kamasutra lesbien

Cet article est un pur Fantasme (à voir s’il se réalisera un jour).

Sur twitter, je me suis faite des copines. J’ai été touchée par l’une d’entre elle. Depuis un moment, j’avais très envie de la rencontrer. Toutefois, combiner nos emplois du temps et se mettre d’accord sur nos occupations ne fut pas une mince affaire.

Je sais qu’elle est bi et qu’elle aimerait beaucoup coquiner avec moi. Quant à moi, je ne l’ai fait qu’une fois avec une femme. Nous prévoyons donc plusieurs scénarios possibles.

C’est ainsi que je me retrouve à prendre le train pour me rendre près de chez elle. Ces heures furent longues pour mon cerveau. Est-ce qu’elle est comme je l’imagine ? Est-ce qu’elle est comme sur twitter ? Est-ce que nous allons nous entendre aussi bien ? Mais qu’est-ce que je fous dans ce train ?

Je suis dans le même état que lorsque je rencontre un homme pour la première fois.

Arrivé dans la ville, j’avais pris un hôtel près de la gare. Je m’y rends pour récupérer les clefs mais surtout pour y déposer mes affaires.

Nous sommes au milieu de l’après midi et ma copine vient me chercher en voiture. Je tremble, je frissonne en l’attendant. Pour elle, j’ai fait un effort. Je n’ai pas mis une tenue telle que Monsieur Yannick l’exige mais une jolie robe, des collants, quelques bijoux.

Comment va-t-elle me trouver ? Je pense que je la reconnais. Une voiture s’approche avec une femme avec un grand sourire. Oui, c’est elle.

Elle sort, me dit bonjour et faisons les présentations. Quand 2 timides se rencontrent, les débuts sont difficiles. Je monte dans sa voiture et elle m’emmène dans un petit pub pour aller boire un verre.

Au début, nous nous sortons des banalités et la gêne se fait sentir. Alors, nous commençons à parler de twitter et de nos vies, arrivées au pub, nous sommes légèrement décoincées.

Punaise, je lui parle quasiment tous les jours et j’ai du mal à être à l’aise. Même s’il n’est que la moitié de l’après midi, je choisis une petite bière. Elle me suit.

Nous continuons nos conversations et j’avoue qu’avec les bières, nous nous détendons et arrivons à retrouver notre complicité sur twitter. Je ne vois pas le temps passé quand elle me dit si j’ai faim.

J’avoue que oui, mais une petite faim. Pourquoi pas un restaurant mais léger. Cela tombe bien, elle avait prévu un petit restaurant qui fait dans le léger.

Mais au cours du repas, la question finit par arriver : comment continuons-nous la soirée ?

Plusieurs éventualités avaient été envisagées et je me suis réservée une surprise. Je ne lui ai rien dit car je voulais décider à la dernière minute.

Mine de rien, elle est séduisante, je sais que si je lui dis oui, nous coquinerons. Ma timidité, mes envies, le fait de profiter du moment présent se mélangent.

Et je vois bien qu’elle attend ma réponse. Elle ne souhaite pas me mettre de pression et s’adaptera en fonction de mon choix. Alors j’ose : « – Allons au sauna. »

Mais j’y avais mis mes conditions. Si l’éventualité se présentait, nous nous enfermerions uniquement toutes les 2. Elle pouvait demander à son libertin de nous rejoindre mais je verrais sur le moment de la suite.

Je vois à son sourire qu’elle en est heureuse. Je pense qu’elle n’osait pas me le dire mais c’est ce qu’elle voulait entendre.

Nous finissons de manger et j’envoie un texto discret.

Elle m’emmène alors dans un sauna dans lequel elle est habituée. Elle m’explique le fonctionnement. Je la sens qui me cherche, en me frôlant, en s’approchant de moi. Mais je n’arrive pas à franchir le pas. Quand un moment sans que je sache ni comment ni pourquoi, je suis en train de l’embrasser.

Après nous être déshabillée, nous allons à la douche et dans un endroit coquin se fermant à clef. Elle m’embrasse de nouveau. Je laisse alors mon corps prendre le contrôle. Nous nous caressons mutuellement, nous nous pénétrons avec nos doigts mutuellement.

Par moment, elle prend dans sa bouche mes tétons jusqu’à descendre pour lécher mon intimité. Dans d’autres, c’est moi.

Nous grimpons l’une sur l’autre. Je la sens dominante avec moi et je la laisse faire même si par moment, je vois bien que c’est moi qui aie le contrôle.

Bon dieu, j’avais oublié ce que pouvait procurer la jouissance avec une femme. Comment ai-je pu m’en passer ?

Après nos jouissances mutuelles, nous reprenons bonne figure et allons vers le jacuzzi.

Je la vois surprise. Normal, Monsieur Yannick était présent. Il avait toujours été prévu qu’il me rejoigne mais comme cela n’avait pas été sûr, je n’en avais rien dit.

Je la vois gênée mais ravie. Ils ‘étaient déjà vus et je savais qu’ils avaient envie de pourquoi pas se revoir.

Elle voit son libertin également. Nous nous saluâmes tous les quatre et firent les présentations. Nous étions tellement détendus que nous parlions comme si nous étions dans un simple café et non nus dans un jaccuzzi.

Mais ce temps ne dura guère longtemps. Nous allâmes tous les 4 dans un endroit suffisamment grand mais fermable à clef.

Au début, les hommes nous ont laissé faire toutes les deux, ils nous rejoignirent, moi avec Monsieur Yannick et elle avec son libertin.

Je sais que tous voulait savoir une chose de moi, est-ce que j’autorisais Monsieur Yannick à jouer avec elle ? Est-ce que j’autorisais son libertin jouer avec moi ? Je répondis à la question en allant vers son libertin et en le laissant jouer avec moi. Laissant Monsieur Yannick avec ma copine.

Je dois dire que les différents mélanges me procuraient un plaisir incommensurable et qui me rappelait ma première expérience en club. Je me fichais alors de qui me touchait les seins, de qui me léchait ou me pénétrait, de qui me fessait ou me mordait, mon corps ne réclamait que du plaisir.

Les 3 ont profité de mon corps comme j’ai pu profiter des leurs. Je me laissais guider par eux et savourer chaque instant.

J’avoue qu’à la fin, j’étais repue. Repue de plaisir mais aussi de fatigue.

Après discussion, nous décidâmes tous les 4 d’en rester là et de rentrer chacun chez nous. Monsieur Yannick étant venu en voiture, je rentrais avec lui dans la chambre réservée. Mais croyez-vous que les jeux coquins s’arrêtèrent là ? C’est bien mal le connaître.

Nous continuâmes un peu avant de glisser dans le sommeil. Nous rentrâmes tranquillement chez nous tout en discutant de la soirée.

Et j’avoue que les plaisirs donnés et reçus furent très jouissifs. Rien que d’en parler, cela me donnerait presque de courir pour y retourner.

Alors pourquoi pas une prochaine fois.

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4 commentaire

  1. bravo

    1. Merci mais cela reste un fantasme peut-être à réaliser un jour

  2. Très jolie fantasme

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