Maître Yannick me sors ce soir au Moon. Me voulant chaude, il m’a fait porter mon rosebud taille 3 une partie de la journée. Et j’avoue que je ne suis pas indifférente à ses effets.
Mon imagination, comme à son habitude tourne à plein régime. Ce qui a pour conséquence, des textos plutôt chauds avec des désirs et envies à Maître, qui, lui, me répond en général qu’il aime me savoir dans cet état.
J’ai même fait une publication sur les réseaux en ce sens. J’avais même demander à un couple de venir nous rejoindre. Chose qui n’a pas eu lieu. Mais j’y suis habituée, tout le monde veut me voir et s’amuser avec moi. Mais quand on passe au réel, il n’y a plus personne.
Bref, il m’envoie enfin un texto m’annonçant son arrivée. Ni une ni deux, j’enlève le rosebud et le rince. J’enfile le lush, mets mon collier et mes chaussures. Je m’empare de mon sac et descends rapidement. Je ne veux jamais le faire attendre. Il n’a jamais indiqué que cela pouvait être un motif de punition. Mais sait-on jamais.
Une fois descendue, je le rejoins. nous nous embrassons discrètement car nous sommes épiés. Ce qui m’énerve un peu car j’aime qu’il me prenne dans ses bras mais impossible.
Alors, il m’ouvre la portière afin de m’y installer en prenant soin de relever ma jupe. Il referme, fait le tour de la voiture avant de prendre place au volant.
Il prend soin d’allumer l’application gérant le lush et nous voilà partis.
Nous essayons d’avoir une conversation. Je dis bien essayer car par moment, les effets du Lush me fait partir dans les plaisirs ce qui implique que je n’écoute plus vraiment mon Maître même si j’essaie de me concentrer.
Lui, comme à son habitude, s’amuse de la situation. Il sait quand je ne suis plus vraiment là et que je prends du plaisir. il me veut chaude avant d’arriver au Moon.
Je sais qu’il attend à ce que je puisse être capable d’aborder un homme afin d’obtenir jouissance et satisfaction devant lui.
Une fois garés, une chose rigolote se produit. A peine, je descends de la voiture que le Lush glisse. Je serre mes jambes afin qu’il ne tombe pas et explique la situation à Maître. C’est ainsi que dans une rue bondée, il met sa main sous ma jupe pour récupérer le Lush et comprends les raisons qui font que je n’ai pas pu le garder en moi.
Je le range dans mon sac et prenons la direction du Moon.
Au vestiaire, nous rencontrons un couple. Il est rare que simplement en voyant une ou des personnes, je me dise : « Pourquoi pas. » D’autant que la conversation avec eux leur fait comprendre que je suis soumise et ils ne semblent pas indifférents.
Le problème, c’est qu’ils partent…
Je suis nue la première et me voilà, à genoux, à devoir déchausser Maître et à embrasser ses pieds. Il m’ordonne de lui enlever pantalon et caleçon. Je prends alors en bouche son sexe pendant qu’il range ses affaires dans le casier.
Nous descendons au bar. Il voit une femme qu’il connaît et commence à discuter avec elle. J’admire la facilité qu’il a d’assumer son côté Maître puisque haut et fort, il me présente à elle comme étant sa soumise. Un homme qui l’accompagnait nous rejoint. Instantanément, je le reconnais. C’est celui qui m’avait abordé la dernière fois que je suis venue et à qui j’ai mis un vent.
Je le salue sympathiquement. Je m’attendais à ce qu’il lance une conversation mais rien. Bon, ben mon bon ami, ce n’est pas ainsi que tu vas m’attirer dans les filets. Même si Maître a tout fait pour que je ne sois pas exclue, je le ressens ainsi vu qu’elle fait tout pour m’ignorer et ne pas me laisser la moindre place pour parler.
Mon côté femme revient vite au galop. Qui c’est elle ? Comment ils se connaissent ? Va-t-il vouloir qu’on joue tous les trois alors qu’elle m’exclut volontairement ? On ne peut pas aller au jacuzzi ?
Eh oui, on ne se refait pas. Mais bien évidemment, je garde tout cela pour moi et j’observe pour savoir. Une grosse pointe de jalousie et d’inquiétude monte quand elle demande à être pris dans ses bras. Chose qu’il accepte.
Mais bon, c’est le signal de départ pour le jacuzzi. Elle lui dit quand même à tout à l’heure. Euh non, je n’ai pas envie de te croiser. C’est presque animal mais quelque chose cloche chez elle. Non pas le fait qu’elle connaisse Maître et qu’ils ont déjà joué ensemble. Mais je ne la sens pas.
Nous avons déjà croisé des femmes avec qui il a pu jouer et je m’étais même dit une fois pourquoi pas. Mais elle non. Y a un truc qui ne va pas.
Bref, on s’en fout, je suis là pour me détendre et que Maître profite de moi. je me mets dans ses bras et nous parlons un peu d’elle et de l’homme. Je lui explique le comment du pourquoi car il a bien senti que je me suis mise sur la réserve.
Et nous changeons de sujet. Ce qui donne un prétexte à Maître pour me faire monter lentement mais sûrement dans le plaisir en jouant avec mes tétons, ma chatte et mon anus.
Mon imagination tourbillonne et je me dis que ce serait bien qu’une bonne queue me satisfasse et me donne jouissance. Mais nous verrons.
Quand il me sent bien chaude, nous montons à l’étage et nous nous enfermons pour qu’il puisse pratiquer son fameux cunnilingus. Je lâche prise, je m’abandonne et savoure le plaisir et le temps qu’il m’accorde.
Il me fait mettre en levrette et j’ai cru qu’il allait ouvrir la porte et laisser un homme me prendre ainsi. Il n’en est rien. Il pénètre mes deux trous avec ses doigts pour obtenir orgasmes, jouissances et plaisirs jusqu’à ce que je le supplie de stopper.
Alors, dit ainsi, vous avez compris que c’était un bon moment. Mais ce que je n’ai pas dit, c’est que pendant tous ces moments, les hommes n’ont pas cessé de toquer à la porte, de vouloir l’ouvrir ou d’ouvrir la fenêtre.
Je dois avouer que rester concentrée sur mon plaisir n’a pas été chose aisée. Maître avait penser effectivement à ce que je sois prise par un homme mais au vu de leur attitude, il a préféré renoncer.
C’est à tel point que j’ai écrit au Moon afin de demander de mettre un panneau « Lorsqu’une porte ou une fenêtre est fermée, merci de ne pas essayer de l’ouvrir. » L’ont-ils fait ? Il faudra que j’y retourne pour le savoir.
Mais en attendant, cela m’a coupé l’envie d’y aller même avec Maître. Ce qui est con car s’ils n’avaient pas toqué à la porte ou essayer de l’ouvrir, je suis sûre que l’un voire deux d’entre eux auraient pu profiter et s’amuser avec moi.
Avec une telle attitude, c’est le contraire qui se passe.
Direction le bar où je prends un petit dessert et nous discutons de choses et d’autres. Et ce, avant de retourner au jacuzzi.
Je me laisse complètement aller et Maître me laisse somnoler. Il me laisse profiter et me détendre. Je finis quand même par me réveiller et il recommence à jouer avec mes tétons.
Il m’annonce alors qu’il souhaite que je me frotte contre son genoux dans la salle commune avec mon collier. Je refuse le collier parce que je ne le sens pas. Les hommes présents risquent de se méprendre face à un tel accessoire aussi visible et compréhensible.
Bon, je dois dire que l’idée de me frotter contre son genou dans la salle commune me tente moyennement. Mais je suis sa soumise et je dois obéir à sa volonté.
Nous remontons et voyons les hommes qui attendent. Vous savez les fameux tickets que l’on prend dans les administrations en attendant notre tour. C’est le même sentiment que j’ai dans ce lieu dit libertin.
Arrivés à la salle commune, Maître renonce et j’en suis ravie. Il ne renonce pas par manque d’envie mais parce que nous risquons d’être simplement emmerdés par ces morts de faim espérant qu’ils puissent chacun me prendre en suivant leurs envies à eux mais ni la mienne ni celle de Maître.
C’est ainsi que nous rentrons simplement. Une fois arrivés, nous nous disons au revoir avec un câlin et un bisou. Je monte me coucher nue avec mon collier un peu déçue car il y avait des possibilités mais ces morts de faim ont tout fait ratés.
Je crois que l’on va abandonner le Moon pendant quelques temps et voir si la situation change ou non.