queue

Je réfléchis à une nouvelle section pour l’année 2022. Je vais voir si je la mettrais en pratique. En attendant, voici ce à quoi j’ai pensé ce matin. Inspiré d’un compte twitter, enrichi de mon imagination.

Ce jour, j’attends Monsieur. Je sais que cette séance sera expéditive, car nous n’avons que peu de temps lui et moi. Mais nous nous manquons et une parenthèse dans nos vies est toujours la bienvenue.

Je suis prête, j’ai mon manteau, mon collier bitch et un châle pour le cacher si besoin.

Monsieur toque et j’ouvre la porte. Il me prend dans ses bras, me caresse avant d’y attacher la laisse que je glisse sous le manteau sans le défaire. Vu notre déplacement, cela ne peut être au vu et au sus d’éventuelles personnes que nous croisons. Je mets le châle autour du cou.

Le fait que seuls nous sachions ce qui est, m’excite.

Il prend la laisse, nous descendons au sous sol. Monsieur ouvre la porte et jette un oeil :

 » Allez enlève tout chienne. »

En réalité, une fois le châle et le manteau enlevés, je suis nue avec ma queue dans mon cul. Il prend la laisse et m’emmène dans un coin moto de mon parking où jamais personne ne se gare. Il me mate et apprécie de me voir ainsi. Je ne suis pas à l’aise même si cela m’excite. Et si un voisin me surprenait ? Ou une voisine avec ses enfants ?

Je sais que ce coin est peu visible et si jamais quelqu’un se dirige vers nous, j’aurais le temps d’enfiler le manteau. Ce qui rend la situation encore plus excitante.

 » Au mur et cambre toi. »

J’obéis mais je commence à appréhender. Ne voyant rien, ne pouvant qu’entendre Monsieur farfouiller dans son sac, c’est horrible. Que va-t-il faire ?

Il caresse mon dos et je frémis car ses caresses peuvent être sensuelles, tendres douces, comme celles qui parcourent mon dos sensible me provoquant à la fois une petite douleur et du plaisir.

E là, le premier coup de paddle tombe. Il est à la fois doux et dur. Mais c’est un plaisir qui monte en moi. Les autres coups s’enchaînent et mon excitation ne fait que grimper. Pour accentuer, Monsieur entre deux coups me mord le cou, l’épaule. il sait combien je déteste cela à cause de la puissante jouissance qui monte en moi à ces moments.

Les coups de paddle continuent de claquer mes fesses devenant de plus en plus sensibles. il ne le fait pas parce que c’est une punition mais parce que j’aime cela, je suis demandeuse et je pourrais même avoir un orgasme ainsi.

J’entends Monsieur qui farfouille dans son sac. il s’approche de moi de manière à jouer avec mes seins tandis qu’il colle son sexe à mes fesses. instinctivement, je remue. j’ai envie de me frotter à lui. J’ai envie qu’il me possède<. j’oublie que nous pouvons être vus.

« Qui t’a dit de bouger chienne ?

– Pardon Monsieur.

– J’adore quand tu es comme cela. Tu te lâches et laisse parler tes envies. Tu n’imagines tout ce qui se passe dans ma tête. Dommage que nous n’ayons pas le temps. »

IL se recule et commence à jouer avec ma queue. Je gémis mais je cache mes gémissements. Hors de question que qui que ce soit nous surprenne. je serais trop mal à l’aise surtout si je viens à recroiser mes voisins.

Il me fait écarter un peu les jambes. Avec une main il relève et itne ma queue. De l’autre, il insère ses doigts en moi et commence à me branler comme seul lui sait le faire. Il ne faut que quelques secondes avant que je me mette à couler.

Mais une fois n’est jamais suffisante pour Monsieur. Il les laisse en moi avant de recommencer à les bouger en moi. c’est à la fois tellement plaisant mais non inhabituel pour moi. A chaque fois que je coule, je me dis c’est insupportable, il faut arrêter. Mais non, Monsieur continue et me fait couler une seconde fois.

Cette fois, il retire ses doigts. Il lâche ma queue et m’aide à m’écarter. il me redonne mon manteau, mon châle me libère de ma laisse.

Monsieur me dit combien il est content et satisfait et qu’il aurait tant aimé que cela dure plus longtemps. Nous reprenons l’ascenseur. lui s’arrête au rez de chaussée. Moi, je remonte chez moi.

Je file dans ma chambre pour enfiler une tenue correcte. Quand j’y repense, je me demande si ce moment furtif a réellement existé. Je pense que si je ne tenais pas ce blog, je me dirais que nombre de moments, je les ai imaginé, je n’ai pas pu les avoir vécus. Et pourtant, grâce à lui, les souvenirs remontent et me prouvent que non seulement je les ai vécus mais qu’en plus, ils ont pu être répétés…

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