Un Week-end au chalet – Le dimanche (Partie 5 – Fin)

2022 09 25 09h30 05

Ce récit est purement fictif. C’est la chute de température qui me fait penser à un lieu bien douillet, bien chaud en étant accompagnée bien évidemment de Maître Yannick

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Étant réveillée avant mon Maître et après une longue hésitation, je m’accroupis offrant ma croupe à Maître et mettant ma bouche au niveau de son sexe. Je m’en empare d’une main avant de l’avaler.

J’y vais doucement :

« Hmm. J’adore que ma chienne me réveille. »

Je continue et son sexe se durcit dans ma bouche. Des Mains caressent mes fesses et même les tapent avant que les doigts me pénètrent :

« N’oublie pas mes couilles. »

Je me mets alors à lécher ses couilles tout en gémissant. Finalement, il me met sur le dos, son pouce est en moi et je remue pour obtenir le plaisir tant attendu. Il me laisse faire en m’humiliant encore plus en disant que je suis sa chienne et qu’il est fier d’en avoir une comme moi. Il me laisse aller à plusieurs jouissances avant de se retirer.

Maître me laisse quelques minutes et s’assied sur le lit :

« Au pied. »

Je descends du lit et à quatre pattes, je vais vers lui. Je m’assieds sur les genoux. Il me remet le collier.

« J’adore ton regard quand je te le mets. Tu as le droit de descendre les escaliers en Lili et d’aller à la cuisine en tant que Lili. »

Nous descendons et échangeons de nouveau sur ce week-end. Cette expérience me perturbe. Arrivés à la cuisine :

« Assieds-toi, je m’occupe de tout. »

Je lui obéis et il pose brioche, confiture, tisane pour moi, café pour lui, des viennoiseries. Bref, un bon petit déjeuner. Nous le prenons tranquillement. Et j’avoue que c’est agréable de ne pas être pris par le temps et d’apprécier ce plaisir.

Une fois le petit déjeuner avalé, Maître m’ordonne :

« Allez la bonne, la vaisselle t’attend. »

Je me lève et vais vers l’évier. Les assiettes, couverts et verres de la veille attendent dans l’évier. En plus des contenants du plat. Maître rajoute la vaisselle du matin. Je m’y attelle, mais j’avoue que j’ai beaucoup de mal vu que Maître joue avec mes fesses, mes tétons, me mord le cou. Mais je n’ai le droit de rien dire, juste subir selon ses ordres.

Par manque de place, Maître prend un torchon et se charge l’essuyer avant de la ranger.

Lorsque je termine la vaisselle, une envie me prend. Mais je me souviens que je dois demander la permission de tout surtout que je suis bonne :

« Maître, j’aurais besoin d’aller aux toilettes. M’y autorisez vous ?

– C’est la petite ou grosse commission ?

– La petite commission. Maître.

– Alors va chercher ta laisse en chienne bien sûr. »

Je me mets à quatre pattes et vais à l’entrée, Maître m’a suivi. Je prends entre mes dents la laisse et lui tend.

« Debout Lili. »

Je me lève. Il y attache la laisse et m’enfile mon impair. Nous revoilà parti en balade. Je vois qu’il a repris son sac. Je m’attends donc à de nouveaux jeux. Je le laisse m’éloigner, mais mon ventre me tiraille.

« Maître, je ne peux plus attendre.

– Alors à quatre pattes ma chienne. »

Je lui obéis et comme la veille, je me mets en levrette, écarte les jambes. Cette fois pas d’hésitation, à peine en position, je me laisse aller.

« C’est bien ma chienne. J’adore quand tu te soulages ainsi. »

Il prend un mouchoir et m’essuie. Il m’aide ensuite à me relever et me promène ainsi encore quelques pas.

« Poses tes mains sur l’arbre et cambres toi. »

Je lui obéis. Je sens les lanières se poser sur mon corps avant qu’il me frappe avec sur les fesses, mon dos et même mes seins. Il pénètre ses doigts en moi de temps à autre :

« J’adore ton humidité ma chienne. »

Il sort un jouet du sac et à la vibration, je comprends que c’est le Wand. Comme il aime jouer avec, il le balade sur mes lèvres, sur mon clitoris et même sur mon anus. D’ailleurs, il le laisse longtemps sur mon anus. Je sens ma jouissance anale poindre.

« Je crois que c’est le moment ma chienne.

– Quel moment Maître ?

– Mets-toi en levrette.

Il retire le wand et me laisse me mettre en position. Il insère des doigts dans mon intimité avant de les mettre dans mon anus. Et là, je sens quelque chose de plus gros qui pénètre mon anus. Il reste au bord, mais suffisamment pour qu’il puisse rentrer.

« Allez, fais rentrer mon sexe en toi. »

Je remue afin que je sois sodomisé et que son sexe soit au plus profond de moi. Je sens encore le fouet qui alterne entre caresse et frappe pour accentuer mon plaisir quand Maître ne tire pas sur la laisse pour me montrer ma condition. Par moment, il pose même le Wand vibrant sur ma chatte. Qoiqu’il fasse, je hurle de plaisir.

Il fait les va-et-vient et m’humilie au plus haut possible ainsi. Et ce, jusqu’à ce que cela devienne insupportable pour ma part :

« Retire-toi Maître s’il te plaît. »

Il obéit. Je me remets de ce qui vient de se passer, mais je ne bouge pas.

« Dommage qu’il n’y ait pas de voyeurs pour te finir. Alors je vais y aller au Wand. »

Il rallume le Wand et le pose sur mon clitoris. Je hurle de plaisir et laisse l’explosion s’exprimer.

Il le retire. Il s’essuie le sexe avec un mouchoir, se rhabille et me relève.

« Allons déjeuner et ensuite, nous rentrerons. C’est dommage, car j’aurais bien joué avec toi encore. »

Nous rentrons ainsi, mais c’est comme si je ressentais encore le wand et son sexe en moi.

« Tu sais où est ta place, chienne. »

Il avait redescendu le coussin au matin. Je m’y installe tandis que Maître prépare le déjeuner. Que dire si ce n’est que le déjeuner se passe comme le petit déjeuner. J’ai le droit d’être à table même de boire dans un verre avant que je sois ordonnée de faire la vaisselle. Maître pendant ce temps-là, s’occupe de faire le lit et de faire nos bagages. Il entreprend même de mettre les affaires dans le coffre.

Ayant fini et n’ayant pas eu d’ordres précis, j’ignore ce que je dois faire. Aller dans le coin ? Aller dans mon coussin ? Je choisis la deuxième option. Maître s’en aperçoit et me dit :

« J’adore te voir ainsi, mais il est temps d’y aller ma chienne. Redeviens Lili et mets ton impair. »

Je lui obéis. Et c’est ainsi qu’après m’avoir ouvert la portière de la voiture, je rentre. Je suis étonnée, car il sait que j’ai un impératif à notre retour et que j’aurais besoin d’être dans une tenue correcte. Je le lui signale et me dit :

« Depuis quand une chienne porte des vêtements. Et tu me connais ? Tu sais que j’ai déjà tout prévu.

– Bien Maître. »

C’est ainsi que nous faisons le chemin du retour. Mais à mi-chemin, Maître s’arrête au bord d’une forêt. Il prend son sac et quand il m’ouvre la portière, accroche de nouveau la laisse.

« Dommage que nous soyons pris par le temps, je t’aurais pris une nouvelle fois le cul. »

Il nous éloigne de la route.

« Il est temps que tu redeviennes une femme ma soumise. « 

Il enlève mon impair et après avoir cherché dans son sac, m’aide à enfiler ma robe :avant de me remettre mon collier.

« Le collier et la laisse, tu les enlèveras quand je te le dirais. En route. »

Nous remontons en voiture et terminons le chemin. Arrivant à proximité de chez moi, je peux enlever ces symboles de ma soumission.

Il m’aide à prendre mes affaires et à les remonter jusque dans mon appartement. Mais avant de partir, il me dit :

« Allez, encore une chose avant d’en finir. À genoux ma chienne.

J’obéis.

– Frotte ta tête contre mon entrejambe.

J’obéis et c’est vrai que rien de faire cela, j’aurais envie de lui enlever son pantalon et son caleçon pour le prendre en bouche.

‘C’est ainsi que je voulais qu’on se dise au revoir. Pour te rappeler ta condition. »

Il se baisse pour m’embrasser :

« Tu te relèveras la porte fermée. »

Il prend son sac qu’il avait pris avec lui et sort de chez moi. Une fois la porte fermée, Je me relève et reprends ma vie ordinaire et normale. Je me demande même si ce week-end a réellement eu lieu. Pas le temps d’y penser, j’ai une chose importante à faire.

Mais une chose est sûre, j’aurais bien envie de recommencer.

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2 commentaire

  1. Toutes les bonnes choses ont une fin Lili, même si ce n’est que dans votre imagination.
    Mais je ne crois pas que ce soit seulement dans votre tête.
    Il y a certainement une part de réalité dans tout ça, que ce soit le lieu, les circonstances ou les intervenants.
    Vous êtes très certainement gâtée par ce Maître qui n’a qu’une idée, votre bonheur et votre bien-être. Il sait prendre soin de vous, vous ménager quand c’est nécessaire et vous permettre d’exprimer tous vos fantasmes.
    Pour votre plaisir et le nôtre que vous partagez volontiers dans ces récits.

    1. Aucune des pratiques indiquées dans ce récit n’ont été actuellement réalisées. Yannick n’est pas mon maître pour rien. Si je l’ai choisi, c’est pour sa gentillesse, sa bienveillance et se protection. et bien évidemment pour qu’il me guide

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