tout, je n’ai pas le droit de poser des questions.

Jouant avec moi, Maître me parle de différents scénarios en me disant que cela n’est pas pour ce jour. Donc impossible de savoir ce qu’il a en tête.

Dans tous les cas, une bonne odeur se dégage de la cuisine. Mais voilà, nos invités toquent à la porte…

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