Liste des récits fictifs

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Monsieur me partage avec des hommes les yeux bandés

Mon maître m’a demandé de mettre une robe, le rosebud ainsi que mon collier de chienne. Pour éviter d’être vu, j’ai l’autorisation de mettre un châle autour du cou. J’ai également reçu l’ordre d’avoir mon bandeau à proximité.

Je descends lorsqu’il est là. C’est ainsi qu’en me disant bonjour, il me caresse pour vérifier si j’ai bien obéi. Il se permet même de dévoiler mes seins à jour.

Satisfait, il me fait monter dans la voiture : « Ce soir, ce sera spécial. A aucun moment, tu ne devras enlever le bandeau. Tu devras m’obéir au doigt et à l’oeil sous peine de punition. Si jamais cela te déplaît, tu utilises le mot de sécurité.

– Bien Monsieur. Répondis-je en m’inquiétant toutefois. »

Nous faisons quelques kilomètres en voiture. Il sent ma gêne montée mais me réassure. Il finit par se garer. Il sort nos sacs et m’emmène devant un immeuble et là, il me mets la laisse et m’ordonne de mettre le bandeau.

C’est ainsi que nous entrons dans l’immeuble. Il me fait monter dans un ascenseur. Quand l’un de nos sens est privé, les autres se développent, notamment l’ouïe.

Arrivés à l’étage, il me fait faire quelques pas et j’entends les clefs dans une serrure. Où m’a-t-il emmené ? Qu’est-ce qui m’attend ?

Il me fait entrer et me dit : « Je vais t’aider à enlever les chaussures. »

Je le sens qui s’abaisse et m’aide à les enlever. Il m’emmène ensuite dans une pièce plus grande. Il s’approche de mon cou et me dit : « Je lâche la laisse et tu vas enlever tes vêtements. »

Je le sens qui s’éloigne. C’est alors que je prends le parti de déboutonner les boutons un à un en prenant mon temps jusqu’à ce que ma robe glisse.

Une fois nue, j’entends « Présentation. » Mais j’ai cru entendre un autre bruit. Ne serions nous pas seuls ?

Je me mets en position. Mon maître s’approche de moi, je le sens se saisir de ma laisse. Il vérifie mon intimité et me dit : « A genoux. »

C’est sûr, nous ne sommes pas seuls. J’entends des bruits mais impossible de dire combien ils sont.

A sa pression, je comprends qu’il veut que j’embrasse ses pieds et je l’entends qui dit : » Tu es une bonne chienne. Relève toi. »

Je me relève mais je reste à genoux. « Suce »

Je sens un sexe devant moi et je le prends en bouche. N’ayant pas eu d’autres ordres, je le fais uniquement à ma bouche. Je sens que le sexe n’appartient pas à mon maître. Alors à qui appartient-il ?

Je m’applique et j’adapte mes mouvements en fonction des gémissements de cet homme jusqu’à ce qu’il se retire.

Mon maître me dit : « A 4 pattes. »

J’obéis. Je sens que l’homme que j’ai sucé passe devant moi. Il explore mon intimité avec ses doigts. Mais il n’en reste pas là. Quand mes gémissements lui conviennent, il explore alors mon cul. Et je comprends ce qui va arriver : il va me sodomiser.

C’est la première fois que mon maître me partage. Privée de ma vue, j’ignore avec qui. Mais je ressens l’humiliation de la laisse, l’humiliation d’être traitée en chienne et j’ai toujours perçue la sodomie comme une humiliation ultime.

Il joue avec ses doigts et le rosebud. Quand il me sens prête, il retire le rosebud et le remplace par son sexe. Mon maître me dit alors : « Ouvre la bouche. »

Je sentais la pression de la laisse sur le côté, je me faisais sodomiser par un homme mais alors qui allais-je sucer que je sentais devant moi ?

Peu importe, je me concentrais sur le sexe présent dans ma bouche. Toutefois, j’avais des difficultés à gérer toutes les sensations que la situation procurait.

Je me concentrais tant bien que mal sur le sexe dans ma bouche et je sentais l’humiliation que pouvait avoir la scène.

Lorsque la jouissance de la sodomie fut à son apothéose, les deux hommes se retirèrent. Et pourtant, quelques minutes après, j’eus droit à une pénétration de mon intimité et cette fois sans fellation.

La nouvelle jouissance de mon partenaire et la mienne se fit sans tarder. C’était tellement puissant et incontrôlable. Mais qu’est ce que c’était bon.

L’homme finit par se retirer mais mon maître n’en avait pas fini avec moi : « Je vais vous montrer comment faire couler une bonne chienne. Allez debout. »

Je me levais et laissais mon maître me mener face à un mur. il joua avec mon intimité avec ses doigts. C’est le seul qui sait jouer ainsi avec moi. Il me fit couler 2 fois tout en disant : « Tu vois quelle chienne tu es. Tu ne l’as jamais été autant qu’en ce jour. »

Il me prit dans ses bras le temps de me calmer. Il me dit : « N’enlève pas ton bandeau, je vais te rhabiller. »

Il me remit ma robe et se chargea de la reboutonner sans s’empêcher bien sûr de me caresser et de jouer avec mon corps.

Il me fit sortir de l’appartement pieds nus et nous reprîmes l’ascenseur. Ce n’est qu’au rez de chaussée que j’eus le droit d’enlever le bandeau et de remettre mes chaussures.

Revoir avec mes yeux me parut difficile au début mais je ne cessais de penser à ce qui venait de se passer et aux sensations. Mon maître le sait : « Allez à l’hôtel, je n’en ai pas fini avec toi. »

Mais cela est une autre histoire.

Monsieur S’amuse avec moi devant des voyeurs


Scénario fictif

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Je me prépare comme à l’habitude : un haut sexy, une jupe, sans sous vêtements, mon collier que je peux mettre en public.

Pas de jouets. Bizarre mais ce sont les ordres. Monsieur vient me récupérer, me dit bonjour comme à l’accoutumé, il me prend dans ses bras et me caresse avant de monter en voiture.

Bien sûr, il ne peut s’empêcher de me caresser pendant la conduite. Toutefois, en observant la route, je me rends compte que nous nous dirigeons vers Paris : « Monsieur, où allons-nous ?

– Au sauna. »

Ah ! Au sauna. Il est vrai qu’il m’a prévenu que nous y retournions. Me le dire à la dernière minute m’a évité d’appréhender mais pour le coup, j’ignore comment réagir.

Il est vrai que je travaille sur le lâcher prise, le moment présent et tout le tintouin qui ne signifie plus rien quand je stresse. Mille images et scénarios me traversent la tête :

« Ne t’inquiète pas, tu peux dire stop à tout moment et tu n’es obligé de rien. »

Je me laisse conduire et puis nous verrons bien. Monsieur se gare, nous entrons et comme pour les précédentes fois, je n’ose me déshabiller devant les autres.

Ridicule quand on sait où je suis et que certainement certains me verront nue. Monsieur prend le pas et n’hésite pas à m’aider.

Il m’installe sur un canapé du bar avant d’aller chercher des boissons :

« Tu m’as pris de l’alcool ?

– C’est pour t’aider à te détendre. J’aimerais que tu essaies certaines choses mais je ne cherche pas à ce qu’elles se fassent. Tu ne feras que ce que tu accepteras. »

Nous continuons de parler et je sens que l’alcool et parler m’aident. Direction le jaccuzzi. J’y rentre le plus rapidement possible, j’ai du mal à être nue en public. Monsieur me rejoint et je continue à me détendre.

Quand il sent que j’attends qu’il joue avec moi sans savoir comment, il décide de m’emmener en haut. Il cherche un coin tranquille. Il me fait m’allonger sur le dos.

J’ai à peine le temps de m’apercevoir que ni la fenêtre ni la porte ne sont fermées que Monsieur commence son cuni.

Bien sûr un cuni accompagné de doigt, de morsures, de coups de langues…

De temps à autre, je ne peux m’empêcher de regarder la fenêtre et de me rendre compte que je suis observée. J’en suis gênée et je fais tout pour les oublier et ne me concentrer que sur mon plaisir.

Encore une fois, l’alcool aide. Car si je n’avais pas bu, je pense que cela m’aurait bloqué. J’entendais des bruits dans la pièce. S’il y avait des observateurs à la fenêtre, il y en avait sûrement dans la pièce. Et au bruit que certains faisaient, aucun doute qu’ils se masturbaient.

J’espérais une chose que Monsieur ne fasse pas ce que je craignais le plus. Et pourtant, il le fit mais pas comme je le pensais.

Il finit par me relever, me colla à lui de manière à ce que lui soit derrière moi et mon cul collé à son sexe. Toutefois, devant moi, j’avais plusieurs messieurs qui observaient et prenaient du plaisir en voyant la scène.

Je ne savais plus où me mettre, où que je regarde, des yeux étaient présents. je finis par fermer les yeux et essayer de rejoindre ma bulle tandis que Monsieur me caressait d’une main mes seins et me branlait de l’autre.

De temps en temps, je ne pouvais m’empêcher d’ouvrir les yeux en essayant de savoir ce que cela me faisait. Après tout, Amante Lili en prenait du plaisir. Alors, pourquoi était-ce étrange pour moi ? Pourquoi me sentais-je gênée ?

Monsieur finit par me retourner, posant mes mains sur le coin tandis qu’il continuait son jeu malsain de branlette. Il finit par me faire couler 2 fois.

Je ne savais que penser de tout cela. Si ce n’est que je n’y trouvais pas de plaisir tout comme je n’y trouvais pas de déplaisir. c’était simplement étrange.

Quand ce fut terminé, certains attendaient. Certainement qu’ils pensaient qu’ils pourraient profiter de mon corps. Monsieur dit : »Merci de nous laisser tranquille s’il vous plaît. »

Quasiment tous acceptèrent de sortir mais un osa demander : « Est ce que je peux jouer avec Madame ?

– Non »

Il finit par partir. Monsieur ferma la porte et nous pûmes nous rhabiller en prenant tout notre temps. Je n’arrivais plus à m’exprimer, mon cerveau fusait à 1000 à l’heure avec ce qu’il venait de se passer. Je sais que Monsieur attendait une réaction de ma part. Mais je ne le pouvais pas.

Nous finîmes par sortir et rejoindre le côté bar et c’est là que je pus lui donner tout mon ressenti. Cette étrangeté. Le fait que je n’éprouve ni plaisir ni déplaisir. Mon admiration pour Amante Lili qui vit sa sexualité pleinement.

D’après Monsieur, c’est parce que je suis une libertine qui ne le sait pas et se découvre. Si je ne l’étais pas, j’y trouverais du déplaisir et je bloquerais. D’autant que comme il aime à me le rappeler, mon corps réagit plus intensément en présence de voyeurs.

Je ne sais quoi penser car si tel était le cas, pourquoi le plaisir n’y est pas.Paragraphe

Peu importe, nous continuons la soirée à 2 tranquillement en prenant l’un et l’autre du plaisir. Et à voir une prochaine fois.

Monsieur s’amuse à m’humilier en privé

Récit fictif

Monsieur exige comme à son habitude une tenue sexy. Autrement dit, un haut mettant à nu un décolleté très large, une minijupe. Inutile de préciser que je suis sans sous vêtements et équipée d’un rosebud.

Quand arrive Monsieur, il m’embrasse et me prend dans ses bras tout en vérifiant par ses caresses si ses ordres ont bien été suivi.

Nous montons en voiture, cette fois-ci pour l’hôtel. Bien sûr, Monsieur se fait plaisir dans la voiture en dévoilant mes seins et en me caressant.

Nous parlons de tout et de rien comme à notre habitude.

Arrivés à l’hôtel, nous récupérons la clef et dans l’ascenseur, Monsieur dévoile mes seins et m’ordonnent de les laisser ainsi jusqu’à la chambre. improvisation totale sera réalisée en cas de visiteur incongru.

Seins de Lilisoumise exhibés par Monsieur

Comme vous vous en doutez, je ne mets pas longtemps avant de rentrer dans la chambre, j’enlève mon manteau et j’entends l’ordre suivant: « A poil salope. »

J’obéis sans ménagement même si le nombre de mes vêtements est limité. Je suis vite nue alors que Monsieur n’a juste enlevé que ses chaussures.

Monsieur me dit alors : « Présentation. »

Je me mets en position et je déteste ce moment où Monsieur continue de se déshabiller tout en me matant. Je me sens hyper gênée et s’il y avait un trou de souris, je m’y glisserais bien.

Quand il est prêt, il s’approche de moi et tâte de mon humidité : « A genoux. »

J’obéis et par les cheveux, il m’ordonne une chose qui est en train de devenir un rituel : embrasser ses pieds.

Satisfait, il me récompense toujours : « Sur le lit, allongée sur le dos. »

J’obéis. Avec son aide, je me positionne comme il le désire. Toutefois, avant de s’occuper de moi, il me met en place des entraves aux chevilles et aux poignets sans que les unes soient reliées aux autres.

Vous pourriez vous demander à quoi cela sert-il ? Je peux vous assurer que rien de sentir le poids et la présence, cela donne un signe supplémentaire que vous êtes soumis à l’autre, que vous lui appartenez et même si l’idée de fuir venait à être penser, elle disparaîtrait automatiquement.

Bien sûr, il en profite pour jouer avec ma poitrine et quand il descend, ce n’est que pour mieux insérer sa langue et ses doigts dans mon intimité. Tout en me griffant le bas du ventre ou en me mordant là où il ne devrait pas. Dans ces moments, cela est difficile de ne pas bouger. Mais pas envie d’être punie.

Quand il est satisfait de mes gémissements, il s’arrête, se lève et va chercher le gode. Mais croyez-vous que ce soit si simple ? Non, il me pousse toujours plus dans la soumission.

Alors tandis qu’il titille mon intimité, il me dit : « Tu as deux choix possibles. Soit tu me supplies de m’occuper de toi. Soit je te punis jusqu’à ce que tu me supplies. »

Je ne m’y attendais absolument pas. Même si ma fierté en a pris un coup dans les jeux de soumission, il m’en restait encore. Et comme dit, je n’avais pas envie d’être punie. Je le voyais qui s’impatientait alors je lui dis :

« – Monsieur, je vous en supplie, occupez vous de moi.

– C’est ainsi que tu supplies. Je vais t’apprendre. A 4 pattes. »

Et zut, je vais être punie. Je le vois qui sort le paddle tout en me disant les règles : « Tu seras fessée jusqu’à ce que je juge ta supplication digne de moi. »

La première fessée tombe. Ca fait mal sur le coup mais c’est aussi excitant. Je redis ma phrase mais n’étant pas conentrée, le ton est le même.

La deuxième tombe. Je m’applique et j’entends Monsieur qui dit : « C’est mieux mais tu peux mieux faire. »

Troisième fessée. N’empêche ses fessées étaient fortes et je savais que je n’en supporterais pas beaucoup. Je me souviens des 10 lors d’une précédente punition : « Je vous en prie Monsieur. S’il vous plaît, occupez-vous de moi. Je veux que vous me fassiez jouir. S’il vous plaît, amusez-vous avec mon corps. » Je le dis avec un ton suppliant.

Monsieur me dit : « C’est déjà beaucoup mieux. Mais sache que de temps en temps, tu devras me supplier. Et si tes supplications ne sont pas dignes, tu seras de nouveau fessée.

– Bien Monsieur. »

N’ayant pas d’ordres, je reste en levrette jusqu’à ce que je sente le gode me pénétrer.

Le plaisir m’envahit instantanément. Mais bien sûr, Monsieur aime jouer avec moi. Il fait quelque va-et-vient de plus en plus fort avant de s’arrêter et recommence.

Je déteste cette torture. A un moment, il s’arrête mais ne reprend pas. « Tu sais ce que j’attends de toi !

– Monsieur, je vous en prie, faites moi jouir. Goder moi jusqu’à ma jouissance. Je vous en supplie.

– ca ira pour cette fois. »

Monsieur me regode de plus en plus violemment. Jusqu’à ce qu’il le retire complètement, m’allonge sur le ventre, me tient par le cou et me branle.

Il a découvert qu’ainsi, je coulais autant que face au mur. Bien sûr, une fois n’est jamais suffisante, il recommence une deuxième.

N’en pouvant plus, nous nous reposons. N’ayant que peu de temps cette fois-ci, après nous en être remis, nous nous rhabillons mais après que Monsieur ait de nouveau jouer avec moi et m’a fait couler face au mur.C’est rassasiée, un peu honteuse que je rentre chez moi.

Je déteste la supplication. je sais que cela fait partie du jeu mais c’est sûrement la partie que je déteste le plus. Parce qu’autant je donne plein pouvoirs sur moi à Monsieur mais supplier signifie que j’exige de lui qu’il me soumette et m’humilie.

Et je crois que cette idée a bien du mal dans mon cerveau. Quand je suis en séance, mon cerveau est déconnecté, c’est après coup que je réalise jusqu »à quel point j’ai été humiliée. Mais lors de la supplication c’est comme une alarme: « Alerte, tu dépasses une limite. » Mais ai-je envie de la franchir ? Je l’ignore.

D’après Monsieur, oui… A voir la suite.

Au service de Monsieur et d’un couple

Récit fictif

Aujourd’hui est une journée spéciale. Monsieur m’a demandé de venir en fin d’après midi sans tenue particulière mais des jouets télécommandés.

Il m’indique que nous ne serons pas seuls et que je serais humiliée comme je l’aime tant. Il m’a également de préparer une recette pour plat principal et de venir avec les ingrédients.

J’ai mis toutefois ma tenue habituelle et me rend à l’adresse indiquée. Monsieur m’embrasse, me prend dans ses bras. Il me fait entrer et me dit : » Tu en as pour combien de temps pour préparer le repas ?

– 15 mn de préparation et 30 mn de cuisson, Monsieur. »

Il m’emmène dans la cuisine où je dépose mes sacs. Il prend mon sac à main et mon manteau et le dépose dans un coin du salon. Il me fait visiter le reste de l’appartement et dans la chambre, je vous passe les détails mais devient son jouet comme il l’aime.

A un moment donné, il se lève et me dit : « Ne bouge pas. »

J’attends et je le vois revenir avec une tenue de soubrette sexy. il est vrai qu’il m’avait demandé ma taille et que nous avions parlé de ce genre de scénario mais j’étais loin d’imaginer de sa réalité.

« – Mets-là. Tu vas faire le repas. Tu vas mettre la table. Je vais te montrer les entrées et le dessert. »

J’enfile la tenue mais au lieu d’aller dans la cuisine, Monsieur m’emmène dans le salon et me dirige dans un coin : « A genoux au coin. »

J’obéis sans comprendre.

« – Ici, ce sera ta place quand nous n’aurons pas besoin de toi. Tu pourras manger ainsi. Allez viens dans la cuisine. »

Il m’explique tout le déroulé du repas, apéritif compris. Avant de m’atteler aux préparatifs qu’il superviserait, il fouille dans mon sac et me demande de me pencher en avant en m’appuyant sur un plan de travail.

Il m’installe le Losche télécommandé. Et c’est ainsi que par moment, mes préparitifs prirent du temps à cause du plaisir qui montait en moi.

Je venais à peine de finir quand la sonnette retentit : « Vas ouvrir la porte et tu t’agenouilles devant eux. Quand ils auront enlevé leurs chaussures, tu embrasses leurs pieds. »

Avais-je bien entendu ? Je vais à la porte. me mettre à genoux ne fut pas une difficulté. Mais quand ils tendirent leurs pieds, j’hésitais. Mais je finis par obéir. L »homme me dit : « Debout et prends nos manteaux ».

Ce que je fis et le posait sur le mien. Je suivis les instructions de l’apéritif. Quand j’en eus fini, je pris ma place dans mon coin et j’eus droit à un verre et une petite assiette. Je les observais tous les 3. Ils parlèrent de moi.

Cela me faisait bizarre qu’ils parlent ainsi de moi comme si je n’étais pas là. L’homme dit à sa soumise d’enlever le bas de s’asseoir en écartant bien les cuisses.

Je sentis le losche vibrer mais je ne comprenais pas. Monsieur me dit : « Quand tu le sens vibrer, tu te lèves, tu viens à nous et tu nous demandes ce que nous voulons. »

Je me lève, je vins à eux : « Que désirez-vous ?

– Va manger Madame. »

Je me dirige vers elle. je m’agenouille et j’obéis. Au début, je me sentais gênée. Ces messieurs continuaient de parler de tout et de rien comme si de rien n’était. Et ce, jusqu’à ce que Monsieur joue avec les seins de Madame et quant à l’homme, il vint derrière moi et joua avec le losche.

Quand ces messieurs furent satisfaits, Monsieur dit : « Tu peux nous servir l’entrée et débarrasser l’apéritif. »

Ils allèrent à table. je pris les verres et me dirigeais vers la cuisine. Je pris les entrées, les servirent et finit de débarrasser.

Je pris mon entrée et la mangeait à ma place dans mon coin. J’avais une vue sur eux mais je sentais l’humiliation de la situation. c’était beaucoup plus puissant que d’habitude et beaucoup plus loin. Oui, la situation me plaisait mais allais-je la supporter jusqu’au bout ? Je l’ignorais.

A part quelques vibrations que Madame me donnaient, je fus tranquille à l’entrée.

Je la débarrassais quand ils eurent fini. Pour le plat, cela se passa de la même manière. hormis le fait qu’ils inventèrent un jeu : Le oui et le non. Si une personne disait oui, elle avait le droit d’allumer le losche. Si une personne disait non, elle arrêtait le losche.

C’est ainsi que le plaisir montait et descendait et durait plus ou moins longtemps. Ils arrêtèrent lorsque j’atteignis ma troisième jouissance. Inutile de vous dire que le plat je ne pus le manger qu’après et qu’ils me laissèrent le manger bien après eux. Pendant ce temps-là, Madame se faisait doigter par son compagnon. je dois dire que ses gémissements ne me laissaient pas indifférentes. Et vu que les hommes semblaient faire comme si de rien n’était augmentait le plaisir.

Lorsque je posais les assiettes, l’homme demanda à Monsieur : « Peut-elle me sucer ?

– Allez sous la table. »

J’allais sous la table. L’homme déboutonna son pantalon. Je le pris en bouche et le suçait pendant qu’il mangeait son dessert. Il dit : « ¨Profites, c’es ta glace et ton dessert. »

Je m’appliquais mais concentré sur son dessert, j’ignorais si cela lui convenait. D’autant que le loche s’était encore une fois allumé.

Et pourtant, cela a dû lui plaire car il finit par éjaculer dans ma bouche. Je sortis de sous la table et allais rejoindre ma place mais Madame me prit par la main et m’emmena sur le canapé. Elle décide alors de m’embrasser à pleine bouche.

J’ai du mal à réaliser que j’embrasse une femme. Mais ses baisers me font monter un plaisir. Elle commence à me caresser. Doucement puis avec passion.

J’hésite et me lance. je la copie. Elle finit par se déshabiller tout comme moi. Elle s’allonge sur le canapé et me dit : « Mange moi. »

J’obéis et fais de mon mieux. les hommes nous regardent simplement. quand je sentis le moment, je remontais sur elle et pris en bouche chacun de ses seins. Mon intimité collée à la sienne, nous nous mîmes à bouger.

Surtout que le losche allumé, elle devait le sentir comme moi. Elle me dit : « A moi de te manger. »

Je descends de sur elle, je m’allonge à mon tour. Elle enlève le losche et me mange. Je sens le plaisir qui monte. Je vois aussi le sexe de l’homme qui arrive dans ma bouche.

Je prends du plaisir dans les 2 sens. je pense que eux aussi. Quand Madame en a fini. je fus libérée. Je m’asseois sur le canapé. L »homme me dit alors :  » A 4 pattes sur le tapis. »

j’obéis et je vois que Madame en fait de même en face de moi. Monsieur va derrière elle et mélange du doigtage et un cunnilingus tandis que l’homme me pénètre.

Nous nous regardons droit dans les yeux et voyons le plaisir de chacune. L’homme commence à me doigter l’anal et décide de faire une double pénétration ainsi.

C’était étrange pour moi quand je voyais ce à quoi la scène devait ressembler. Voir une femme prendre du plaisir en face de moi tandis que j’en prenais de la même manière…

Après ce plaisir, nous reprîmes chacun nos esprits mais je ne vous cache pas que la soirée dura quelques heures mais dans la chambre soit à 4, soit à 2 nous les femmes, soit à 3 avec moi frustrée en les regardant jouer…

Ce n’est après que nous sommes furent tous repus de plaisir qu’ils partirent. Quant à nous, au dodo. Toutefois, le lendemain, je devais remettre ma tenue de soubrette et le losche le temps de la vaisselle… Ce n’est qu’après que je serais libérée de mon statut et pourrait rentrer chez moi en tant que femme.

Monsieur me punit dans un club BDSM

Récit fictif

Monsieur m’emmène dans un autre club. Un peu plus axé bdsm.

Nous entrons et nous nous deshabillons. Monsieur mets le paréo mais ne tends pas le mien. A la place, il s’empare de mon collier et de la laisse pour me les mettre autour du cou : « Tu te balades nue. »

Je ne suis pas très à l’aise mais c’est nue et laissée que nous faisons le tour. Je m’aperçois que beaucoup de soumises sont nues. Certaines mêlées sont à quatre pattes. Je m’aperçois que c’est une sorte de normalité.

Il choisit un coin complètement ouvert. Il me colle au mur me penchant quelque peu.

Il s’approche de moi et le dis : « Tu te souviens du gage que je n’avais donné et que tu n’as pas respecté. Voila ta punition. Tu comptes en ajoutant merci maitre. »

Il s’éloigne et le premier coup de parole tombe. Je me sens humiliée d’être punie ainsi devant de potentiels spectateurs. Je prononce un timide 1 merci Monsieur.

Il exige plus fort ou il recommence. Je m’exécute au 2eme et au 3ème jusqu’au 10ème.

Il s’approche et me dit : « Tournes toi et remets toi en position »

J’obeus et le rends compte du nombre de spectateur je me remets en position en le doutant de ce qu’il allait me faire. Une partie de moi jubilait et n’attendait que cela . Une autre voulait fuir. Plus le temps de réfléchir, Monsieur me branle et mon plaisir monte instantanément.

Je répète ce qu’il le dit jusqu’à ce qu’il me fasse couler 2 fois.

Il le laisse me reposer et me laisse m’asseoir à côté. Il nettoie le sol avant de me faire un cunnilingus bien mérité. Il ne laisse personne s’approcher.

Le plaisir était puissant. Je contrôlais leur puissance car je me sentais vraiment observé.

Je les entendais chuchoter mais ne cherchais pas à comprendre. Une fois satisfait de mon plaisir, nous allâmes nous détendre au coin bar. J’avais lz chance d’être assise au même niveau.

Bien sûr que la soiree continua avec baiser de ses pieds, fellation devant spectateur et coulage en levrette.

Mais je vous laisse le soin d’imaginer les détails…

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