Récit Fictif – Etre l’esclave d’un inconnu pour une nuit

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Ce récit est purement fictif mais qui ne se réalisera jamais

Je suis dans un bar seule avec une robe sympa et sexy. Mon intention est claire, repartir avec un homme. J’observe, je regarde et j’essaie d’attirer le regard d’un homme qui me plaît physiquement.

Cela fonctionne. Il vient vers moi  :

« Vous attendez quelqu’un ?

– Non. Je n’attends personne de particulier.

-Puis-je m’asseoir ?

– Je vous en prie. »

Nous commençons à discuter de choses et d’autres. Je ressens une attirance envers lui. J’ai l’impression que c’est réciproque. Chacun de nous deux faisons des allusions sur le sexe et la fin probable de cette soirée. Je prends alors les choses en main :

« – Il est clair que nous n’allons pas en rester là. Mais avant, je voudrais savoir si tu es joueur ?

– Oui, pourquoi ?

– Je vais te poser 10 questions. Je te demande de répondre Franc jeu.

– Très bien.  Mais qu’y a-t-il à gagner ?

– Disons que j’aime plusieurs manières de passer la nuit avec un homme. En fonction d’elles, je serais la femme que tu veux que je sois.

– Allons-y.

– Quelle est ta position préférée ?

– Effectivement, elles sont crues tes questions.

– Et ce n’est que la première.

– Levrette.

– Aimes-tu dominer ?

– Oui

– L’as-tu déjà fait ?

– Oui.

– Quel serait ton fantasme de domination ?

– Avoir une chienne. Une femme sans tabou qui me supplie de la prendre.

– Souhaites-tu jouer avec moi ?

– Oui.

– Que voudrais-tu me faire là, maintenant ?

– Que tu sois à côté pour te caresser. Voir comment tu es quand tu es excitée et te voir frustrée de ne pouvoir rien faire.

– Et chez toi ?

– J’aimerais que tu me suces, que tu me supplies de te prendre. Que je prenne mon temps pour obtenir ta soumission.

– Et si je te dis que tu peux me la mettre où tu veux ?

– tu aimes la sodomie ?

– j’adore.

– Alors je m’occuperais de ton cul avant de ta chatte. Mais je voudrais que tu la réclames.

– Et si je m’offrais à toi en tant qu’esclave pour une nuit. Si je te disais qu’à partir de maintenant, je fais tout ce que tu veux. Je n’ai plus aucune liberté que celle de te supplier et de gémir de plaisir. Plus aucun droit si ce n’est te satisfaire comme tu le désires quand tu le désires. Je retrouve ma liberté dès que je sors de chez toi. Dans mon sac, j’ai des accessoires dont une laisse. Arrivée chez toi, en échange de ma liberté, tu pourras me mettre une laisse autour du cou qui prouvera mon appartenance. Qu’en dirais-tu ?

– Tu ferais tout ce que je veux sans aucune limite ?

– Sans aucune limite. Toutefois si ca va trop loin, je veux avoir la possibilité de ralentir ou de stopper ce que l’on est en train de faire. mais pour avoir déjà été soumise, je n’en ai quasiment pas.

– Du coup, si j’accepte, là, maintenant, tu acceptes de faire tout ce que je te demande ?

– Oui.

– j’accepte et tu vas commencer par venir à côté de moi. »

Je lui obéis et il m’embrasse avec fougue. Avec une main, il commence à la poser sur mes genoux. Cette dernière remonta bien haut et est à la limite de mon intimité. J’essaie de n’en rien montrer mais mon excitation est déjà présente :

« – Est-ce que tu as envie que je te prenne là de suite ?

– Tu n’as pas idée.

– Alors, je crois qu’on va bien s’amuser. »

Il glisse alors un doigt dans mon intimité tout en m’embrassant. C’est excitant mais à la fois frustrant. Je prends un immense fou à me faire tripoter en public. Mais frustrée de ne pouvoir l’exprimer.

Il me demande alors :

« -Quels sont les autres accessoires dans ton sac ?

– Tout un kit pour un maître qui possède une esclave.

– Intéressant. Je vais payer. »

Il part payer et m’emmène ensuite dans sa voiture. D’instinct, je m’attache. Il me regarde avec un ton de reproche :

« – Qu’as-tu fait ?

– Je me suis attachée, dis-je surprise.

– T’en ai-je donné l’ordre ?

Je compends qu’il av pris au sérieux ma requête.

– Non.

– Détache-toi et attends mon ordre.

Je le fais.

– Maintenant, prends la laisse et mets-là.

J’obéis sans aucune hésitation :

– Tu es à moi pour la nuit. Tant que tu portes ce collier, tu es mon esclave. Compris ?

– Bien maitre.

– Et à ce sujet, tu n’es rien et tu m’appartiens, tu me dois le respect. Alors c’est vouvoiement.

– Bien maître.

– As-tu un bandeau ?

– Oui maître.

– Mets-le et ensuite attache-toi, on y va. »

Je lui obéis. Le trajet fut long. Tout simplement parce que dès que je l’entends bouger, je m’attends à ses caresses. Ce qui n’est pas toujours le cas. Par moment, il s’arrête et me demande de me doigter. J’obéis. Il n’hésite pas dans ces moments de jouer avec la laisse. Tirant pour que j’aille à lui ou lâchant du lest.

Une fois garé, toujours bandée et laissée, il me fait sortir de voiture. Il colle mon dos au mur. Il m’embrasse, me mord, me caresse, fouille mon corps. Il relève ma robe de manière plus qu’indécente. Je gémis à chacun de ses gestes.

Sans que je m’y attende, il me décolle du mur en tirant sur la laisse. c’est pour mieux me coller dans l’autre sens. La je sens via mes fesses son sexe tout dur à travers ses vêtements :

« – Que souhaites-tu ?

– Je veux que tu me prennes.

Il me donne une fessée.

– Que souhaites-tu ?

– Je veux que vous me preniez.

Il me redonne plusieurs fessées.

– Que souhaites-tu ?

– Je veux être votre esclave. je vous supplie de mettre votre sexe dans mon cul. Je ne suis faite que pour cela.

Il me redonne des fessées :

– Tu as enfin compris. On y va. »

Debout, à côté de lui, il tient la laisse et me laisse les yeux bandés. Il m’avoue :

« Je n’avais jamais autant dominé une femme et tu n’imagines pas le plaisir que j’ai de de te tenir en laisse et de devoir te dire ce que tu dois faire. »

Il m’emmène jusqu’à l’ascenseur où il me dit :

« A 4 pattes. »

J’obéis et nous rentrons dans son appartement où j’ai enfin le droit de débander les yeux. La nuit se déroule comme cela se passe entre un maître et son esclave. il a examiné mon kit. Il m’a attaché les mains et m’a demandé l’autorisation de me fouetter. Il me fait le sucer alors que je suis à genoux. Il m’a emmené dans sa chambre et m’a sodomisé jusqu’à ce que lui et moi n’en pouvions plus.

Une fois le jeu calmé, il me dit :

« J’ai adoré. et toi ?

– Plus que tu ne peux l’imaginer.

– Pour la nuit, je te libère de ton contrat. tu peux dormir libre.

– Je t’ai dit que j’étais ton esclave et ce collier en est le symbole. Si cela te convient, j’enlève la laisse. Je garde le collier. S’il me gêne pour dormir, je l’enlèverais. mais je voudrais savoir ce que cela fait d’être esclave au petit matin.

– J’avoue que j’espèrais une réponse comme celle-là.

– Au fait, je suis là pour te satisfaire, si tu es réveillé et que l’envie te prend, tu as le droit de me réveiller.

-On verra. »

Nous finissons par nous endormir. Moi, avec le collier.

Je dors encore lorsque je sens ses mains sur mon ventre qui remontent doucement. J’ouvre tranquillement les yeux et me colle à lui. Il me dit :

« – Je sais que tu t’es offerte à moi. Te voir avec le collier et avec la nuit dernière, j’ai très envie de toi. Mais je veux savoir si tu en as envie.

– J’en ai envie. »

Alors le jeu recommence sauf que cette fois, il me pénètre ma chatte.

Après s’enchaîne la discussion sur ce que l’on a aimé ou pas, les moments préférés…

En tant que gentleman, il me ramène chez moi. Toutefois, je suis encore chaude et l’envie me prend dans la voiture. Cela ne lui échappe pas et je lui dis :

« – Tu sais, si tu veux que je t’obéisse encore, ce sera avec plaisir. »

Il ne me le fait pas répéter deux fois. il m’ordonne de me caresser tout en m’emmenant dans une forêt. Il me sort et me fait le sucer. Ensuite, il me mets nue et me prend en vraie levrette comme une chienne. Je ne l’ai jamais fait dans la nature. Et même s’il fait frisquet, ce qu’il me fait me réchauffe bien vite.

Il me ramène chez moi. je prends son numéro au cas où je souhaiterais m’offrir de nouveau à lui et je reprends ma vie normale. j’ai satisfait mes 3 envies : le faire avec un inconnu, être soumise complètement et mon envie sexuelle.

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2 commentaire

  1. beau recit d une chienne soumise

  2. Merci mais ne pas oublier que ce récit est un fantasme non réalisé.

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