Ce récit est purement fictif et issu de mon imagination
Ce jour, je cours rejoindre mon amant. J’adore le sexe avec lui, c’est passionnel et je n’arrive pas à m’en lasser. Même si je sais que rien n’est éternel.
Quand il ouvre la porte, je vois son regard et son sourire. À peine le temps de rentrer et de poser mes sacs qu’il m’embrasse avec fougue me retrouvant collée au mur.
Je lui renvoie ses baisers. Je commence à poser mes mains sur son corps mais je ne récolte que des tapes : « Aujourd’hui, tu es à ma merci. C’est moi qui décidé. »
Il me décolle quelque peu du mur uniquement pour m’enlever le haut. Il me recolle, abaisse mon soutif. Avec une de ses mains, il bloque les miennes au-dessus de ma tête.
Il prend en bouche l’un de mes tétons et presse l’autre avec sa seconde main. Effectivement, ainsi, je suis complètement à sa merci. Toutefois, mon corps se tortille pour lui montrer combien j’adore cela, combien j’ai envie de lui, combien j’aime qu’il s’occupe de moi.
Il commence à téter doucement avant de forcer jusqu’à ce que cela tire. Bien évidemment, j’émets des petits gémissements. Que j’aime cela, mon excitation grandit.
Il décide alors de prendre en bouche le second afin de lui appliquer le même sort. Je dois dire que mon corps n’attendais que cela. Je suis en pleine extase. J’ose un regard pendant qu’il me dévore ainsi toute crue. Il me regarde également.
Comme si j’avais dit ou fait quelque chose de mal, il arrête et me dit : « Pas bouger ! »
Il est vrai que nous avions fait des petits jeux de soumission et j’avoue que j’aimerais explorer plus en détail ce côté de moi mais j’avoue que là, me bloquant en pleine extase, je voulais autre chose que de ne pas bouger.
Il se dirige vers un meuble de son couloir et sors un objet mais prendre garde à ne pas me le montrer. Il revient vers moi avec un sourire. Que me prépare-t-il ?
« J’ai vu comment tu aimais obéir et je t’ai dit que tu étais une chienne ?
– Oui. Et ?
– Je souhaite que tu le sois ce soir. Alors voilà ce que je t’offre si tu le veux bien.
Il me montre alors un collier attaché à une laisse. Il est vrai que nous en avions parlé et que j’ai pu fantasmer avec l’envie. Mais de là, à passer au réel.
– Ce n’est pas une obligation et tu as le droit de dire non. De toute manière, si ce jeu te déplaît, on peut arrêter quand tu veux. Mais j’aimerais essayer. Qu’en dis-tu ?
Je coupe mon cerveau :
– J’accepte.
Je me libère du mur afin qu’il puisse me passer le collier au cou et me dit :
– Désormais, je suis maitre. Tu es chienne. Tu me dois obéissance et respect. Compris ?
– Oui.
– Oui qui ?
– Oui, maître.
– C’est bien chienne.
Il remet mon soutif en place, m’emmène par la laisse dans son salon et m’installe debout face au canapé.
– Pas bouger.
Il s’assied sur le canapé. Par la télécommande, il allume la chaîne hi-fi et mets une musique entraînante :
– Je t’ordonne un strip tease, chienne.
Je reste bouche bée. Je n’en ai jamais fait et j’avoue que je suis loin d’être une danseuse née :
– Je n’en ai jamais fait.
– Essaie. Fais-moi plaisir s’il te plaît. «
Je commence à me déhancher doucement le temps de prendre le rythme de la musique. Je réalise alors que je vais avoir du mal à enlever un accessoire mes chaussures.
Je place mes mains sur le haut de mon corps, je caresse langoureusement, insidieusement mes seins. Je les descends alors doucement, les plaçant volontairement sur ma chatte.
Je n’ose le regarder dans les yeux mais au vu de la bosse dans le pantalon, j’en déduis que je me débrouille bien.
Je me tourne lui montrant mes fesses et descends jusqu’à mes chaussures. Ne pouvant tortiller que le cul pendant que je délace une à une mes godasses.
Je remonte tranquillement, doucement et je me débarrasse de mes chaussures. J’ai même failli perdre l’équilibre.
Je suis plus à l’aise et je me dis que l’étape d’après, c’est le pantalon. Je remonte mes mains jusqu’à mon entrejambe. Je joue avec, je me caresse avant de remonter au bouton pour le dégrafer. J’enlève la fermeture éclair et le laisse descendre à mes pieds.
Je suis maintenant en sous vêtements. Je me penche en avant pour qu’il voie mieux ce qui se trouve sous mon soutif. Je caresse chacun de mes seins.
Je me relève et le dégrafe. La bosse sous le pantalon n’a-telle pas grossie ?
La laisse tombe alors entre mes seins et je décide de jouer avec. D’un air innocent, je tapote chacun de mes seins. J’ose un regard et je le vois excité comme jamais. Est-ce vraiment moi la chienne ? Ou lui qui est soumis à sa propre excitation ? Ou les 2 ?
Je tapote mon sexe à travers ma culotte. Et j’avoue que le fait de le provoquer ne me laisse pas indifférente. Je finis par laisser la laisse tranquille et enlève ma culotte aussi sensuellement que possible.
Celui qui est devenu mon maître pour la soirée se lève et s’approche de moi :
« Chienne, tu m’as bien trop provoqué. Pour la peine, je vais te punir. A 4 pattes. »
J’obéis tout en appréhendant la punition. Après tout, je lui ai obéis, non ? Alors pourquoi me punir ?
« Une chienne se doit d’avoir une queue. »
Il m’insère un rosebud qui se termine par une queue noire. J’avoue qu’à force d’en avoir porté, il n’a aucune difficulté à me l’insérer.
Il m’emmène ainsi à 4 pattes dans sa chambre. Il attache la laisse comme il peut à sa table de nuit et me dit :
« Assise. »
Je m’assieds comme une chienne.
« Pas bouger. »
Il me laisse ainsi. J’en conclus que c’est cela ma punition. Je l’entends dans son salon. il bouge. Mais que fait-il ? Pourquoi ne vient-il pas s’occuper de moi ? Qu’est-ce que j’ai fait de mal ?
Je reste ainsi un temps qui me paraît une éternité. De temps en temps, il jette un œil. J’ignore pour quelle raison mais dans son regard, j’y vois de la fierté, de l’excitation et une envie de prolonger ce châtiment.
C’est lorsqu’il vient pour la 4ème fois qu’il décide de détacher la laisse de la table de nuit :
« J’ai envie de te prendre comme la chienne que tu es avant de t’humilier comme il se doit. Monte sur le lit en chienne. »
Je mets mes pattes avant sur le lit avant que mes pattes arrière ne les rejoigne. Je reste à 4 pattes dans le sens qu’il désire.
Il monte à son tour. Il commence à me pénétrer avec ses doigts se rendant compte de mon humidité :
« Si j’avais su que de te traiter comme tu le mérites te plaisait autant, je l’aurais fait plus tôt. Je ne vais pas te ménager et t’accorder le traitement qui te correspond, chienne. »
Il me pénètre alors avec son sexe provoquant un gémissement de plaisir. J’avoue qu’il ne m’a pas menti. Ses va-et-vient sont sauvages, forts. Il ne me ménage pas. Il m’avait déjà prise ainsi mais j’avoue que ses pénétrations semblent bien plus brutales et puissantes.
Mes gémissements eux prouvent une chose, que je suis excitée comme une chienne et que mon plaisir monte. 1 er orgasme.
» Chienne, je vais ralentir mais attends-toi à jouir et rejouir autant de fois que je le désire. »
Il exécute ce qu’il me dit et mon plaisir revient presque instantanément. Je repars de plus belle. Sauf que le plaisir est décuplé comparé au premier. Encore, j’en veux encore. Il me défonce comme jamais il ne l’avait fait auparavant.
J’entends à sa respiration que cela lui plaît également. J’ai bien du mal à garder l’équilibre tant tout est brutal, violent, puissant mais tellement plaisant. Ai-je déjà ressenti un tel plaisir ?
2ème orgasme.
Je ne peux m’empêcher de m’écrouler. Je ne tiens plus. Mes bras et mes jambes sont en compotes.
« Chienne, je n’en ai pas fini avec toi. »
Il remplace le rosebud par son sexe. Au début, j’ai failli lui dire que je n’en pouvais plus, que je voulais une pause mais le plaisir repars de plus belle. Mon corps réclame encore de la jouissance et du plaisir.
Je sens son sexe enfoncé au fond de mon cul. Bien qu’il ne m’ait pas ménagé dans la pénétration vaginale, il y va prudemment dans la pénétration anale.
Il fait des va-et-vient doucement. Mais quand il entend sa chienne crier de plaisir, son maître ne peut faire qu’une chose : y aller encore plus fort pour la satisfaire.
Je ne sais plus qui je suis, où je suis. Je suis concentrée que sur le plaisir qui m’envahit. Pour me rappeler ma place. Mon Maître tire sur la laisse me faisant relever la tête me faisant crier plus fort tandis qu’il continue.
Au bout de quelques instants, il la relâche, s’empare de mes mains et les bloque dans mon dos. Et c’est dans cette position que mon orgasme anal est provoqué.
« Tu sais que je n’ai pas encore joui chienne. Je m’assieds au bord du lit et dès que tu te seras quelque peu remise, tu viens te mettre à genoux devant moi. »
Il fait ce qu’il dit. J’avoue qu’une vraie pause me ferait du bien. Mais là, je suis à sa merci et c’est vrai que j’adore le manger également. Dès que je m’en sens capable, je descends du lit comme une humaine. J’avoue que j’avais peur de me faire mal si je le faisais en animal.
Je me mets tout de suite à 4 pattes et me déplace ainsi. Je viens à lui, m’assieds sur les genoux.
Il s’empare de mes cheveux et place ma bouche de manière à ce que je puisse prendre en bouche son sexe.
Même ainsi, je suis à ses ordres. Je n’ai juste qu’à ouvrir la bouche. C’est lui qui gère les mouvements, les ralentis et les accélère. Et ce, jusqu’à ce que son précieux liquide finisse par couler dans ma bouche.
« Que c’est bon. Allez viens, on va se coucher. »
Ils ‘allonge sur le lit et je me jette dans ses bras.
« Attends, je te libère de la laisse mais acceptes-tu de garder le collier ?
– Oui. »
Après tout, je n’étais plus à cela près et c’est vrai que de sentir le collier, a accentué mon plaisir.
Nous en discutons d’ailleurs et j’avoue que l’envie de recommencer est bien présente. Lui aussi a adoré. Il m’a même avoué qu’il a été obligé de penser à des choses tristes pour calmer son excitation.
Toutefois, même si nous avions décidé de dormir, ses mains ne cessent de caresser mon corps, notamment mes seins et mon clitoris. Et puis, il m’avait promis son fameux cunnilingus.
Alors, je vous laisse deviner comment s’est passé le reste de la nuit…
Blog de Lili Soumise
Blog de Lili Soumise – Une soumise BDSM raconte sa soumission